Caen, la ville ravagée par la Bande à Sarko ! (1). Lu dans le Marianne de cette fin de semaine, 10 au 16 octobre, n°912, p. 32. Titre : « Caen, l’ex-patron du CHU à l’amende »
« Pour rénover en 2008 son pavillon de fonction, Joel Martinez avait eu la main lourde. Véranda de 64 m2, cuisine équipée à 14 000$, changement des serrures pour 161 000 $ ( !) : au total, l’ancien directeur général du centre hospitalier de Caen (le CHU) avait facturé à l’établissement pour près de 1 million d’euros de travaux. Révoqué de la fonction publique, il vient d’écoper de 6000 euros d’amende seulement de la part de la Cour de discipline budgétaire et financière. Il paraît que c’est un record. »
L’occasion m’en est donnée de parler de Caen, ville ravagée par les sarkozystes, puisque le Qatar, semble-t-il, a également acheté dans le Calvados de grands haras ( donc d’élevage de chevaux) !
En 2007, au lendemain des élections présidentielles qui ont vu la France porter au pouvoir Mr Sarkozy, le week-end suivant, alors que j’avais eu toutes les difficultés, et n’arrivait pas, à obtenir la procuration de ma mère pour aller voter pour Ségolène, la semaine précédente, et que deux sœurs m’avaient même envoyé les flics chez ma mère, à Caen.
La semaine suivante, donc : impossible de trouver ma mère par téléphone chez elle !
Ni personne dans le voisinage, aucun des voisins pour m’informer. Les téléphones sonnaient dans le vide : 48 heures.
Quand je me décidais à aller jusqu’à Caen. Ma mère avait été hospitalisée au CHU, soi-disant pour fracture du col du fémur : une histoire à dormir debout, car pour pouvoir se casser le fameux…., il aurait fallu pouvoir se déplacer !
Qu’elle était montée sur un tabouret, et était tombée, comme il a été dit à l’époque, c’était proprement impossible. C’est pourtant la fable que mes deux sœurs ont accepté d’accréditer ! Quelles connes.
En réalité, des voisins-juge, à l’époque, auraient bien aimés vendre tout le pâté de maison de ce quartier tranquille, près du château et de la Fac, pour se faire un max de fric en construction d’immeubles, donc transaction immobilière rentable !
Quelques temps plus tard, je m’étonnais de voir arriver chez ma mère, faisant fonction de kinési, une vétérinaire en 4X4 (c’était le début…) qui en fait était véto dans un haras…
Trois infos qui parlent toutes seules : le CHU, rendant définitivement invalide une mère. Un voisin-juge, qui s’est d’ailleurs fait la mâle depuis, et donc la femme a divorcé, qui comptait se faire beaucoup de frics et arroser le quartier, avec une transaction immobilière. Et une vétérinaire, ensuite, qui débarquait directement des haras du fin fonds du Calvados…
Aujourd’hui, au regard de ce qu’on a appris,toutes ces dernières années, c’est clair comme de l’eau de roche, n’est-ce pas ?
Mais, à l’époque, quand j’allais à Caen, les flics m’attendaient à Troarn, près de chez l’assistance ménagère, Madame Chauffaut, et si je prenais le train : un chien de garde policier, et les bottes des milices aussi. En gare de Caen.
Je ne savais rien encore de tout ce que Médiapart nous a appris, ensuite. Cependant, je le vivais au quotidien, et dans ma chair, cette horreur de mélange de corruption, pressions policières, et trafic d’influence…J'ai payé cher les pires trafics des pires escrocs. Et je suis comme les journalistes de Médiapart: je veux voir ces gens être dénoncés pour tout ce qu'ils ont fait et nous ont fait subir ! On ne défait la politique, la police et l'2tat d'un pays, en la transformant en un site de cowboys affamés de flouze, sans que les répercussions nationales soient infiniment énormes ... Nous y sommes !
Jusqu’à en pleurer de savoir ma mère offerte par ses propres enfants, sans rien en savoir, paraît-il ( ?), de ce qui se tramait sous mes yeux, et dont je subissais les rétorsions et intimidations…Mais toujours convaincue de quelque chose de profondément anormal... et qui sentait la puanteur des relations dites humaines...
Des tueurs prêts à tout, dans les exactions, les manipulations, les rétorsions, les intimidations policières… pour le seul profit des escrocs !!!
1. Je ne savais pas alors la présence si proche du Qatar, dans le Calvados, mais l’odeur nauséabonde de la corruption et de la peur par intimation : oui, je la sentais !
2. Je ne savais pas encore que Balladur avait sa maison près de Trouville …Mais je savais que ce lieu était l’une des destinations d’une sœur, F., depuis plusieurs années.
3. Je ne savais pas alors que le directeur du CHU était un escroc, mais pourtant j’étais convaincue qu’il y avait anguille sous roche et trafic de quelque chose.
D’ailleurs, comme le directeur de la Fac, je crois, il habitait près de chez un oncle, dont très tôt, dès 2004, j’ai su la proximité réelle qu’il avait avec la maire sarkozyste de Caen, lui et la troupe des italiens peu regardant, du gabarit des Ciotti, Squarcini, et maintenant Cesari…
Il faisait partie de la bande, même si indirectement. D’ailleurs, chaque fois que j’arrivais en voiture, un voisin devait le prévenir car systématiquement il rappliquait, même si je lui ai interdit la porte de chez ma mère, en ma présence, des années durant !
La pègre, je l’ai toujours tenu à distance. Là-bas, comme ici, dans mon immeuble…
4. Je ne savais pas encore que le juge et voisin était un soutien de l’extrême-droite, cependant il véhiculait une violence contenue face à ses six jeunes enfants qu’il m’était, physiquement, totalement insupportable…
En somme : l’immobilier, la justice, la médecine et la flicaille de sarkozy : tous unis pour faire des affaires, et peu regardant si cela se faisait sur le dos des « vieux »...Et à quelle échelle ? Avec quels déga^ts collatéraux, et l'obscénité de la décadence d'une époque amorale !
D’ailleurs, c’est d’abord, et avant tout, la similitude entre ce que Médiapart nous dévoilait de l »affaire Bettencourt, et l’histoire de ma mère – bien sûr, exclusivement dans les procédés mafieux, qui m’a amené à lire très précisément tous ce que les journalistes publiait d’infos, et à m’abonner définitivement, tellement les ressemblances dans les procédés mafieux et obscènes se recoupaient !