Maison du Brésil, juin 2014: des hommes du Djihad déguisés en service de sécurité? ?
09 OCTOBRE 2014 | PAR MARIE CHRISTINE GIUST ( l'article auquel vous auriez dû avoir droit )
Enfin, l'ambassade du Brésil, au regard de l'enjeu des prochaines élections, se met à redémocratiser ses informations.
Entre autre, en les publiant, maintenant, avant que n'aient eu lieu les évènements: chouette, comme ça, on va même pouvoir choisir d'y aller ou pas !
Le Brésil enfin se re-démocratise. Gajons que, par la même occasion, les amoureux du Brésil qui vivent en France, vont eux aussi apprendre à nouveau à partager leurs informations -
C'était le minimum du temps où, avant l'ère sarkozyste ( 2002- 2012), tout citoyen intéressé avait droit à l'information, sa criculation libre ainsi qu'un droit de réponse à toute manifestation culturelle, donc politique!
Gajons également que les derniers ressortissants du système sarkozyste et de sa pègre à tous les échelons de la société française, quels que soient ces réseaux sociaux,
réapprennent - avant que nous nous fassions manger par les djihadistes qu'ils auront promus toutes ces années, gajons donc que tous ces gens réapprennent à vivre normalement, en partageant...
De plus, comme Sarkozy a encore un pied d'importance, entre autre, au Consulat de France à São Paulo, en la personne d'un Damien Loret, lui aussi hautement compromis avec toutes les escroqueries sarkozystes, et maintenant le Kazakhstan ( voir Libé du 9 octobre 2014), espérons que nos représentants culturels en France et au Brésil vont savoir faire place nette, et virer cette bande d'escrocs et de malfrats, qui va de Guéant à Cesarini, en passant par les Buissons d'extrême-droite, avec même son copain le blond de l'ex- Ministère de l'Immigration ...
Détail: en juin dernier 2014, je ne suis pas arrivée à entrer dans la Maison du Brésil, lors d'une lecture de poèmes de Fernando Pessoa - moi qui étais la seule à avoir assisté aux manifestations antérieures dans les jardins de la Cité Universitaire - car elle était gardée par des hommes dont le bas des jambes ressemblait à ceux des militaires de la dictature ( les bottes, en particulier).
Gajons qu'à la prochaine initiative de lectures pour tous et de débats,à la Maison du Brésil, ce genre de personnel des services de sécurité privée aura définitivement déserté l'entrée de la Maison du Brésil: ça rappelait de mauvais souvenirs qui sentaient pas bons !