Oui, j’oubliais, pour la Coke. J’ai bien quelques petites idées… moi qui habite près de la Fontaine Bourgoin, dans le 12e arrondissement de Paris. On dit que les paquets de coke se cachent facilement sous la forme de poudre de ciment. Dixit Libé, je crois. Moi qui suis fin limier, j’ai des voisins, je n’ sais pas s’ils trafiquent la drogue, mais des paquets de ciments, ça, oui ! Même parfois, que ça passait par le local aux poubelles ! Mais je dois avoir des hallucinations, n’est-ce pas ? Vous croyez que je tiens une piste ?
En d’autres temps, j’ai bien essayé d’alerter les « autorités dites municipales ». Sans succès. Je me suis même demandée si elles n’avaient pas un pourcentage dans l’affaire ! Je dois délirer ! Ou alors, tiens, le commissariat à côté de chez moi, faudrait peut-être les prévenir ? Enfin, des questions, ça fait longtemps que j’m’en pose. Et des réponses, j’ crois en avoir quelques unes. - Ca intéresse quelqu’un ? - Y’a plus offrant ?
Sinon, je vais penser que c’est comme pour Gaza, toutes proportions gardées, bien sûr : que c’est l’indifférence généralisée, donc la complicité évidente et totale, depuis bien longtemps ! Mais faut pas l’dire, c’est comme pour le reste. Y’a déjà ceux qui, dans des lieux comme la Commune d’Aligre, font tout pour vous dissuader de résister à ce trafic potentiel, étonnant non ? Ceux-là c’est sûr, ils doivent sniffer, sinon… Et, donc, au lieu d’un quelconque soutien, ils optent pour la démission, c’est plus facile faut dire, avec un superbe « non assistance à personne en danger » ! Faut dire que si, comme on le dit, la ville les soutient et les finance régulièrement, alors c’est vrai, faut pas leur en demander de trop, n’est-ce pas ? Ils sont solidaires à la Commune, ça oui ! Ils savent se taire. Il paraît même que, là-bas à la mairie, avant les dernières élections municipales, - fofocas - ils avaient un collaborateur qui, quand ont éclaté les évènements au Brésil, en juin 2013,- pour s’opposer à la politique publique de détournement de fonds au profit de la construction des stades, donc pour autre chose que l’éducation, la santé et les transports dont ils ont encore tant besoin – vous vous souvenez encore, j’espère ?- et bien, il paraît que les brésiliens parisiens se sont réunis Place de la Nation, et que ce collaborateur, un ex-soutien de la Commune, autre fin limier probable de la police de secteur, est venu, lui aussi, leur demander de partir, à tous les brésiliens. Depuis, il est très mal vu par la communauté brésilienne. C’est normal, non ? Du moins par tous ceux qui trouvaient légitime de « manifester » leur désapprobation, en son temps, à cette corruption éhontée. Ils ont raison les brésiliens, n’est-ce-pas ? - Quoi, de quoi est-ce que je me mêle, moi le franchouillard de service, qui connaît si mal le Brésil que je pose, quand il s’agit des questions politiques du Brésil, des questions dignes d’une désinformation frisant la débilité mentale avérée ? Comme l’autre, le footballeur français qui a demandé aux brésiliens de « la fermer »… Vous vous en souvenez aussi, j’espère ??? Son nom m ‘échappe. Je ne veux même pas m’en souvenir tellement j’ai honte d’une certaine France. Comme quoi, tout peut parfois se tenir… La drogue, l’immobilier, les stades, le foot, et la coupe du Monde au Brésil, etc. Heureusement, en décembre, on aura la version off de Cohn-Bendit sur ce qui ne s’est pas encore dit du Brésil post-mondial, dans la presse ! Et c’est Arte qui va nous régaler…
J’espère qu’on a toujours le droit de se poser des questions, dans ce pays, à défaut de, parfois, pouvoir manifester Sinon, va bientôt falloir choisir l’exil, de triste mémoire ! Cette fois-ci, vraiment, bonnes vacances à tous ! Et un hommage vibrant, ce dimanche 3 août 2014, à Billie Holiday et au jazz international…Ciao, ciao. Bye-bye !