Marie Christine GIUST

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Billet de blog 3 décembre 2014

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Détruire la relation d'une mère à sa fille !

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Libération se fait l ‘écho, deux ans après, de la nullité dont toute la gauche avait conscience, dans toutes les décisions et tous les renoncements du gouvernement Hollande, dès son entrée à la gouvernance de ce pays, puisque la finance ne fut jamais son ennemi !

Je voudrais signaler ce matin quelques détails cuisants qui m’autorisent toujours à prendre la parole, en mon nom, avec parfois une certaine pétulance – penseront certains, mais surtout avec une expérience de ce que c’est que de cohabiter avec le pire de l’extrême-droite française, dans son entourage le plus proche, sans jamais ne vouloir être en rien associée à quelques aspects d’un mode de vie et de prédation toujours en vigueur, nouvelles, et toujours re-imaginés par des gens, bien plus que « au-dessus de tout soupçon »( ?), mais réellement ce que j’appelais déjà en 2006, quand je tentais de maintenir le contact avec ma mère en Normandie, LA PEGRE…

Hélène Cixous a raison quand elle énonce dans les Irréparables que, pour certains, dans leur vie, il faut se garder même d’ouvrir leur porte, tant est stupéfiant ce qui peut se passer «  de mal », de mauvais ou destructeur, dès que celle-ci serait entr’ouverte !

Lundi matin, 1er décembre, de bonne heure, je sortais pour aller déposer des papiers administratifs dans le centre de Paris. J’avais précédemment entendu une porte claquer très fort à l’étage, sans ne m’en plus soucier, depuis un 11 Novembre 2014 où j’avais enfin déposé une plainte  pour des années d’exactions et rétorsions en tous genres  ….

Bien m’en garderait de continuer à lire et interpréter les moindres détails de ce qui se passe, à mon insu, dans mon entourage le plus proche, comme par exemple, le pourquoi, la semaine dernière, des gens qui ne se sont jamais montré attentifs à mon bien-être, et ont omis des années durant de venir vérifier une chaudière,  – souhaitant plus investir des millions pour les remplacer tout de go, comme le double d’une affaire Bygmallion – m’ont à nouveau laissé sans eau chaude à la douche, du seul fait d’avoir ouvert ma porte, parce qu’ ils venaient, soit disant, faire leur visite annuelle d’entretien…Tu parles !

Toujours est-il que, lundi matin, à peine le pied hors de mon appartement, j’ai senti quelqu’un sortait violemment de chez soi et, le seul mouvement et la seule impulsion de cet homme – que je me suis bien gardée de regarder – m’a immédiatement mise dans une sensation de violence physique qui m’était adressée. Réflexe ; je suis partie en courant, en dévalant les escaliers, comme aux pires moments, si souvent au cours des années, et qui m’avaient finalement décidé à porter plainte, récemment…

Mais je crois pouvoir dire ce matin, que c’était inutile, puisque même à propos de la mort de Rémi Fraisse, pourtant fauché par des policiers, et leurs grenades mortelles, les acteurs de cette mort viennent d’être blanchis, comme à Ferguson !

D’ailleurs, ça permet de remarquer que le problème de la violence dépasse une question raciale, pour affirmer qu’elle est proprement une violence de classe : des riches et leurs soutiens d’extrême-droite dans les différentes franges de la population, tout comme aux Etats Unis. Les Tea Party, leur conservatisme néo-libéral, leurs flingues et leurs morts …

Donc, grande peur, et même, quasiment crise cardiaque en sortant de chez moi, lundi matin, 10 heures, à peu près… En fin de matinée, à mon retour, où je pris la précaution d’ouvrir mon portable et d’appeler un ami pour pouvoir rentrer chez moi, sans dommages, j’appris que certains, défilaient dans le 12e arrondissement, justement, et que ce n’était autre que les commerçants d’extrême-droite, encore une fois soutenus par les Medef et autres escrocs, avec masques et cadenas sur la tête !!!

Pas très réjouissant ni réconfortant… Mais il y a une suite. Comme Luc, j’ai connu un

Mardi noir. Le matin, je suis sortie à nouveau pour faire quelques courses, dans le voisinage – because plus de voiture pour faire des achats hors du périmètre de la pègre – je connus encore des surprises à la hauteur de l’inimaginable. Je ne fis ni commentaires, ni même ne réagis à rien, mais n’en pensait pas moins…

Maintenant que j’ai alerté le monde entier sur les pratiques dévoyées qui m’ont vue des années durant être privée de chaleur, l’hiver, d’eau chaude à la douche, l’été, de gaz ou de téléphone, et même de musique et de télé, depuis des années- toutes pratiques de « coupures » à la Staline, et Poutine, aidés par l’extrême-droite, on le sait maintenant – mais aussi certains coréligionnaires qui se cachent dans les lieux dits de gauche, style Commune d ‘Aligre et Compagnie, depuis si longtemps !!! -  je surpris, non plus au 35 de l’immeuble, mais bien de l’autre côté de l’immeuble, rue de Charenton, devant chez le gardien lui-même, alors que le froid battait son plein, et que la maître-artisan de la boutique voisine était en bras de chemise, quasiment en robe de soirée décolletée – ça rend vulgaire et obscène leur façon, à ces gens-là, de montrer combien l’OPAC leur offre gratis ( ?) un chauffage excessif et sans limite, quand celle-ci leur ouvre, en contrepartie à leur obséquiosité,  les vannes du chauffage central de l’immeuble …- , je découvris, donc, de retour de quelques courses, même d’anciens voisins, ayant certainement décidé de retourner à Neuilly, de là où leur propre fils venait me poursuivre de ses assiduités policières, chaque fois que je rentrai de la faculté, le soir à 18 heures, etc., comme un énième toutou, envoyé par des proches …,

je vis donc le 162/4 de la rue de Charenton, je crois, complètement étouffé et embouteillé de mille fourgonnettes, blanches anonymes, sans aucune publicité affichée, et même un voisin rentrant dans le garage avec une fourgonnette de la Poste !  Ca sentait encore l’entourloupe ! La preuve en est, à peine tourné le dos de la rue de Charenton, en face de la pharmacie, j’entrevoyais aussi un embouteillage devant l’entrée de « mon » immeuble, avec pas moins d’une voiture garée devant chez Matières, pour y faire affaire, et derrière elle, une voiture de police banalisée, faisant elle aussi comme si elle voulait presser l’usager en infraction au milieu de la route. Ca sentait tellement l’entourloupe, celle des grandes… Type « grosse livraison ». D’ailleurs, de retour dans mon chez-moi, le téléphone a recommencé à sonner, les portes voisines à claquer , et tout le touin-touin habituel de la pègre - sous haute protection-, même quand celle-ci décide de mettre ses « cols blancs », elle n’en est pas plus crédible pour autant…

Comme quoi, ces gens-là se démasquent sans le savoir… La Poste ??? Celle par où a  circulé, toutes ces années, les pires pratiques de surveillance, de dévoiement d’un service public qui, ici, était à la botte des responsables de l’agence voisine, fourvoyée à l’extrême-droite, ou pour le dire autrement, probablement très proche des Balkany et Consorts, et toute leur clique, qui pour moi, ne fait pas de différence : l’ex- de chez Total, Dassault, Balkany, Sarko, etc. et j’en passe, …Et vous savez bien que l’on ne doit qu’à Médiapart le fait d’être informé de ces graves questions de corruption et dévoiement dans ce pays. Oui Médiapart, seul journal, celui que seuls ses lecteurs achètent ! Et qui nous tint informés des pires exactions, et de la puanteur des puissants, jusqu’à même hier nous rappeler comment des Woerth et des de Maistre, mais aussi des petites frappes comme JM Banier, se croient même autorisés aujourd’hui à poursuivre de leurs assiduités des gens honnêtes comme Christiane Thibaut, et penser les mettre en faute, alors qu’ils sont tout ce qui existe de plus crapuleux, dans ce pays, ne serait-ce que par ses mots significatifs de l’affaire Bettencourt : « quelqu’un s’est employé à isoler la mère et à détruire la relation qu’elle entretenait avec sa fille » !  Ca parle tout seul…

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