Double réparation pour une même panne !
Mardi 16 novembre 2021 : Ma Toyota Auris hybride (30 000 km ) a son moteur thermique qui tourne sur trois cylindres au ralenti. Je parcours deux km et demi et reviens chez moi.
La MAIF prend en charge le véhicule et le fait conduire à Toyota Toys Motors de Petit Quevilly, le garage le plus proche.
Après entrevue téléphonique, « l’atelier » m’explique que j’ai dû me tromper de carburant. (sic) Soit j’aurais mis du gazole à la place du sans plomb. Ben voyons ! Sauf que l’entrée du réservoir alerte l’éventuelle bévue qui existe le plus souvent dans l’autre sens.
Essence dans le réservoir de gazole.
Mercredi 17 novembre après midi :
Je me rends à Toys Motors Petit Quevilly. Ma voiture est sur le parking. Je vais récupérer des affaires et ouvre le réservoir pour humer ce qu’il contient. L’agent mécanicien qui m’accompagne me le referme. J’insiste, j’ouvre à nouveau et retire le bouchon. Je fais constater qu’il n’y a pas d’odeur de gazole. Le « mécanicien » ne prend même pas la peine de venir respirer l’odeur qui se dégage.
Il est prévu un démontage du réservoir après vidange d’un plein récent. (Peut-être pas perdu pour tout le monde…) Tacitement « Mais pour qui se prend-il ce vieux barbu ? «
Jeudi 18 novembre : rien. Aucun travaux. « On s’en occupe demain. »
Vendredi 19 novembre : « on » va démonter un injecteur qui a dû être encrassé. ( Fond de cuve ? Ce qui supposerait l’inutilité des filtres à essence)
Samedi 19 novembre ou le dimanche : j’envoie un courrier par mail à Toyota France leur racontant ce qu’il m’arrive et leur demandant une participation aux frais.
Lundi 22 novembre : travaux en cours.
Mardi 23 novembre : je rends le véhicule de prêt offert par la MAIF conformément aux possibilités de mon assurance. (5 jours)
Mercredi 24 novembre : j’ obtiens un prêt de véhicule de courtoisie de la part de Toys Motors.
Jeudi 25 novembre : je récupère mon Auris prétendument réparée.
On me montre un injecteur dont la grille est corrodée. « Sans doute par de l’eau ? » Et dont le joint torique du bas est cassé, sans pour autant être parti de la pièce. « Ça arrive ! »
Généreusement, on me fait cadeau du coût de cette pièce.
Sur ma boite mail : Toyota France me dit qu’il n’est pas de leur compétence de s’immiscer dans la gestion de leurs succursales mais qu’ils ont pris contact avec Toys Motors Petit-Quevilly et appris que mon véhicule m’avait été remis. J’en déduis que ma demande de « geste commercial » a bien été prise en considération.
Arrivé à mon domicile je gare ma voiture comme d’habitude dans mon garage. Forte odeur d’essence.
Vendredi 26 novembre : je fais des courses. Et toujours forte odeur d’essence. Je téléphone à l’atelier et me plains de cette odeur. Réponse : « C’est normal » (sic) après les travaux que nous avons exécutés « L’essence est volatile, attendez le week-end. » (resic)
Le week-end se passe. Les odeurs, s’atténuent un peu MAIS persistent. Après avoir vainement essayé d’avoir l’atelier « débordé », je roule toute la semaine, dans l’agglomération sans faire beaucoup de kilomètres. Mais l’odeur est toujours là. Je commence à douter sérieusement de la volatilité de l’essence. N’y aurait-il pas autre chose que des restes de travaux ?
le lundi 6 décembre, Toys Motors daigne me recevoir mercredi prochain.
mercredi 8 décembre : je porte mon véhicule. J’attends une vingtaine de minutes. Le responsable de la réparation me le rend en m’annonçant « qu’il n’y a aucune fuite ! . Ce n’est que la juste conséquence de la réparation. Ça devrait disparaître ! »
Très bonne nouvelle, n’est-ce pas ?
Je n’ai jamais crié, je ne me suis pas mis en colère, cela ne sert à rien. Toujours courtois de part et d’autre.
Impression d’être pris pour un imbécile depuis le début. Très désagréable.
Gentiment, on a injecté un super désodorisant dans le filtre à air du véhicule. Retour at home dans un habitacle parfumé.
Arrivé à la maison : toujours émanations d’essence sortant du moteur et bien incommodant pour le garage et les pièces attenantes.
Puisque l’on se paie ma tête, il faut changer de partenaire.
Vendredi 10 décembre : prise de rendez-vous à Bray-Auto à Beauvoir en Lyons, concessionnaire Toyota depuis des années, spécialiste des 4X4.
Première réaction du responsable de la mécanique : « Quoi ! Un injecteur à 30 000 km ! Sur une Hybrid ? Je n’ai jamais vu ça en 15 ans de carrière.
Mardi 14 décembre : 14 heures, le responsable de la mécanique de Bray Auto, concessionnaire Toyota indépendant, en trente secondes, me prouve qu’il y a bien fuite au niveau de l’injecteur.
« On » n’aurait pas mis de joint.
Il n’est pas question que je reparte avec ce véhicule, le moteur peut prendre feu à tout moment.
Il téléphone à Petit-Quevilly après m’avoir appris que je risquais de voir mon moteur prendre feu. Après avoir demandé qu’on vienne chercher le véhicule et devant mes signes de réticence, il accepte de s’occuper de la « réparation de la réparation » sous couvert que la facture sera payée par Petit-Quevilly. Il commande les pièces. « Je les aurais demain ! » Il me prête un véhicule pour rentrer chez moi.
Mercredi 15 décembre : pièce pas arrivée.
Jeudi 16 décembre : début des travaux et découverte qu’un autre joint a été abîmé qu’il faut le remplacer, qu’il l’aura demain, et que les coussinets de feutre de la plaque de protection du moteur sont imbibés d’essence. Il devra les nettoyer au Kärcher.
Vendredi 16 décembre : ma voiture m’est rendue en parfait état de fonctionnement. Enfin ! Elle n’a jamais aussi bien tourné.
Pour une panne, est-il normal de constater qu’il faut un mois pour réparer ? Avec une première « fausse » réparation et une deuxième pour réparer la première intervention.
Ce n’est pas tout à fait l’idée que l’on se fait de la société Toyota présente sur tous les continents et créatrice d’un système Toyota dans la tradition japonaise de sérieux, de dévouement à la marque, de confiance réciproque. Il y a là de quoi perdre la face, ce qui peut conduire au « sepuku ».
Du moins quand on possède encore un certain code de l’honneur.
Du 24 novembre au 14 décembre, j’ai donc roulé avec un véhicule « réparé » qui risquait de prendre feu. Telle est la conscience et la qualité professionnelle de Toys Motors Petit-Quevilly.
Cette voiture est ma troisième Toyota : une Corolla Verso, aucun problème. Une Auris Hybrid première génération, aucun problème. Autour de moi tous ceux qui roulent Toyota sont satisfaits.
Je tiens à souligner la qualité, la gentillesse et le professionnalisme de Bray Auto qui fait construire un nouveau garage à La Feuillie, sur la nouvelle zone artisanale à la demande de Toyota France et qui ouvrira début 2022.
Par contre, il faut éviter Toys Motors de Petit-Quevilly. Du moins pour réparer.
Lundi 20 décembre : Envoi d’un dossier et d’une lettre d’accompagnement adressée à la direction de Toys Motors, en recommandé. Toys Motors possède plusieurs succursales Toyota en France, représente aussi Lexus et une tripotée de succursales Mercédès.
Mardi 28 décembre : je reçois l’avis de réception de ce dossier qui a été présenté le 21 décembre sans que j’en ai le moindre écho. Période de trêve de Noël. Restons calmes ! Attendons !
Mardi 11 janvier 2022 : je reçois de Toyota France service clientèle une réponse à ma demande de prise en considération de mon dossier.
Réponse à votre demande [ ref:_00D20mqp8._5006M1u6Ty5:ref ]
Boîte de réception
15:24 (il y a 1 heure)
Service Relations Client TOYOTA scc@ctoyota.net via xi2nmfdtxuyy.2-mqp8eaa.eu33.bnc.salesforce.com
À moi
Bonjour Monsieur PLANTEROSE,
Je fais suite à votre message sur la page FACEBOOK de TOYOTA France dans lequel vous nous faites part des difficultés rencontrées avec votre AURIS HYBRIDE (châssis n° SB1KS56E70E046693) et de votre attente d'une réponse de votre réparateur agréé TOYOTA, TOYS MOTORS ROUEN au PETIT-QUEVILLY.
Je tiens à vous assurer que la satisfaction de nos clients est au cœur de nos préoccupations quotidiennes, et regrette bien sincèrement votre mécontentement.
Vous comprendrez cependant qu’il m’est difficile de prendre parti dans ce litige. En effet, le Service Relation Client ne peut se prononcer en lieu et place de notre réseau de concessionnaires agréés.
Cependant, soucieux d’apaiser la situation, j’ai de nouveau pris contact avec notre partenaire agréé. Ce dernier est tout à fait disposé à vous recontacter dans les meilleurs délais afin de répondre au mieux à votre demande de geste commercial.
Je suis persuadé que cet entretien se déroulera dans les meilleures conditions.
Enfin, soyez certain que vos remarques et commentaires concernant votre expérience nous permettront, ainsi qu'à notre réseau, d'améliorer la qualité de service qui vous est offerte.
Souhaitant que ces événements n’aient pas altéré votre perception de notre marque, le Service Relation Clients reste à votre disposition pour toute autre demande.
Très cordialement,
Nabil
Service Relation Clients TOYOTA
Internet : http://www.toyota.fr
ref:_00D20mqp8._5006M1u6Ty5:ref
Je vais donc attendre quelques jours une prise de contact de la part de la direction de TOYS Motors Petit-Quevilly. Mais cela s’éternise.
Jeudi 13 janvier : je contacte Maître Jean Sébastien VAYSSE qui m’envoie un mail m’annonçant qu’il me recontactera au plus vite en vue de porter plainte pour « mise en danger de la vie d’autrui ».
Mardi 18 janvier : aucune nouvelle ni de Toys Motors, ni de l’avocat. Je vais au TGI et porte plainte contre Toys Motors Petit-Quevilly pour « mise en danger de la vie d’autrui ».
Mercredi 19 janvier : Je poste sur le site Toys Motors Facebook que j’ai porté plainte.
: je poste le dossier complet à Toys Motors Petit-Quevilly.
Lundi 31 janvier : Coup de téléphone du responsable de Toys Motors Petit-Quevilly en déplacement dans le Pas de Calais. Très aimable, présente ses excuses, a lu mon dossier. Proposition : « nous vous offrons la gratuité de la prochaine révision. »
Ce qui me fait rire !
Je lui rappelle à quoi doit s’attendre quelqu’un, accusé de « mise en danger d’autrui » qu’il a parfaitement lu. Soit 15 000 € d’amende au maximum et quelques mois de prison.
- Qu’est-ce que vous attendez ?
- Echange de mon actuel véhicule contre le même modèle de l’an passé. Couleur bleue.
- Je ne peux pas prendre la décision. Je vais en référer à mon employeur.
Apparemment pas étonné de ma requête qui se traduira par le retrait de ma plainte.
Conversation entre gentlemen qui se termine par « au plaisir de vous revoir ! » De ma part.
J’ai quand même remis en mémoire la manière dont on m’avait pris pour un imbécile. En particulier lorsque j’ai fait la preuve qu’il n’y avait pas eu de mélange de carburants, ce qui n’avait pas empêché le démontage du réservoir.
Rappel aussi de la réflexion de Nicolas à Bray Auto lorsque je lui ai téléphoné pour prendre rendez-vous « Quoi ? Un injecteur défectueux sur une hybride de 30 000 km ? Jamais vu ça en quinze ans d’exercice de ma profession. »
« - Heureusement que Bray Auto existe ! » ai-je déclaré.
Il n’y a plus qu’à attendre.
Lundi 28 février : aucun signe de la part de Toys Motors qui joue le temps, l’usure du demandeur, ce qui prouve aussi le mépris absolu que ce marchand de voitures éprouve pour sa clientèle.
Je ne suis pas pressé. La valeur de reprise de mon véhicule actuel descend, ce qui va constituer un argument de plus vis à vis de la justice qui devra prendre en considération que le vendeur de Toys Motors Petit-Quevilly, sans avoir vu le véhicule me l’avait, au moment des faits, estimé à 11 000 €. C’est à partir de cette estimation que l’on devra négocier. Point final.
Mardi 29 mars
Silence total. Toys Motors laisse pourrir mon dossier dans un tiroir quelconque sachant que la Justice a d’autres chats à fouetter et que cette « petite affaire » peut attendre des mois.
Vu l’âge du conducteur et l’épidémie en cours, son décès mettrait un point final au litige.
Force est de constater que Toys Motors n’est qu’une entreprise à vendre des voitures, réputées de qualité (Toyota, Mercédès) et ne s’embête pas trop avec le SAV, méprisant sa clientèle et la mettant en danger en toute impunité. A moins que la justice ne la remette face à ses responsabilités. Car pendant ce temps-là, j’ignore si des sanctions ont été prises à l’encontre des fautifs…
Silence absolument méprisant.
Lundi 19 septembre 2022
C’est « l’enterrement du siècle » de la reine Elizabeth la deuxième.
Aucune nouvelle de ce qui m’est arrivé avec mon véhicule, ni de la part de la justice sans doute débordée et qui ne va pas défendre les intérêts d’un quidam contre Toys Motors qui peut donc continuer à mettre en danger impunément la vie de ses clients, et encore moins de Toys Motors Petit-Quevilly, qui a complètement oublié cet incident.
Entre temps, mon épouse est décédée et enterrée. Elle s’appelait Reine. Son décès a été réglé simplement entre famille et amis. Et pourtant elle régnait sur tous avec intelligence, amour, compréhension et courage devant la maladie.
Demain, j’essaie de réveiller le TGI qui croule sous les affaires. Décidément, les services publics sont en piteux état en cet an de grâce 2022.
Les magistrats viennent d’être augmentés de 1000 € alors qu’ils réclament des postes. Soit des moyens pour bien faire leur métier.
La rentrée des classes s’est faite à grands renforts d’emplois précaires avec des suppléants recrutés au fil de l’eau.
Et les hôpitaux sont toujours plus ou moins au taquet dans certains services. La notion de « déserts médicaux » s’étend sur la France.
Eh oui ! Tout est dans tout. Il ne faudrait surtout pas que Toys Motors perde de l’argent à la veille de mettre sur le marché des voitures électriques qui ne font que déplacer la pollution sur la planète et aussi des voitures à hydrogène.
Nouvelles pollutions en vue, mais tellement chics !
Mardi 20 septembre
Je réveille les services de M. Le Procureur avec le courrier suivant :
M. Gérard PLANTEROSE
23 Allée Van Gogh
76160 Saint Léger du Bourg Denis
0677683015
Mail : gplanterose@gmail.com. le : mardi 20 septembre 2022
à. Monsieur le Président du
Tribunal de Grande Instance de Rouen
1 Place du Maréchal Foch
76037 ROUEN
OBJET : plainte en souffrance depuis le 18/01/2022
Monsieur le Président,
j’ai été contraint de porter plainte contre la société Toys Motors de Petit-Quevilly, pour « mise en danger d’autrui » suite à une réparation sabotée, dont vous trouverez ci-joint l’historique.
Or, 8 mois se sont écoulés sans qu’une suite judiciaire n’ait été donnée, ce qui signifie que la société Toys Motors continue impunément de mettre en danger ses clients, et que, personnellement, je n’aie reçu aucune indemnité compensatoire pour préjudice moral.
Je vous serais extrêmement reconnaissant de bien vouloir me communiquer vos intentions, la suite donnée à cette plainte, et si j’ai quelque espoir qu’elle sera prise en considération.
Je vous en remercie par avance et vous prie, Monsieur le Président, de recevoir l’expression de mes respectueuses salutations.
Gérard Planterose
P.J : Historique du différent.
Mercredi 4 octobre
Envoi du courrier au Procureur ci-joint :
M; Gérard PLANTEROSE
23 Allée Van Gogh
76160 St Léger du Bourg Denis. Mercredi 5 octobre 2022
Tel : 0677683015
Mail : gplanterose@gmail.com
à Monsieur le Procureur de la République
Objet : plainte en souffrance depuis le 18/01/2022.
Monsieur le Procureur,
je vous remercie de la promptitude de votre réponse à mon courrier du 20 septembre dernier.
Or, je ne comprends pas sa teneur :
« votre demande ne fait pas état de renseignements suffisants pour pouvoir identifier la procédure souhaitée, vous voudrez bien préciser : le lieu de dépôt de plainte. »
Dans les annexes jointes qui font l’historique de cette affaire j’avais surligné en vert :
« Mardi 18 janvier: aucune nouvelle ni de Toys Motors, ni de l’avocat. Je vais au TGI et porte plainte contre Toys Motors Petit-Quevilly pour « mise en danger de la vie d’autrui » »
Il s’agit bien entendu du TGI de Rouen qui règle les affaires commerciales.
Si vous estimez, et vous êtes plus compétent que moi, que cela relève de la Correctionnelle, je vous prie de faire passer ma plainte du TGI au Tribunal Correctionnel.
Je subodore que le garage Toyota de la Feuillie qui a réparé mon véhicule sera compétent pour témoigner de mes avanies.
Je joins à la présente le dossier que je vous avais envoyé et qu’il eut été judicieux de consulter.
Recevez, Monsieur le Procureur, l’expression de mes respectueuses salutations.
Gérard Planterose.
Mercredi 26 octobre 2022
Le Tribunal Judiciaire de Rouen me renvoie mon mémoire, accompagné d’une lettre qui me dit « cordialement » qu’une enquête est en cours.
A dans trois mois !
En clair, on peut analyser la situation de deux façons :
1°) les tribunaux sont tellement encombrés d’affaires, qu’ils sont obligés de trier, faute de moyens et de personnel. Merci qui ? Les gouvernements en place depuis…
2°) qu’une succursale Toys Motors ait un service de réparation défectueux, inapte et dangereux pour la clientèle, constitue un état de fait « normal » aux yeux de la justice dont les membres roulent tous à bicyclette. (Il faut mieux en rire qu’en pleurer.)
La suite ? Appel solennel au boycott de cette succursale qui règne sur l’agglomération rouennaise, sans concurrent de la marque, si ce n’est, Bray-Auto à La Feuillie où l’on est accueilli aimablement par des gens qui sont respectueux du métier.
Eh oui ! Ça existe ! Qu’on se le dise !
Le 16 novembre prochain, cela fera un an que j’ai échappé à un moteur qui aurait pu prendre feu.
Bof ! Bagatelle ! La preuve : il n’y a pas eu de victime ! Alors, pas la peine d’en faire des tonnes et demander justice.