Puisqu'on a déjà évoqué et souligné la participation active de la POLICE dans les graves difficultés de SURVIE que j'ai connues DIX ANS dans "mon " HLM, et sans explorer plus avant la CAUSE de ces évènements SCABREUX autant d'années, signalées sur ce Blog, sans n'avoir vu personne y réagir autrement que d'un : " prenez bien soin de vous !" les années où les acteurs de l'immeuble me renvoyaient si ce n'est à l'hôtel, à la rue... à force de verrouiller également l'accès aux hôtels du réseau Mercure, aujourd'hui à la direction de Sarkozy sous le nom Accor !
Cela fera l'objet d'un autre billet. Puisqu'il se trouve que c'est son propre avocat, Monsieur Herzog, que j'avais croisé ème 30 Mars 2017, à la sortie de l'audience ( la première dans ma vie) dans un Palais de Justice, et qui plus accusée de diffamation par la 17 e Chambre Correctionnelle de Paris, celle réservé aux médias... pour avoir des années publié et rendu compte, dans un véritable journal quotidien - et ce, pour ma défense personnelle et ma survie - de ce qui se passait de scabreux dans mon immeuble !
Un exemple déjà naguère cité: quand sortant un matin, près de Saint-Lazare d'un hôtel au pied de la gare ( 100 euros la nuit tout de même !), et voulant prendre un p'tit dej; avant de partir, je suis allée à l'accueil de l'hôotel et j'ai dit, en sortant ma Carte bancaire:
- " Bon, ben on va jouer mon petit déjeuner à la roulette russe, comme la police nationale: j'ai 10 euros et je passe ou sinon...
Le mec m'a regardé, a encaissé les dix euros et m'a répondu:
"- Madame, vous pouvez y aller LA TÊTE HAUTE"
A l'époque j'avais encore des témoins nombreux à Paris 8. Ca s'est tari au fur et à mesure que la situation a empiré de mon côté...
Car, devant les "emmerdes" ( du type de ceux de Macron !), plus personne pour manifester sa solidarité !!!
Ce n'est plus "on va les emmerder !, c'est plutôt: - " démerde-toi !", pour employer le langage de nos dirigeants politiques !
Mais j'y reviendrai car des mois entiers j'ai demandé de l'aide à la police du coin, le soir, à minuit, quand des inconnus venaient frapper comme des dingues sur ma porte, et qu'ils allaient arriver à la défoncer, je n'ai jamais obtenu leur intervention.
J'ai vécu des mois d'affilée dans cet appart. en laissant la nuit toutes les lumières allumées, les 3 pièces qui, malheureusement donnent sur la rue, et me font être l'objet de soins particuliers parce qu'on sait tout ce que je fais !!!
Donc, question police: degré zéro de leur activité professionnelle.
Côté procès: ce n'était pas les flics qui me suivaient, c'était directement l'avocat de Sarko !
Il faut dire que les flics, ils m'avaient des années suivis dans mes démarches au Palais de Justice ( à partir de 2015), quand je me tentais de me rendre au Syndicat de la Magistrature, etc... là où ils étaient super efficaces: en traqueur de femme seule !
Jusqu'à Courseulles, d'ailleurs, où je vous raconterai les deux épisodes de flagrant délit de la gendarmerie locale, dans un Hôtel, l'Hôtel de Paris, et des une location dans la maison d'un certain Mr dosse:= comme quoi, on peut avoir été de gauche et soutenir la France de la Libération, et finir dans les mains des pompiers de Courseulles, de la gendarmerie, mais également des peintres et "djihadistes" locaux, s'infiltrant dans la journée dans la maison ouverte 24h sur 24, pour rejoindre la chambre louée et y entrer, comme chez moi récemment encore à Paris, et vous piquer ce qu'ils pouvaient : il y a un moment où ce n'est plus ce qu'ils volent qui importe, c'est le seul fait de faire effraction chez vous: la signature habituelle des mafias, qui paraît-il, entrent partout où ils veulent: une signature qui vaut " attention!" donc menace, pour vous faire taire, ou plus ...
Ca s'est passé deux étés à Courseulles. Puis, toujours fin limier et voulant comprendre dans quel ultime traquenard je tombais: j'ai appris par le directeur de l'Hôtel de Paris, que le maire actuel était un ancien pompier du 12e arrondissement: oh surprise ! Et que l'hôtel où naguère je me rendais quand ma fratrie m'avait exclu de chez ma mère pour désaccord profond, me fit savoir que des gens du gouvernement Sarkozy avaient réquisitionné à leur profit la chambre que j'y louais !
Contrairement à ceux qui aiment "faire avouer", je ne fais que décrire par le menu, et maintenant avec tous les détails croustillants, dans quels interstices de haute cruauté, ces gens-là utilisèrent la pègre pour servir leurs desseins les plus funestes !
Donc, je me suis traînée, en plus des trafics de stups et des violences répétées dans l'immeuble, les intimidations, les menaces et les représailles qui émanaient des autorités gouvernementales via leurs souffres chez les pompiers et la police, depuis l'époque du Procès de Paris-Habitat en 2017 !
Vous voyez qu'on tourne toujours autour de questions: logement, police, trafic, stups, immobilier, hôtels, etc... mis à part que cela ne s'est pas fait sans moultes violences énormes au quotidien, dans une cruauté sans nom !
Alors, vous redire ce soir deux choses que j'avais signalé il y a fort longtemps: mon père avait vécu 20 ans au moins à Fréjus avant de mourir. Ces vieux jours se sont finis dans un hôpital militaire à Fréjus. Et peu avant sa mort, j'ai tenté d'aller le voir : un médecin militaire, dans tout ce qu'il peut y avoir de plus scabreux en termes de menaces m'a demandé:
- "qu'est-ce que vous faites ici, votre père n'a jamais habité Fréjus ???"
La chambre d'hôtel que j'avais alors réservé pour revenir le lendemain matin voir mon père, est restée vide, bien que réglée cette nuit-là, et j'ai repris ( ça existait encore à l'époque) le premier train de nuit de retour sur Paris !
INOUBLIABLE.
Cette maison-là, 45 Allée des Passereaux, La tour de Mare: moi sa fille, je n'en ai jamais plus entendue parler ! Première maison: à résoudre !
La maison de ma mère, 4 avenue de Lausanne, au centre de Caen, à deux pas de l'Université, de l'Église Saint-Pierre et du Château: c'est une affaire certainement encore plus SCABREUSE ! mais là, il faudrait voir avec Mr J. GIUST, qui doit au cours des temps avoir fait des alliances avec la police locale caennaise, sinon, ma mère ne serait pas restée 10 ans avec "une LAISSE AUTOUR DU COU", sans que ça n'émeuve un quelconque de mes frères et soeurs ...
Dire tout de même combien cette fratrie avait perdu depuis bien longtemps toute mon estime. Et ce que j'ai vécu dix ans ICI m' souvent rappelé leur CRUAUTÉ, celle de deux soeurs, INNOMMABLE, mais aussi LEURS TRAVERS: des femmes que toute jeun,e j'avais SURNOMMÉ: LES ROULEAUX-COMPRESSEURS, et qui en outre, ressemblaient aussi avec la clique de mes voisins: VOLEURS DE TOUT CE QUI M'APPARTENAIT ...
Ca ne les empêchait pas d'être prof d'université, ou de travailler à la Catho !
L'horreur, ces femmes-là: et leur double, dans mon immeuble, 40 ans après !
Ceci dit: le "FAIRE DISPARAÎTRE", jusqu'à même VOTRE NOM, VOTRE DATE DE NAISSANCE, VOTRE IDENTITE, VOS PAPIERS, ET ANCIENNES ADRESSES, j'ai connu dès le début des années 2000 !
La Maif, la MGEN ( il leur a fallu 20 ans et le Covid, pour me refaire ma carte SS, de Sécurité Sociale ! POURQUOI ?????
Une, qui avait su y faire, c'était sa "femme de chambre" ou je ne sais quoi: une dénommée Yolande, disparue avec la mort de ma mère, exactement quand elle eût, ma mère, 80 ans, dont le mari, comme nombre d'entre les hommes qui se disent travailler sur Internet, était probablement un relai de la POLICE... Sinon, faire disparaître mes courrier sà ma mère, la référence à ma date de naissance et tout le tralala, n'aurait jamais existé ...
Tout comme dans ma jeunesse, une de ces deux soeurs jumelles en particulier, une perverse totale, avait profité de mes voyages au Brésil, pour s'emporter en province à Auxerre, ma première bibliothèque ! Et puis progressivement, le reste: mes objets africains, mes bibelots brésiliens dont j'ornais la maison familiale, des jambe, etc ... les cocars indiens ... Enfin, tout: donnant continuité à son sport de toujours: me piquer mes affaires, mes amies, mes mieux de vie, ...
dieu sait si je me suis souvent rappelé de toutes ses forfaitures de jeunesse, mais aussi de femme adulte, quand à Caen, elle soutenait la maire sarkozyste, et m'empêchait sous toutes les formes de rencontrer ma mère !
Je le répète une dernière: deux femmes qui détestaient ma mère, s'étaient battues entre elles des années, et avaient continué une fois à Paris, enfin... des conflits interminables, mais malgré ça, pleine de fric avec leurs contrats de consultantes auprès des grandes entreprises nationales, publiques ou privées, se disputaient comme des charognards quand ma mère me donnait un vieil appareil fphoto, ou me laisser sa vieille auto ...
Des charognards ! En plus de rouleaux compresseurs ...
Cette histoire de maisons... nous y reviendrons car pourquoi MA MÈRE s'est-elle retrouvée A VIVRE dans sa PROPRE maison, circonscrite et ENFERMÉE PAR LA POLICE LOCALE ?
Pourquoi celle-ci, LA POLICE, s'est ensuite transportée à Paris, pour me poursuivre de la sorte DURANT 20 ANS ???
CONNEXION: STUPS X POLICE, je l'ai assez documentée !
Mais AUSSI, du nouveau: CONNEXION POLICE X HABITATIONS ! POURQUOI ???
En réalité, ce que j'ai décrit sur ma mère, à qui l'on a tout retiré progressivement chez elle, ça m'a fait tilt: c'est exactement ce qui s'est passée pour moi à Paris !
J'avais un appartement modeste, mais agréable: tout a été saccagé: il ne reste plus rien: ni tapis, ni paniers, ni moquette, ni nappes, ni tout ...
Un lieu DÉVASTÉ !
Exactement comme ce que j'avais décrit de Caen, en y revenant bien plus tard: UNE VILLE DEFIGURÉE !
IL Y FALLAIT BIEN DES PRÉDATEURS ... DU MÊME GABARIT A PARIS, A CAEN, A FREJUS ET A TOULOUSE:
Donc ce billet aura servi à mettre en évidence un autre aspect de la MAFIA dont j'ai été entourée 20 ANS et PLUS....
Des dernières informations que j'ai pu recueillir de Mamère avant qu'elle ne sombre dans les mains de la police locale, comme les dits "musulmans" aux mains des tortionnaires des camps de concentration:
Elle criait et appelait secours pour ne pas se retrouver seule avec mon frère Jacques, CELUI DES BOUQUETS DE ROSE FÂNÉES QUE JE RETROUVAIS DES MOIS APRÈS TEL QUEL, celui auquel France Musique, À MA GRANDE SURPRISE, faisait référence il y a peu, et qui pourtant me semble bien avoir couché les pouces sur une MAFIA IMMOBILIÈRE, à tel point que toute considération réelle et bienfaisante vis-à-vis de ma mère avait totalement disparu de son horizon:
ENCORE UN QUE JE NE PORTAIS PAS DANS MON COEUR !
Donc un nouveau chapitre aujourd'hui: maison de mon père, disparue. Sans laisser de traces d'héritage !
Maison de ma mère, celle que j'avais tant aimé, j'étais bien la seule dans la famille, et dont la fratrie ne m'a jamais pardonné d'être intervenue chez un notaire: pour qu'elle ne finisse pas ses jours dans un EPHAD !
ELLE A FINI PRISONNIÈRE DE LA POLICE: je ne sais pas si c'est mieux !
Bonsoir et à bientôt.
Prochain chapitre: mon ex-appartement à Toulouse: et comment une mafia financière, au lieu de vous en faciliter le maintien, en vous faisant quelles facilités temporaires, VOUS PLOMBE TOTALEMENT ET ARBITRAIREMENT, VOUS CONTRAIGNANT A VENDRE SUR LE SEULM FAIT DU PRINCE DE RESPONSABLES INSIGNES D'AGENCE IMMOBILIÈRE TOULOUSAINE, SOUTENUE PAR DES BANQUES PARISIENNES, EN QUÊTE DE FRIC, DE VENTE, DE PLUS-VALUE, ET N'HESITANT PAS POUR CE FAIRE À DÉPECER LES GENS SANS FORTUNE: LE PIRE DU SCABREUX DE L'IMMOBILIER FRANÇAIS ACCOINTANCÉ AVEC LES BANQUES, CE QUI N'EST PLUS POUR NOUS ETONNER !
Bye bye, les crapuleux !