Ouf ! Nous ne sommes pas en dictature comme certains le hurlaient. La démocratie est sauvée.
« 1984 »est plus que jamais toujours d’actualité. Interdire la libre circulation des citoyens c’est la Liberté !
Quant au personnel soignant, piquouses obligatoires, non mais !
Reste le problème de ceux qui pour des raisons médicales aimeraient bien, à la rigueur, se faire vacciner mais ne le peuvent pas car leur état de santé est incompatible avec la vaccination. Qu’en disent nos vaillants conseillers ? Pas leur problème ! Voir les « godillots ».
Tout cela demande des ajustements, des mises au point, que l’urgence sanitaire met un peu de côté. Il y a de la précipitation dans l’air !
On craint une surmortalité galopante ?
Même pas ! Juste un encombrement des hôpitaux, soit la mise en valeur de dizaines d’années de restrictions budgétaires réclamées par Bruxelles, dans le cadre de la politique austéritaire européenne, et la privatisation à tout va du service public de santé. Les cliniques se portent bien, merci.
Par contre qui est déclaré positif n’a pas à s’isoler 10 jours ! Il peut contaminer tout à loisir. Les transports en commun pourront donc continuer leur travail d’échange de SarsCov 2 en toute légalité. Comprenne qui pourra.
Dans le métro, pas de passe sanitaire. Mais dans les cafés et restaurants, même en terrasse, on ne passe pas sans passe ! Magnifique ! Grandiose !
Qu’en milieu fermé l’on exige de vérifier que les clients sont à peu près sains, soit ! mais en plein air, en terrasse ? Je ne comprends pas ! Mais y a-t-il quelque chose à comprendre ? Si ce n’est le constat que je fais depuis plus d’un an que ce pouvoir macronien n’aime pas les gens, en a peur, et loin de les respecter et de les rassurer passe son temps à les vexer, les contraindre, les obliger sans trop tenir compte de leur avis.
Bien sûr qu’il semble bien que le vaccin soit une solution efficace pour éviter ou atténuer les effets de « ConnardVirus », mais alors qu’on ait le courage de l’imposer à tous, sauf dérogation médicale sérieuse.
Ah vouiiii, mais alors ce serait digne des dictatures honnies, auxquelles on vend quand même nos saloperies létales, avions, navires, tanks, armes en tous genres…
Mieux vaut obliger tout le monde à se faire vacciner en passant par le passe, ce qui constitue un tour de passe-passe hypocrite à souhait et bien dans la ligne judéo-chrétienne de notre si belle civilisation.
L’aspect positif de cette décision dont les syndicats devraient s’emparer immédiatement, c’est le soudain souci de la plus haute autorité juridictionnelle de notre système pour la santé des citoyens français. Il était temps.
L’on va bientôt pouvoir éviter les burn-out, réduire les heures de travail, revoir à la baisse selon les branches et les métiers exercés la limite d’âge des retraites. Ou alors, cela signifierait que nous vivons en pleine incohérence, voguant dans une espèce de nef des fous avec comme timonier un dingue en chef, entouré de frappadingues constitutionnels. Ce que je ne saurais croire.
Idem pour rendre non seulement légal, mais hautement recommandé, la suppression des pesticides qui empoisonnent la Nature à commencer par ceux-là mêmes qui les utilisent.
J’attends les recommandations de ce Conseil Constitutionnel quant aux excès des forces de police qui ont depuis quelques mois des dizaines de blessés, d’amputés, et même un ou deux morts.
Mais, je confonds tout. Sorry !
Le CC ne regarde que la conformité des lois au regard de cette belle Constitution de 58 amendée de multiples fois et qui garantit que « le peuple souverain » n’a qu’un seul droit : élire son « prince-président » et fermer sa gueule une fois la comédie terminée le soir du deuxième tour de grand guignol à la télé.
Je ne me lasse pas de vivre une si belle époque !
Par contre, je m’inquiète fort pour ma descendance, ce qui n’a pas l’air de trop soucier les serviteurs zélés du 1% les plus riches.