Et d'ailleurs, il est tellement démocratique votre réseau qu'on en a jamais entendu parler !
Oui, vous dites bien: psychanalyse et totalitarisme, un tout !
Pour le reste, on attend encore. Au moins, moi. Et j'assume mon nom !
Et je mets au défi quiconquee se réclamant de la psychanalyse de nier qu'il ne s'agit pas d'abord de soutenir sa parole en son nom.
Vous en psychanalyse, d'autres en politique, ne savez plus rien assumer du tout, comme Nouvelle Donne, par exemple. Que des messages anonymes! Que des réseaux anonymes !
Ou certains sur Médiapart, des pseudos.
Pour moi, les messages anonymes, c'est du Pétain qui ne s'assume pas. Avez-vous entendu, cette fois-ci ?
D'où parlez-vous pour donner des leçons ?
Où vous a-t-on entendu pendant dix ans vous élever contre les années de dictature sarkozyste ?
Sur la seule scène qui vaille: la scène politique nationale. Pour pouvoir être entendu de tous et faire groupe contre cette bande d'escrocs qui nous a gouverné tant d'années !
Vous étiez au chaud ? Avec des fins de semaine en résidence secondaire. Pas moi !
Allez, vous apparaissez bien tard sur la scène du monde.
Et j'ai la mémoire de dix ans d'un pays qui a laissé faire le pire, des psys inclus, des intellos inclus, etc.
Chacun à la soupe, des financements divers, des institutions diverses, des bourses d'études, des recherches financées, etc....
Où étaient-ils nos intellos de service, si ce n'est en majorité pour servir la soupe à Sarko, sauf depuis deux ans !
Vous êtes des petits rigolos. Là, dans vos réunions sous les ors de la germanopratie débilitante...
Bonsoir,
Mme Marie Christine Giust
D'ailleurs, une fois je crois, je suis venue écoutée à Hautefeuille une conversation, après un film. Le seul qui parlait de façon assumée, intéressante, même pour ceux qui pouvaient ne pas être d'accord, ce jour-là, c'était Claude Lanzmann.
Le seul qui ne m'a pas fait honte, ce jour-là, dans ses prises de parole. Il y aurait vraiment beaucoup de choses à dire.