Pas de Porte ce lundi.
Comment entrer dans la semaine ?
Surtout après la belle journée « porte ouverte » de Médiapart. Ce n’est pas possible, ils l’ont mal refermée ou quoi ?
Si Porte a pris la porte j’ose espérer que ce n’est pas pour quelque grave raison.
Porte Relâche.
Ce n’est pourtant pas du genre à se relâcher, notre Didi du lundi. On l’imagine mal avec du mou dans la verve, l’imagination en berne et la dent qui se déchausse.
Nous, nous sommes tout penauds, quasi orphelins, en manque d’adrénaline et de sel. Sale semaine qui commence.
C’est des coups à voir l’euro éclater en plein vol, les cousins germains ressortir le casque à pointe et les nostalgiques de la Grande Tuerie s’habiller en bleu horizon. « Quelle connerie la guerre ! » Critiquer Angela, ce serait faire de la germanophobie, toujours latente chez le gaulois de service !!!
Remarquez critiquer Netanyahou c’est être antisémite. Critiquer Bush, c’était de l’antiaméricanisme, alors critiquer notre Lord Protecteur ça va bientôt être antifrançais. Saperlotte ! Il y a vraiment besoin de fortes doses de brouillard artificiel pour camoufler l’effondrement du système.
Ah ! Les c…
Paraît que ça se soûle déjà chez Besson, Morano, Sarko, (au Coca cola light), chez Frédéric Lefebvre, chez Copé comme cochon et toute la clique. Même qu’on aurait vu Guéant sourire. Il n’y aura pas de Porte ce lundi que leurs grandes n’oreilles leur ont soufflé dans le tuyau à comm’ ?
Oh ! le bon ouikende qu’ils ont passé.
Perdent rien pour attendre.
Même Montebourg –tu-verras-Montmartre est peinard avec sa Pulvard, le Flanby respire mieux, et Moscovici par-ci et par-là aurait même téléphoné au Che pour lui confirmer que Didier était occupé ailleurs. Pas de danger pour qu’il reste dans sa carrée de Paris. Celle qu’il se loue, pas celles qu’il loue. Ouh, ouh , le loup est là !
Non ! Où ils ne rigolent pas du tout, c’est à France Inter. Le VAL est dans tous ses états. Si Didier Porte ne fait pas le pitre dans son café, ne va-t-il pas débouler dans la ronde maison ? Ne serait-il pas en train de lui faire un enfant dans le dos ? Ne creuserait-il pas les fondations ? N’arriverait-il pas par les égouts ? Surveillons les fenêtres, les toits.
Porte relâche…pas possible !
Bon ! Eh bien, on va essayer de s’en remettre. Attendons le prochain lundi.
Je me demande s’il n’est pas du côté de Médan le voyou, avec la bande à Zozo, Zola bien sûr et Alphonse Daudet, le père, pas le fils Léon, ce sale suppôt antisémite pas drôle du tout.
« Les Contes du Lundi », mon cher Didier, c’est tous les lundis. Enfin, presque.
Allez Didier, ciao ! A bientôt ! Et porte-toi bien !