Adieu luttes et masses
classes, putes et frasques
Adieu malins et coquines
qui festoyiez au caniveau
Adieu pourriture divine
T'as tout laissé sur le carreau
t'as fait plier les coeurs les corps
t'as investi dans le croco
tu as bien maquillé les morts
T'as tout laissé à Gibraltar
à tes frontières, dans l'or
des vagues, sous les radars
T'as fortifié l'identité,
lui as donné le chic, le lard,
t'as caché ton moi tout mité
Et t'es tout nu sous le costar
tout nu ! ma féroce calamité.