Marie Christine GIUST

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Billet de blog 14 octobre 2014

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La guerre civile de l'extrême-droite, au quotidien

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

La société française est tellement gangrénée que, qu’il s’agisse d’un travail d’édition, donc de publication éditoriale, ou d’un nouveau parti -  comme j’avais déjà pu le vivre, le pressentir, et en toucher quelques mots à l’époque où l’on me considérait comme parano, toute la société française est gangrénée par des « taupes » de toutes provenances, de toutes catégories,  et de toutes options politiques ou idéologiques !

 De même qu’avec la pression des lobbys, on ne sait plus qui gouverne en France. Il semble plutôt que ce soient, à tour de rôle, les groupes pharmaceutiques, avec Ebola à venir,  les Véolia et les  Vinci de la vie – il faudrait même dire, pour être exact : « les Vinci de la mort », ou encore la pègre attachée à l’ancien gouvernement sarkozy et qui se redéploie quotidiennement, sous les formes les plus différentes, irrepérables, dans des réseaux d’extrême-droite qui finissent par se partager la plus grande part du gâteaux des prélèvements,  sur le dos de la bête, c’est-à-dire des citoyens lambda - qu’ils soient consommateurs, automobilistes ou souhaitant se chauffer, etc.

 Je suis d’avis depuis plus de dix ans que nous y sommes à l’ère de la guerre civile !

Sauf pour tous ceux qui, appartenant à ces réseaux parallèles – même parmi les fonctionnaires des grands corps de l’État- sont les acteurs obscènes de cet effondrement moral, civique, économique, politique, etc.

 Deux heures de guerre, ce jour, chez moi, entre 14h et 16h, d’une part, pour avoir droit au silence et pouvoir écrire et travailler sans les sirènes abusives des pompiers, des ambulances, et des policiers de mèche, du réseau, on va dire aujourd’hui, Balkany – pour changer ( on pourrait tout aussi bien dire le réseau d’Étienne de Rosaie, un de chez Pasqua et leur pègre la plus déjantée !).

Mais ceci, cette scène de lynchage par sirènes interposées, après avoir tenté de régler un problème d’édition, dont je suis convaincue à l’heure qu’il est, 16h ce jour, le 14 octobre 2014, qu’une double administration régit certains réseaux d’édition, puisqu’un certain CDI m’a raccroché au nez quand je cherchais la responsable des éditions de la MSH( ???). En conséquence de quoi, et c'est grave, mon manuscrit est probablement déjà dans les mains d’autres personnes que celles à qui je le destinais, et au passage, il a changé de mains ! Des procédés mafieux, non ??? Là encore !!!

 Non seulement, il faut être plus que vigilant, mais il faut se tenir constamment sur le pied de guerre : on n’en peut plus de leur guerre de djihadistes occidentaux, à cette extrême-droite, elle qui a alimenté très longtemps les jeunes recrues qu'elle se confectionnait pour la guerre civile, d’ici !!! 

Ce matin: entre 6h30 et 10h, garé devant l'immeuble: la pègre des seruriers, et la tension qu'elle provoque... Des heures durant, après être monté à l'étage, dès 6h30...

Heureusement, il y eut le show de Gilberto Gil, hier soir. Mais même s'il était agréable de faire des adieux provisoires à cette figure merveilleuse de la MPB, qui a enchanté notre jeunesse, et bien plus. Il y avait quelque chose de désespèrant, pour quelqu'un qui ne va plus jamais ni au théâtre, ni au concert, à partager le Théâtre du Châtelet avec une bourgeoisie uniquement française, qui se comporte de façon désastreuse: non seulement ne mesurant pas le privilège qu'elle avait d'être ainsi traitée si généreusement par notre hôte brésilien, mais qui, de plus, s'en fût si vite à la fin du show, qu'ils démontraient tous, les parisines, leur stricte appartenance au monde de la seule consommation ! C'était pitoyable, et triste.

Encore une fois, situation paradigmatique de la France d'aujourd'hui. En tous cas, c'est sûr, de Paris, actuellement.

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