La vérité si je mens : L’époque barbare du mensonge, de la mauvaise foi et du déni. De retour de vacances, quelques amis m’ont fait savoir, de vive voix ou par écrit, ce qu’ils pensaient de mes derniers papiers. En bonne démocrate, je partage, pour les lecteurs, ces impressions pleines de fraîcheur.
Dialogue 1.
Un ami (en gros) : « - Tu n’y vas pas de main morte, dans ce que tu écris. Il y a peu de gens qui auraient le courage de dire tout ça ! » (Entendez : toute cette vérité-là vraie). Ma réponse (à peu près) : « Oui, X…, mais vous êtes bien placé pour savoir qu’il n’y a pas un seul parisien qui ait vécu l’enfer que j’ai dû supporter plus de douze ans ! ». « - Ah, ça, oui ! ».(réponse, implicitement).
Comme on dit : ça parle tout seul, n’est-ce pas ?
Commentaire 2.
Une femme charmante, que je ne connaissais pas auparavant, ayant parcouru quelques derniers billets également, a eu ces mots écrits, dans un échange mail : « Corrosif et sans concession ». Je pourrais lui faire la même réponse qu’à mon ami X, très gentiment, avec toute ma sympathie : « - Vous étiez où, vous, ces douze dernières années ? Parce que moi, j’en ai salement bavé de tous les pires escrocs. Toutes tendances confondues, partis politiques confondus, écoles de psys confondues. Paris, le royaume des sectes. Et bien, la mienne, puisqu’il faut appartenir à l’une d’elles, je vais aller me la choisir à l’étranger. Le plus loin possible de ce pays ranci et moisi qu’est la France actuelle, et ses bons français. Point ».
Le gros de l’affaire 3.
Pour qu’ils sachent les banquiers et Cie, que, nous, on n’a pas l’intention de leur faire des procès, aux franchouillards de merde. Et d’abord parce qu’on n’aime pas leurs procédés procéduriers. Mais qu’ils sachent toute de même et entendent maintenant, s’il vous plaît, et là on n’est pas du tout en train de rigoler :
« - Qu’ils ont droit maintenant de se la fermer, leur gueule (pour parler dans leur langage). Qu’on en a déjà assez soupé de leurs manières de faire. Et que, maintenant, c’est nous qui allons leur imposer nos manières, nos lois, nos pensées… Et je crois pour le bien de tous. En commençant par nous taire. SILENCE TOTAL DEVANT LES ESCROCS, d’ou qu’ils viennent. Expression d’un refus total de participer en quoique ce soit à leur fictions mensongères…
« - Je ne peux pas vous laisser dire ça », m’a dit hier un tordu de chez ma banque, LCL. « - Et bien si, Monsieur. Car la vérité si je mens. Et je n’accepte pas qu’on mette en doute ma parole. La mienne, ce n’est ni du pipi de chat ni du pipeau, comme chez nos banquiers les escrocs. Ca ne leur plaît pas de s’entendre dire des vérités ? Tant pis pour eux. C’est un savoir partagé par tous ! Donc : Ni mensonges, ni mauvaise foi, ni dénis à répétition, nous n’acceptons plus ! Vous avez entendu ? » Droit et devoir de « se la taper, leur gueule tordue » - comme ils disent entre eux, dans leurs intimités obscènes, pour une bonne dizaine, quinzaine, voire bonne vingtaine d’années, et plus !
Pourquoi j’utilise leur langage ? Parce qu’ils ravalent le langage. Il faut donc leur montrer dans le miroir de quoi est faite la langue qu’ils utilisent (implicitement) pour ravaler les gens honnêtes.
D’abord, pour montrer et rappeler, d’un, que c’est le seul langage qu’ils connaissent : celui de la menace, de l’intimidation, de la peur ou de la terreur imposées. Il paraît que, ce matin à Paris, 4 septembre 2014, il y a plein de gens inquiets de devoir tant d’argent, soudain, de retour de vacances, qui à sa banque, qui à EDF, qui à Gaz de M., etc. etc. etc. Et que l’histoire des assureurs que je racontais hier, elle est vraie aussi pour quantités de parisiens, ce matin. Ils ont tombés sur la tête ou quoi ? Ceux qui croient nous gouverner et nous spolient jour après jour ! Sgloubb. Deux, dans la foulée, pour répéter : que maintenant il va falloir qu’ils se plient à d’autres façons de faire : légales mais aussi légitimes, dans ce pays, celles du droit. De la justice. Des droits de l’Homme et du Citoyen. Pourquoi ? Parce que là, maintenant, s’ils continuent, on ne va hésiter à en appeler aux plus hautes autorités de l’État. Et faire du grabuge.
Moi, ces gens-là, ils m’ont traîné dans la boue, la rumeur, le mépris, la violence, et j’en passe pendant plus de dix ans. Pour du fric. Donc, il est bien avéré que fric et extrême-droite, ça s’articule. Et donc, que l’Europe est globalement gouverné par ces gens-là depuis fort longtemps maintenant. Et que le cirque du monde occidentalisé, ça ne veut plus rien dire, du tout.
Je leur dis, du haut de ma noblesse d’esprit, du haut de mon intégrité physique et morale, et du haut de ma valeur concrète et symbolique de femme résistante à toutes leurs exactions antérieures, pendant plus de dix ans - avec toutes les formes de persécution continue et journalière, imaginée par les Aube Dorée français, organisée par des malfrats sous mes fenêtres, et jusque dans le couloir du premier étage, où j’habite - et qu’ils ont encore tenté de répéter dimanche matin 31 août 2014, avec force représentant de l’enfance aliénée et soumise à leurs pratiques d’extrême-droite- je leur dis s’ils ne le savent pas encore : « pas touche à ma personne ! ».
Et j’inclus les flics-ripoux, les banquiers malhonnêtes, leurs serviteurs dans les agences, les assureurs escrocs, les agences immobilières ayant pignon sur eau, c’est-à-dire : toute la voyouterie masquée, etc., plus tous leurs copains à gauche, dans la drogue, l’obscénité, le fric, et j’en passe.. . Je leur redis qu’il n’est plus question qu’il y en ait un seul qui se croit autorisée à me traiter autrement qu’avec le plus grand respect qu’ils me doivent ! Celui que je me dois, d’abord, et que je n’accepterais plus qu’aucun y déroge sous quelque forme que ce soit. Et la première d’entre elles : par le mensonge, la mauvais foi et le déni…
S’ils veulent avoir leurs eaux usées mentales, de celles qu’ils ont pratiqué douze ans dans l’immeuble dont je ne sortirais pas mais dont ils peuvent sortir maintenant s’ils ne sont pas contents, qu’ils le fassent savoir. J’y répondrai. A bon entendeur, salut.
Parce que le pire, c’est eux qui nous l’ont fait vivre. Et quand je dis le pire, je devrais ajouter : nous avoir imposé, à nous, des gens tranquilles, amoureux de la vie et pas de la mort, qui travaillons en silence et en musique, nous avoir imposé leur barbarie quotidienne, à la porte de notre immeuble que dis-je à la porte de notre appartement. Et avec des complices, en réseau, partout ! De l’OPAC de Tibéri à ceux qui ont construit des logements, sous la gauche de Delanoë…Avec des pressions policières venant de leurs rangs à eux aussi, les libéraux de la drogue, et en douce, de toutes les exactions qui m’ont vu d’abord être poursuivie en voiture par la police locale, du quartier, relayée par leurs réseaux puissants, sur les routes normandes, pendant des années, pour tout tenter et empêcher que je maintienne un contact et un lien quotidien, avec ma mère. Vous croyez que je ne m’en souviens pas quand je me fais encore maltraiter par des soufifres de ma banque, que les responsables d’agence bancaire, veulement, obligent à monter au créneau pour me faire taire, et ne pas avoir à écouter la vérité sur les exactions qu’ils ont commises. Ou alors quand ils ne reconnaissent qu’il m’a fallu changé trois fois d’agence, et que certains ont refusé obstinément l’agence la plus près de chez moi. Pourquoi, à votre avis ? Nous avons tous la réponse en tête, n’est-ce pas ?
Je ferais brièvement, un de ces jours lecteurs, une jolie cartographie personnelle de mon quartier. Pour le plaisir de rire un coup, oui. Et d’en rire, du ramassis d’escrocs qui m’ont entouré tant d’années, et dont j’espère qu’ils sont maintenant en train de comprendre que, outre, se tenir correctement, bien au-delà des bonjours convenus des voyous, ils peuvent aussi, s’ils le souhaitent, déménager, pour qu’à quelques uns, l’on transforme, ultérieurement, ce lieu de tous les excès les plus obscènes, en joli monastère tranquille, comme je viens de le faire ces deux mois d’été, en l’absence de quiconque dans cet immeuble. C’était un régale ! J’avais l’impression de marcher à nouveau dans mon humanité retrouvée. Sans ces voyous !
Une observation tout de même, pas sans intérêt. Ici donc, dans l’immeuble, les derniers à m’avoir traîné verbalement dans la boue étaient deux ukrainiens, je crois, très soutenus et appréciés du gardien, de sa famille et de ses copains, dans les boutiques de la rue Charenton. Très certainement des gens au-dessus de tout soupçon ? L’une était accoquinée depuis très longtemps à un homme qui faisait les gros bras dans l’école du coin, lors des élections municipales, législatives et présidentielles, et cherchait n’importe quel prétexte pour nous empêcher de voter (Faut le faire, tout de même !!!). Elle le sait l’ex-maire du 12e, Mme B. ? Et sait-elle également, cette émule des enfants bien élevés ( ?), que son frère à celle-là s’est cru autorisé - comme à l’époque de la fin de la seconde guerre mondiale quand les escrocs n’avaient plus rien à perdre parce qu’ils avaient déjà largement dépassé toutes les limites de l’horreur , il sait cru autorisé devant un communard d’ailleurs- ( de la pègre de la Commune d’Aligre, qui a réagi très veulement comme celui qui parlait)- à m’insulter devant l’immeuble, soi-disant pour charger « mon casier judiciaire déjà mal en point » que j’aurais ( au conditionnel) au commissariat de police d’à côté ! Fréquentables, ces gens-là ? Des barbouzes, n’est-de-pas ?
Alors, si parmi les petits drôles de la banque LCL, ex-Crédit Lyonnais, il y en a qui veulent rejoindre prochainement la liste de tous les malfrats : avec leurs mensonges, leur mauvaise foi et leur déni. Pas de problème. Je fais comme Lavrilleux, je crois : je l’ouvre. Et je ne me gênerais pas. Et je vais vous dire. Quinze ans de LCL mafieux, y’en a à dire. Pas pire que les autres banques, certainement, mais pas moins non plus, un bon exemple. D’ici, jusqu’en Normandie, l’agence près de chez ma mère, lorsque l’assistance ménagère qui s’occupait et s’occupe d’elle, une certaine Yolande Chauffaut, je crois - contractée par l’Association Être (être mafieux ? ), et quim’envoyait soi-disant chercher de l’argent pour les menus dépenses du quotidien de ma mère, à l’occasion d’un de mes brefs passages, et que les attachés de l’agence ne me remettaient même pas le reçu. Je devais y retourner et rester plantée une demi-heure pour avoir droit à légaliser ce geste bancaire simple. De cette Yolande, il y aurait beaucoup à dire : douze ans sous les ordres complices d’une certaine Florence démente, celle dont j’ai déjà parlé. Et j’y reviendrai pas…
Ca s’appellera Cartographie de mon quartier Aligre, la Commune, la rue, le quartier, le marché, le commissariat, la poste, les pompiers, l’ex-caserne, l’agence nucléaire, l ‘agence société générale, on poussera même du côté de Daumesnil, la mairie du XIIe, la succursale Total, les dentistes d’un genre nouveau, le marché d’extrême-droite de la Place Félix Éboué, et on redescendra par la rue Michel Bizot, où l’OPCAC vient de déménager pour s’éloigner de tous les méfaits qu’elle a organisés collectivement avec la couverture de la police d’extrême-droite pendant 12 ans, etc. Y’ a quelqu’un que j’aurais oublié et qui veut faire parti de la liste ? Ne vous inquiétez pas, vous serez considéré à la hauteur de votre petitesse et bassesse… Ah, oui, je vous entends crier (crier ?). J’ai oublié le trafic des vendeurs de voitures à 4 sous, les vétérinaires et acolytes pharmaciens qui vous traitaient d’antisémites quand vous êtes arrivés dans l’immeuble, et sans vous connaître, etc. etc. Ne vous inquiétez pas ! Je n’oublierai personne. Vous ne serez pas lésé ! Je vais aussi parler de vous. C’est bon ?
Parenthèse : depuis que, hier, j’ai encore une fois poussé mon coup de gueule (la rentrée, c’est pénible), et maintenant que je sais que, quand je crie c’est parce qu’on ne m’entend pas et donc que j’ai à faire à des escrocs – tous styles confondus ! – MENSONGE, MAUVAISE FOI ET DENI _ le quartier est totalement silencieux, ce matin. Un hasard ? Certainement pas. Le hasard objectif de Mallarmé, que j’aime tant, et dont je vous reparlerai certainement encore souvent… car celui-là, c’est une merveille, et ça ne trompe pas !
Scoop en avant-première : quand j’aurai fini ce bouquin, si je le finis un jour (?), je prendrai quelque vacances. Et je prie dès à présent mes lecteurs, de m’excuser de cette interruption future, qui va arriver, c’est sûr, et dont vous ne serez peut-être pas prévenu à l’avance ! Pourquoi ? Parce que ça va me venir comme une envie de pisser.
(Oh, scandale, une femme qui parle ainsi. Ce n’est pas pire que ce que tous ces costards-cravatés nous servent à toutes les sauces, avec leur certitude d’être important, de penser bien, alors que ce sont des indigents de la pensée, des indigents de l’humanité, etc. Comme l’autre soir François Lamy, sur Arte : rien que de le voir, j’ai eu peur ! Comme quoi, les croque-morts, s’ils ne se voient pas eux-mêmes, ils sont repérables à l’œil nu pour tout être doué de sensibilité. Lui, mais aussi, tous ces copains à gauche, ayant rallié l’extrême-droite de la pensée, comme le disait si justement Boltanski, comme, par exemple, des Peyrelevade et consorts, un ex-directeur du Crédit Lyonnais, tiens, du temps que c’était encore une banque publique !
Oui, je vais aller m’aérer, maintenant que vous êtes tous rentrés à Paris. J’ai besoin d’un air pas vicié, un air frais qui ne sent pas le moisi à longueur d’années. Et dont je sais maintenant que c’est pour ça que ça ne m’intéresse absolument pas de me chercher des activités futures par ici. Seulement, écrire, et continuer à solder me comptes d’un passé glorieux, celui que les parisiens m’auront servi… Oui, seulement écrire le pire : ce que j’ai vu, connu, expérimenté, dû supporter, jusqu’à plus soif, toutes ces années, sans jamais revoir une seule personne- les dits intellectuels, les dits bourgeois, les dits éditeurs, et j’en passe- pour la détruire, et s’entre-détruire quotidiennement- et que je connaissais et qui habitent encore, pour la plupart, cette ville ou une région française.
Ah, oui, j’annonce la couleur. Y va y avoir un chapitre. Vivre au cœur de Paris, à Saint Germain des Près, sous l’ex-Ministre de l’Éducation Nationale,- (encore un dont je ne veux pas me souvenir de son nom, donc pour moi, ça doit être un de la bande ! ), oui celui de l’Oréal, que le triumvirat vient de placer en secrétaire générale de l’UMP ( ça existe encore ce truc-là ?), un mec hautain, sûr de lui, certainement parce qu’il avait fait beaucoup de fric chez l’Oréal : ça rend arrogant les complicités avec l’extrême-droite financière et entrepreneuriale. Donc, lui, Depardieu, quand il régnait dans le quartier, avec le soutien de Poutine, déjà, et l’odeur nauséabonde que j’ai sentie, quand, pour la première fois depuis dix ans, j’ai traversé le quartier. Les habitants ne s’en aperçoivent même pas. C’est comme pour le bus. Ca pue vraiment, ce n’est pas aéré, mais tout le monde semble vivre content dans cet enfermement insoutenable ! Ca devait être ça, Paris sous Vichy ! Comme quoi, on n’aime pas tous, les mêmes choses. Ni la même façon de vivre !
Ah, oui : un détail croustillant. Pour les banques, les banquiers et « leur petit personnel », ceux qui ne travaillent pas 8 heures dans une entreprise, ce sont des gens qui n’existent pas. Attention messieurs et mesdames les intellos de service, vous allez très certainement, et bientôt, être rappeler par l’ex-ANPE, rebaptisé pompeusement par Sarkozy, POLE EMPLOI, et très apprécié par le maire de Dijon, c’est comment celui-là son nom ? – ah, oui, Rebsamen ! -pour venir pointer si vous voulez avoir droit à vos émoluments !!! On croit rêver, non ! Ben voilà : la déconsidération totale pour les gens simples, mais qui pensent, réfléchissent, veulent continuer à préserver « l’humain », c’est une denrée rare, d’abord, et très mal vu par tous les régimes autoritaires, inclus la France d’aujourd’hui : je veux dire la France post-2002.
Tout à l’heure, un scoop. Maintenant, une tendance : la reconversion à grande allure, et grande échelle, des ex-escrocs en « gens honnêtes". Vous y croyez, vous, à cette possibilité qui serait, peut-être, un début de solution à « la crise » qu’ils ont inventée et qu’ils nous ont concoctée dans leur seule et sale imagination, pour se faire encore plus de tonnes de fric, et laisser les autres crever la bouche ouverte ? Bye-bye, à bientôt chers lecteurs !