Avant toute chose, ce 14 Juillet, jour de Fête Nationale, je m'adresse à mes collègues patriotes des blogs de l’Obs, dont Hub qui est de gauche mais qui aime son pays et son armée, et je leur propose un petit tour, vite fait, chez un prosateur émérite du "Club" de Médiapart. Un « contributeur » dont je viens de trouver le blog en tête de gondole d'une sélection « maison ».
L'individu s’appelle Mouloud AKKOUCHE. Voilà qui ne s'invente pas, car, attendu le scénario qu'il met en branle, on va donc pouvoir le baptiser... si je puis dire... le "bien nommé".
Préciser tout de suite à mes amis que la nausée m’est venue à l’abord de la 5ème ou de la 6ème ligne du préambule, et que je n’ai donc pu aller plus loin sinon un fugitif survol. D’où mon inaptitude à leur faire un résumé fiable de ce qui semble vouloir être une fiction. Ça vaut néanmoins et certainement son pesant d’exotisme.
Et bien sûr, cela transpire dès l’exorde son amour de la France. Et de ses militaires.
Sinon aussi, n’ai-je regardé ni le Défilé, exhibition de nos carences logistiques actuelles, ni, et encore moins, la prestation élyséenne de notre farceur national. J’ai trop de soucis physiques en ce moment pour m’en imposer de moraux. Voir notre vieux pays s’éteindre, victime des offices de gens médiocres rajoute à de légitimes réflexions eschatologiques qui me visitent de temps à autre, mais elles sans trop me perturber.
Tandis que l’avenir de la France, si !
Celui que Vlad, ou peut-être Parker ou encore Momo a qualifié de prestidigitateur, l'autre jour, ou que pour sacrifier à un retour en vogue de l’épithète, ces derniers temps, on pourrait dépeindre en président « mexicain » (du même plumage que les généraux du même nom), le clown a décidément le c... bordé de nouilles.
En effet s’est présentée à point-nommé cette affaire grecque, dans laquelle le drôle a réussi à se donner le rôle et l’illusion d’un monsieur bons-offices, gesticulant et courant d'un camelot méditerranéen à une valkyrie un peu lourde mais déterminée.
En vérité, même si je n’y comprends rien en géopolitique et encore moins en finances, il m’apparaît flagrant que toute cette histoire était et est traitée depuis Berlin... et Washington. Basta. Le reste, la parade diplomatique habituelle et les allers et venues des uns et des autres n’étant que du cosmétique. N’empêche que notre pingouin, soucieux de paraitre l'homme de la circonstance, y est allé sans ménagement de la bedaine et de son sourire de coiffeur pour dames provinciales sous l’objectif des caméras.
Un accord de dernière minute aurait été signé, qui a permis à l’imposteur, sautant sur l'occase, de passer d'une auto-satisfaction de président « Normal » à l'auto-célébration de chef d’État « Audacieux ». Des comme on n'en trouve pas tous les jours : Il y fallait assurément une certaine audace. Il l’a osée. Car on n’est jamais mieux servi que par soi-même.
Ceci dit, l’enthousiasme qui a été de rigueur toute la journée parmi les différentes Rédactions de l’audiovisuel français vient d’être douché, ce soir, par une déclaration du spartiate bifrons, qui se prétend devoir appliquer un accord auquel il ne croit pas.
.... !!!
Le soufflet retombe ainsi en salade grecque. En quelque sorte : Envoyez le pognon (83 milliards quand même, excusez du peu !)... et on verra ensuite.
C’est ça et pas autre chose. Le gars Alexis se verrait bien reparti comme ses prédécesseurs, le fric de l'Europe en poche et ses promesses de réformes en bandoulières.
Quelle sera dans quelques heures la réaction de la déesse aux bajoues, réelle et unique patronne de l’Eurogroupe ?...
Voilà une vraie et solide question.