Tu comprendras la virulence de mes propos, Afrânio, maintenant que tu vas savoir qu'aucune des personnes rencontrées à l'EHESS, par ton intermédiaire ( mais si j'ai bonne mémoire, ça ne date pas d'aujourd'hui, 2004 déjà...)
Comme encore aujourd'hui Neiva, que tu reçois à ton séminaire, ce mercredi 21 janvier...et qui, malgré des mails envoyés, et des promesses verbales faites, comme toute ta bande, n'a jamais eu la décence
- mais l'obscénité est plat quotidien : tiens Guiomar Machin, et les autres...-
de répondre ou de faire suivre ce qu'ils promettaient...
Jamais, un parole, jamais un contact... WHY ???? Y aurait-il des pestiférés ???
Et bien les pestiférés, Afrânio, et tous ceux qu'on peut recevoir dans son séminaire, mais pas dans son salon, ni le vôtre ni le mien, car ils ne répondent même pas aux invitations... ça porte un nom : SEGREGATION... APARTHEID...
Et, il arrive qu'un jour, comme la semaine dernière, on le fasse savoir par une COLERE LEGITIME...
Ni toi ni Mônica Schpun, ni tous ces universitaires planqués... n'avaient eu la décence d'aller outre la faveur que vous deviez être en train de me faire...
assister à vos colloques "entre soi", sans jamais avoir droit au contact postérieur, ni amical, ni universitaire...
Tu appelleras ça comme tu veux. Moi, j'appelle ça de l'obscénité ! Surtout quand l'enjeu était, dès le début, un livre que j'ai traduit, Holocauste Brésilien de Daniela Arbex,et qui, déjà, à toi ne te plaisait pas.
Comme il ne plaisait pas non plus à Ana Daou, il y a deux ans, qui n'avait pas donné suite à un courrier mien, mail, envoyé à Rio, à Noël 2013...
Ni à Neiva, rencontrée en octobre aux Comptoirs des PUF, et qui pourtant promettait ces grands dieux... puis qui, chaque fois que je l'ai rencontrée, c' en est resté là.. sans aucun message ni mail en retour.
Je le répète: ça s'appelle obscénité ! Et moi, c'est sûr ça que, comme psychanalyste, je travaille ! La violence et l'obscénité. Ou mieux: la Violence de l'Obscénité Le monde universitaire en est truffé, malheureusement !
La tuerie de Charlie Hebdo a eu lieu avant que tu ne lises ni ne réponde à aucun de mes textes sur la violence... En justifiant "tes " maladies...
Et je le répète aussi: pour nous psys, les maladies sont des symptômes comme d'autres, à analyser, et SONT A INTERROGER COMME LE RESTE...
Nous, on cherche à comprendre et interpréter " l'obscénité contemporaine", dont ne sont pas indemnes de nombreux universitaires, au-delà de leurs travaux respectifs....
Ne t'en déplaise, à toi, et tes pseudo-copains psys !!!
Un petit tour de divan ne ferait de mal à personne, vue ce que je n'ai pas vécu en votre non-compagnie, mais que j'ai supporté: l'obscénité de votre silence lourdingue !
Et à bon entendeur, salut !!!