Pas de clusters avec des personnes de retour de Rio ou du Cap.
Donc, pour des gens de bon sens, ils sont aussi brésiliens et sud-africains que moi je suis inuit.
On nous a fait le coup de la grippe « espagnole » qui ne fut décrétée espagnole QUE, parce que les espagnols, étant neutres pendant la première guerre mondiale, ont comptabilisé les décès dûs à cette grippe arrivée en cadeau de bienvenue avec les troupes US, en 1917.
Par conséquent, le virus comme tout virus, varie et celui-ci, est mosellan. Point barre !
Demain, il variera du côté de Toulouse, de Rouen ou de Lyon et tant qu’il n’aura pas été séquencé, il aura des caractéristiques que l’on pourra régionaliser au grand dam des présidents de région en train de préparer leur campagne électorale.
Et ça ! C’est la cata ! Donc, allons-y pour du sud-africain et du brésilien en Moselle et ailleurs, et youpie !
Il m’a semblé, mais peut-être me trompé-je, que l’on commence à envisager qu’il va falloir vivre avec ce « Connard-Virus » pendant les années à venir, sachant que, comme la grippe ou le bacille de la peste, ou le choléra, il ne disparaîtra pas. Il va régresser, muter, se camoufler, s’isoler, jouer à disparaître peut-être pour réapparaître soudain, tout nouveau tout neuf, et peut-être même revigoré par des « copains virus » enfouis dans les couches de permafrost depuis des milliers d’années et que le réchauffement climatique va libérer.
Et comme nos éminents irresponsables politiques et économiques, ne jurent que par un redémarrage en trombe de la « sainte croissance » pour payer les dettes, cela va se traduire par plus d’espaces sauvages attaqués, plus de contacts avec des animaux sauvages porteurs sains de virus dangereux pour l’animal homme, et donc apparition de nouvelles épidémies.
Mais plutôt crever que d’imaginer une baisse de la valeur des actions, une sobriété joyeuse, une consommation freinée, afin de permettre aux populations pauvres d’accéder ne serait-ce qu’à l’eau potable, au tout à l’égout avec retraitement des eaux usées, à une habitation saine, et à un confort modeste !
Par ailleurs, que le virus ne nous fasse pas oublier ces fausses solutions que sont les voitures électriques, qui nécessitent l’épuisement des soutes du satellite de ses métaux rares, une augmentation de la production d’électricité par centrales carbonées ou nucléaires.
Les premières accentuent le réchauffement climatique avec toutes ses conséquences désastreuses. L’autre laisse aux générations futures des centrales de plus en plus dangereuses, plus ou moins entretenues sérieusement, et surtout des déchets pour quelques milliers d’années dont on maîtrise mal l’évolution. Mais, plutôt faire crever les générations futures que de moins se déplacer.
La dangerosité d’un virus tient essentiellement au fait qu’il n’a aucun respect pour l’appartenance sociale du sujet qu’il contamine. D’où le fait qu’il soit pris au sérieux et que les pays riches feront tout, quel qu’en soit le coût, pour se protéger.
Quant aux pays pauvres… Quelques millions d’homoncules en moins, sur 7 milliards d’homo-sapiens, quoi de mieux pour freiner la démographie exponentielle de ces pays-là ? Paludisme, VIH, Ebola, choléra, lèpre, fièvre jaune, peste, chikungunia, dengue, et maintenant Sras-Cov-2… Merde ! Et le taux de natalité demeure élevé ?
Ben oui ! Plus la mort s’abat sur les humains et plus ceux-ci résistent pour transmettre la vie.
Les virus font de même. Etrange non ?
Pas encore entendu les « pro-life » dénoncer les recherches pour trouver un vaccin contre ce petit être vivant de Corona virus. C’est vrai qu’ils sont aussi, en toute illogisme militant, souvent pour la peine de mort. Des dangereux !
Il existe des humains-virus aussi dangereux pour la société que les virus-virus.
Allez ! Vaccin pour tous et vive la vie !