Ce petit mot pour faire passer l’angoisse aux tripes...
Pour moi, le jour où je me suis retrouvée seule dans ma vie, après avoir passé dix ans et plus ( + toutes les années précédentes) à construire une vie de famille, diverses activités professionnelles, comme enseignante et comme psy, en tenant toutes mes responsabilités les plus diverses dans la joie et avec facilité, me retrouver sans rien, ni personne, c’est comme si ma peau s’était retournée et que je sois restée écorchée vive sans peau, sans protection…La chance m’avait quittée du jour au lendemain…
Puis allait venir progressivement le: « être vendue aux chiens »… de l’immobilier, de la finance, de la délinquance, et tutti quanti:
fallait-il avoir été abandonnée alors totalement pour que 20 ans plus tard, malgré les efforts, les tentatives de redresser la barre: il ne reste au fond de moi que cette sensation d’une solitude abyssale que je supporterai si seulement elle n’état associée à l’idée persistante et bien réelle que je suis toujours, même sous une autre forme,: " la proie d’une mafia "...
Ce matin, j’écoutais comme d’habitude le 7/9 de France Culture et je me suis assoupie comme souvent depuis la rentrée, et j’ai fait un cauchemar.
Un cauchemar que j’ai souvent fait depuis fin août: je suis face à un interlocuteur de la vie réelle ( comme ici face à un invité de la matinale de ce jour) et je veux intervenir et entrer dans le débat ou la conversation pour donner un complément d’information ou/et mon analyse:
je parle mais aucun son ne sort de ma bouche !
On ne m’entend pas, ni mes arguments, car on n’entend pas ma voix, je suis aphone, comme « castrée » de la voix !
Je parle, je parle, je parle, mais Rien !
Aucun son ne sort de ma bouche. Et je me réveille angoissée…
Depuis mon retour de mes "si fumeuses vacances » de 5 nuits en Normandie, poursuivie par la gendarmerie du coin, après tous les croche-pieds possibles et inimaginables qui auront tenté tout l’été de m’empêcher de faire les démarches nécessaires à la vente de ce fameux appartement de rien du tout, je me retrouve toujours au point mort: être « la proie d’une mafia »…
Ce week-end, depuis donc vendredi 25, et mon retour en bus chez moi, j’ai dû rester enfermée chez moi, sans sortir jusqu’à hier mardi. Pourquoi ?
Parce que depuis le mardi ou mercredi précédent les travaux de peinture dans l’escalier qui mène du rez-de-chaussée au premier étage ( chez moi) avaient recommencé:
et les peintres étaient tous des djihadistes obséquieux mais néanmoins menaçants , comme dirait ma responsable de banque !
Dimanche fût un jour heureux, disons: Talmudiques sur France Culture le matin, sur la question de la gratitude dans la tradition hébraïque alors qu’on fêtait Yom Kippour; puis l’émission d'Émilie Aubry ensuite sur la situation politique internationale en ce temps de rentrée prise entre les graves questions internationales, dont celle, pas des moindres: le Covid et la reprise de l’épidémie !
Puis toute la journée: la lecture du livre de Camilo Ramirez sur "La Haine et la pulsion de mort au XXIe siècle. Ce qu'en dit la psychanalyse », et le livre de Philippe Lançon, "Le Lambeau", interrompu il y a longtemps car impossible à lire pour moi, dans le contexte des menaces chez moi….
Mais tout de même, dire que le jeudi 24 septembre, après avoir tenté six fois par téléphone de joindre ma responsable de compte à la Banque Postale car ....., je me suis déplacée à l’agence Médicis, en face du Sénat, et qu’elle m’a traitée comme un chien:
- vous n’avez pas de rendez-vous ! je vous appellerai quand…, je ne serai pas là demain vendredi ….
Sans même me dire bonjour, … J’étais arrivée à l’agence avec une amie rencontrée par hasard dans un bus tout près de là…
Elle a été témoin de la scène !
Mais revenons aux cauchemars: deux cauchemars récurrents depuis début septembre: "effraction chez moi", et "parole étouffée" !
Le premier cauchemar:
je me réveille en pleine nuit car des gens veulent rentrer chez moi, et veulent faire effraction en défonçant la porte…. trouant la porte, pour rentrer de toute façon: je me réveille super angoissée ...
( je suis restée en 2016 six mois à dormir la nuit avec les lumières allumées dans tout l’appartement, car des gens avaient effectivement tenté d’entrer !)
Le deuxième cauchemar:
je veux parler à quelqu’un mais la ou les personnes à qui je m'adresse ne m’entendent pas car malgré mes efforts désespérés, aucun son ne sort de ma bouche, et l’on n'entend rien de ce que je veux dire et transmettre:
même angoisse, d’une femme cette fois-ci: « PRIVÉE DE PAROLE » !
Contexte d’hier: aller à ma banque hier, pour m’assurer qu'on ne va pas me voler mon fric, comme on viole ma maison, depuis tant d'années ( ???), m’a totalement déprimée:
Oui, j’en suis sortie totalement déprimée !
Maintenant qu’il y aurait du fric à se faire ..., la responsable de mon compte se montre affable, veut me vendre tous ses « produits », et pense même que je vais commencer une deuxième vie de « spéculatrice financière" : quelle honte ! quelle méprise ! quelle manipulation amorale !
Ils n'ont vraiment rien compris tous ces gens de la finance ! Tous amoraux...Sans aucune analyse politique ! Ni même sens éthique !
Après autant d’années à "crever la dalle » ( crever de faim ), et tenter seulement de SURVIVRE au coeur d’une mafia d’escrocs, les grands protégeant les petits , votre banque, longtemps associée au pire, vous ferait des propositions de...!!!
Faut vraiment ne rien avoir compris sur ce que fait de nous des résistants au pire !
Non seulement vendre un petit appart. ne change rien pour moi, puisque je continue à subir des menaces ( cette fois-ci « non voilées » des peintres-"djihadistes"(?)) mais durant 5 jours: l’immeuble a été assailli jour et nuit par des dealers qui entraient et sortaient toutes les 3 minutes !
Ca m'avait fait dire à la Mairie du 12e il y a quelque temps:
- " Mais alors, la police du coin serait incapable de démanteler un réseau de trafiquants, à deux pas du commissariat ?"
Du cauchemar de ce matin, donnons le contexte sur France Culture: d’un côté, la sortie d’un film sur les violences policières de David Dufresne, interviewé ce matin, et de l’autre, l’annonce de la saisie par le nouveau Ministre de la Justice, du Parquet National Financier:
une bombe en somme, pour tenter de protéger Sarkozy dont le procès approche ( en novembre)…
Et moi je sais que sa police, à Sarkozy, et l’entrée au gouvernement Macron de 4 de ses anciens plus proches collaborateurs à Sarkozy, n’avaient pour objectif que de le protéger de son procès à venir ,lui l’homme ignominieux, sans aucune morale, qui se sert depuis des années de ses copains-escrocs dans la Police et la Justice, pour continuer à perpétrer ses exactions illégales, voire " criminelles", et cela au coeur de la Justice Française…
Quand le FGTI, Fonds de Garantie des Victimes du Terrorisme, me réclamait 4000 euros il y a quelques mois: c’était bien parce que quelqu’un de chez eux: la police et/ou la justice dévoyées de "chez la bande à Sarko", étaient intervenues:
« plus sordide que ça tu meurs », avais-je écrit alors depuis septembre et rendu public sur ce blog de Médiapart !
Malgré tout, se réveiller encore un matin, avec cette sensation encore une fois d’être abandonnée dans cet immeuble, face à la gravité de la situation !
Sans exagérer, je me sens tout autant EN DANGER qu’au premier jour de cette histoire sordide !