« - C’est tout ce dont vous étiez capables ? ça ! C’est peu, pour l’Histoire ? »
Tout ce dont vous étiez capables, vous, comme sœurs-jumelles, comme les pires prédateurs ?
Non seulement détruire ma vie, aller fouiller dans mon intimité, et penser que vous vous en tireriez avec des satisfecits ! Lesquels, ceux de la communauté internationale, peut-être ? Qui a, aujourd’hui, le plus grand mal dans le monde entier à freiner les escrocs, les tueurs, la pègre financière, etc. … Tous ceux qui, un jour, comme vous, se sont autorisés à décider pour d’autres, au nom de … Au nom de quoi, exactement ??? Vous aviez dû mal comprendre ce que signifiait depuis deux siècles déjà la responsabilité juridique, comprise comme par vos amis Sarkozy et ses avocats de bandits ! En moins de temps qu’il ne faut pour défaire trois cents ans d’histoire post-Révolution Française, vous êtes tombés avec les malfrats sur des lois d’exception – en confondant l’exception et la légalité – alors la légitimité, j’vous dit pas ? Et vous avez emboîté le pas de ceux qui trouvaient très bien de supprimer la législation de 1838 qui régissait les lois psychiatriques, et comme Sarkozy, passer outre, avec force police, donc exactement selon les principes de tout régime policier, autoritaire ou militaire !
J’espère que vous le savez maintenant ? Vous pensiez avoir à redresser les torts des autres ? Mais quels torts ? En s’alliant aux pires collaborateurs, pour vos méfaits ?
Et atteindre à ma dignité, mon intégrité mentale, mais aussi ma simple personne, humaine. Je vais vous dire : vous auriez vraiment mieux fait de vous occuper de vos p’tites gueules ! Avec votre ignorance crasse, et votre cruauté d’imbéciles !
Quand, moi, je vous répétais qu’il fallait intervenir auprès d’une toute petite fille, Emilie, mal traitée par sa propre mère, vous n’aviez rien à répondre, rien à voir, et vous qui en étiez si proches, vous vous êtes omises des années durant. Toute sa petite enfance ! Il faut dire que ça, ça ne se voit pas pour l’extérieur, n’est-ce pas ?
Mais quand il s’est agi d’emboîter le pas à une « belle–famille » celle de Fréjus, qui agissait comme des escrocs, et finalement a fait main basse sur la maison là-bas, près de la Via Aurelia. Mais pire, à jeter hors de chez lui, mon père, à l’époque de ces derniers jours de vie : là, vous n’avez pas hésité !
Je ne vous comprends pas ! D’ailleurs, je ne vous ai jamais comprises. Vos façons de sainte-nitouche, je le répète, qui ont été assez efficaces pour en berner plus d’un, même ceux avec qui vous vous êtes mis d’accord pour éliminer successivement la fille, le père, et ensuite la mère. Vraiment, je n’ai jamais compris vos modes d’être, et vos façons perverties, ainsi que vos cachoteries – dont on connaît maintenant l’étendue des dégâts. Quand à votre bêtise, celle de femmes psy- de 4 sous, qui surtout, aviez une soif de pouvoir, d’honneur, de reconnaissance, qui dépassait toutes les limites, vous allez voir, je ne vais pas vous rater. Je vais vous les faire tous les honneurs, ceux dû à tous ceux qu’on aimerait voir « être enfermés, par la seule justice, et pour la gravité des faits que personne ne peut plus nier aujourd’hui, fautes que vous avez commises et dont vous ne voudrez jamais reconnaître la moindre parcelle, comme tous les escrocs, vos amis ! Ou les dictateurs à la nouvelle mode !
S’immiscer là où vous n’aviez aucun droit légal, où vous ne pouviez ni ne deviez, si vous aviez été des gens à peu près « normaux », vous manifester ! Sauf, je le répète, comme les escrocs contemporains…Mais, c’est quoi, aujourd’hui, la « normalité » ?
Vous, qui ? Deux sœurs jumelles. Vous qui aviez, soi-disant, appris de la psychanalyse à vous occuper des autres ! Vous auriez mieux fait de vous en tenir à vos petites personnes, n’est-ce pas ? Y’avait déjà assez de boulot comme ça ! Et, visiblement, ce n’est pas quelque petit diplôme de psychologue ou de sociologue qui vous a mis à l’abri de commettre les pires forfaits. Et en plus, en vous croyant à l’abri, sous les ailes d’escrocs pires que vous, des plus grands tueurs et voyous, de l’époque !
Oui, tuer par l’écriture l’infamie de votre geste. Ce passage à l’acte, dont vous avez été capables, vous comme d’autres, en vous croyant légitimes (???). Oui, un passage à l’acte collectif, avec tous ceux qui, aujourd’hui, ne peuvent ni se regarder dans le miroir, ni voir combien leur geste était indécent. Opacité de la jouissance. Ce qu’il montre à l’œil nu : votre/leur obscénité intrinsèque et individuelle. Avec, pour chacun, le mode de jouissance qui va avec. Mode particulier de jouissance, qui ressort néanmoins tout simplement de la jouissance de l ‘élimination de l’autre. En groupe. Ca porte un nom, ça. Plutôt chez des gens plus raffinés que vous et vos copains : un meurtre. Dans le style : meurtre du père primitif de la horde !
Je ne sais pas ce qu’en pensent les gens dont je peux m’entourer, et dont, à moi, m’importe l’appréciation qu’ils peuvent donner de tout ça. Mais je sais qu’ils reconnaissent dans mon geste actuel, le moyen et la nécessité symboliques de tourner la page de cette histoire-là. Mais surtout, laver mon âme de tant de péchés que j’aurai commis, à votre sens, démentes que vous êtes, car vous n’avez jamais été vraiment, ni bien informées de qui je suis, ni qu’elle avait été ma vie, ce que je peux penser, ce qui me fait réfléchir ou me mouvoir, mes implications personnelles politiques – invisibles, pour vous, peut-être – mais existantes, pour des gens comme moi, qui ne sont pas crasses politiquement comme vous – qui aimez flouer l’Histoire, et la raconter à votre manière révisionniste !
Mais au-delà de vos deux petites personnes : ce que je veux toucher chez tant de vos contemporains, c’est cela, l’obscénité : la façon dont chacun et nombre d’entre eux ont pu se vautrer dans le pire de ce à quoi l’humanité présente ne nous avait pas encore habitués, à si grande échelle ! Vous, dans le même tas que ces gens-là, alors que, peut-être, vous vous croyiez du bon côté du manche ?
Vous avez régné comme nombre de chefs d’entreprise sur EDF, GDF, La Poste, Areva, Les ciments Lafarge, la Bred, Bouygues, etc. Et j’en passe. L’image que je garderai de vous est celle de rouleaux-compresseurs, identifiés à un drôle de père, et dans lequel vous avez cru reconnaître l’image de la toute-puissance phallique, donc votre impuissance masquée, ainsi que les pouvoirs exorbitants que vous en tiriez apparemment, en vous comportant des gens de pouvoir. Donc comme des imbéciles. Je ne sais pas ce que Foucault dirait de gens comme vous, aujourd’hui ? Sûr qu’Il n’en ferait certainement pas ses amis. Moi, non plus ! Mais vous ne les avez jamais connus, mes amis ? Du jour, où, jeune étudiante à Paris, je terminais un travail d’enquête psy trouvée par vos soins, et que je ne suis jamais arrivée à me faire payer ! Il a déjà fallu que je me pointe chez une Mme Bourguignon, à l’époque, pour lui faire savoir que c’était moi qui l’avait fait, le travail ! Vous ne vous souvenez plus ??? Ma mère, alors quelque peu argenté, était venue, in extremis, à Paris, pour me dépanner. Vous étiez déjà des escrocs. Point. On dit comment pour les femmes ? Des escroques ?
Rien à faire : moi, je n’ai rien à pardonner. D’abord, et d’abord encore : parce que personne encore n’est venu faire ses excuses, ou proposer de s’incliner devant sa propre infamie ! Voilà dans quel camp vous vous retrouvez aujourd’hui : le camp de ceux qui nient les évènements du Réel de l’Histoire. Se gorgent d’illusions et mensonges à tout va. Vous pensez peut-être que l’Histoire leur en saura gré ? Ca m’étonnerait !
Vous n’aurez et vous n’obtiendrez rien de moi. Ad infinitum. Vos saloperies suffisent à démasquer ce que vous êtes, au-delà de tout apparence, comme nombre de nos contemporains. L’argent, les honneurs, et le reste, ni feront rien. Vous irez dans l’Histoire là où vous vous êtes compromises avec le pire !
J’ai maintenant le titre de mon livre : Laver mon âme !