Marie Christine GIUST

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Billet de blog 21 janvier 2015

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2004 e Hoje: les brésiliens face au miroir insoutenable de Holocausto Brasileiro !

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Elle est où la bande d'escrocs qui ne savent que se taire aujourd'hui ? Et qui ont laissé faire le pire, avec la complicité totale de certains universitaires - universitaires français et brésiliens ayant maintenant pignon sur rue -, 
il y a dix ans quand c'était encore Sachs qui tenait le séminaire de l'EHESS !
Toi qui connais, semble-t-il, d'après ce que tu m'as dit, les questions de discrimination, comment penser le silence contemporain de tous ceux impliqués dans dix ans de politique du pire, aussi bien individuelle que collective ???
Une somme de brésiliens qui profitent ici des "mordomias brasileiras", et sont incapables de manifester la moindre empathie ou solidarité, et faire signe, avec ce qui vient de se passer pour Charlie Hebdo et l'Hyper Casher ?
C'est réservé pour qui, les honneurs, les attentions, les distinctions, les échanges, les paroles échanges, etc ????
Où y sont ces gens-là, les dits intellectuels brésiliens, qui passent leur temps à faire, ce qui n'a plus aucun sens pour les intellectuels post-68, leur carrière universitaire alors que c'est l'Hisotire qui nous requiert ?
Comment est-ce que les choses de la vie, le quotidien, les valeurs actuelles peuvent -elles changer ? En se taisant ? 
En ne soutenant que le fait qu'on veuille pouvoir donner son séminaire, comme l'a fait ce soir Afrânio Garcia, avec tant d'obscénité ?
Où ils sont ceux qui défendent les opprimés ? Les gens abandonnés sur le bord de la route ? Et qui sont ceux, les mêmes, qui ont passé plus de dix ans à nous faire la morale, 
et nous ont démontré qu'ils étaient tous incapables de tendre la main, évidemment, à ceux qu'ils faisaient enfermés, comme à la pire époque de la dictature brésilienne ?
C'est pour cela qu'ils ne veulent pas laisser publier la traduction de Holocausto Brasileiro de Daniela Arbec ! Ils se voient dans leur miroir  (???): le miroir de ce qu'ils ont laissé faire, ou mieux: dont ils ont été les agents actifs !!!
Mais ça se passait au coeur de Paris ? Il n'y a rien à en dire de ces escrocs soit-disants universitaires, et brésiliens de surcroît ? Ne sont-ils pas, aidés par des psys franaçis douteux, en train de prolonger la poilitique vichyste et dictatoriale,que les uns et les autres osent dénoncer, tout en faisant de même ?
Où est le respect des autres, quand ceux qui ne veulent rien entendre dire de leurs magouilles et leurs escroqueries individuelles, se taisent comme les fachos ?
Sontils et agissent-ils comme des justes, quand ils passent des années à somettre et ensuite, par ce qu'on vient demander des comptes - normal, non ?- seraient prêts à vous faire enfermé ???  
Elle est où l'humanité parisienne ???
Elle se cache derrière son petit doigt, bien au chaud, dans des logements autour du Luxembourg ??? Avant d'aller rejoindre les hautes élites locales cariocas, pleine de fric  ???
Roberto Saviano, dans son article dans Libération du jour, mercredi 21 janvier, a raison !!! Mais eux, les brésiliens de passage, ils s'en foutent! Ils sont prêts à tout, pour gagner des galons académiques ! Comme s'il s'agissait encore de cela, la promotion individuelle ???
Et vous, cher Monsieur, aussi le silence ? Comme seule modalité d'échange ???
Ca vole pas haut ? si ce n'est que cela ???
Vous avez compris ou non les raisons ( raisins) de la colère,ou fait-il la laisser aux romans américains ???
Difficiles, pour les Brésiliens de Paris, de se regarder dans le miroir que leur tendrait la traduction en France, par mes soins, de Holocausto Brasileiro De Daniela Arbex !  D'où leur silence d'escrocs... 
aidés de quelques psys d'arrière-garde... Bravo ! Félicitations ! Parabéns !

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