Les responsables politiques qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête de la France et des autres pays dits occidentaux, continuent de trahir les intérêts du plus grand nombre.
Ces dirigeants, alléguant de prétendues lois économiques, se sont mis à la solde de l’ennemi de classe, la finance internationale.
Certes, nous avons été, nous sommes submergés par la force économique, médiatique, financière de l’ennemi.
Infiniment plus que leur nombre, ce sont leurs folliculaires « chiens de garde », leur idéologie, leur manipulation de l’opinion qui nous ont mis à genou. La crise des subprimes, la mondialisation des transactions spéculatives, la rapidité du jeu de casino des boursicoteurs, la recherche du profit à n’importe quel prix, le recours aux paradis fiscaux pour échapper à ses devoirs de contribuables, se sont emparés des esprits de nos dirigeants politiques et économiques.
Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu, ni pour la France, ni pour l’Europe, ni pour les peuples de la Terre.
La France n’est pas seule ! Elle peut et doit s’allier aux autres pays du Sud de l’Europe, aux pays de l’Amérique du Sud en pleine expansion qui se sont dressés contre les prétentions de l’Empire états-unien et rivalisent avec l’Empire chinois.
Cette guerre n’est pas limitée à notre territoire. Cette guerre est mondiale, camouflée derrière les concepts de mondialisation, de compétitivité, de libre concurrence prétendue non faussée.
Foudroyés aujourd’hui par la pensée unique, nous pouvons vaincre demain, par une force idéologique humaniste supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, général de Gaulle, actuellement enterré à Colombey, j’invite tous les responsables politiques, syndicaux, les professeurs, les ingénieurs, tous les citoyens de toutes les professions à me rejoindre, ou à se mettre en rapport avec moi, autour de notre désir commun de mettre l’économie, les capitaux, les banques et les industries au service de l’humanité, dans le respect des fondements de la démocratie et de la survie de la planète.
Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance française que d’aucuns s’efforcent d’éteindre à jamais, doit reprendre de l’éclat, et ne s’éteindra pas.
Notre patrie, notre monde sont en péril de mort.
L’idéologie de la haine que nous croyions avoir vaincue revient en obscurcissant les esprits des plus faibles.
Luttons tous pour nous sauver.
Vive la France, vive la planète Terre.