Austérité en Grèce : résultats fabuleux.
Austérité en Espagne : la vie de château.
Austérité au Portugal : porto à tous les repas.
Austérité en Italie : les mafias ne se plaignent pas trop.
Austérité en Allemagne : augmentation du chômage.
Austérité en G-B : augmentation du nombre « d’handicapés ».
Austérité en France : le bonheur est pour demain.
Non mais, les français « qui sont des veaux » dixit De Gaulle, auraient-ils perdu toute imagination, tout souffle créateur, tout élan de résistance ?
On nous prend vraiment pour des billes.
"C'est une crise très grave! " pleurnichent les pleupleus lobotomisés par les médias et les politichiens en place.
« Non ma bonne dame, ce n'est pas une crise, c'est le merveilleux système en vigueur qui ne profite qu'aux plus riches, qui multiplie les mafias et les milliardaires tandis que la majorité des citoyens sombre dans la précarité et la misère. »
Continuons la politique de nos prédécesseurs ! Une change pas une politique qui perd ! Vive l’Euro, Merkel et les fonds de pension. Nos banques, nos banques ! Pensons à nos banques ! Tremblons devant les agences de notation qui ont tout intérêt à ce que le coût de l’argent prêté atgmente continuellement ! Nos AAA ! Nos AA+, nos Ah, Ah Ah ! Suivons ces joueurs de flûte d'Hamerling qui nous mènent droit vers l'abîme. Hollande aura du mal à devenir mon Ayrault préféré.
En vérité je vous le dis, c'est une politique économique qui veut supprimer tous les acquis sociaux et privatiser les services publics en appauvrissant les Etats pour le plus grand profit des banksters.
C'est la soumission des marionnettes que nous sommes obligés de désigner comme nos représentants aux intérêts supérieurs de la finance en folie.
C'est la continuité de ce dogme imbécile de la "croissance infinie dans un monde fini", doublé de cet état d'esprit en vogue dans toutes les couches de la société "après moi le déluge".
N'est-il pas temps, au regard du pic du pétrole, peut-être déjà dépassé, de penser et de mettre en place "la décroissance" ? (Cf D. Bayon, F.Flipo, F. Schneider « La décroissance » Edition de la Découverte pour commencer.)
Un bouleversement de nos habitudes, de notre approche de la réalité, créatrice d'emplois plus que de suppressions et qui permettrait aux générations futures de vivre différemment de nous, mais plus harmonieusement.
Autres ouvrages à lire et à méditer, ceux de Diamond :
http://www.lemonde.fr/culture/article/2012/09/27/l-homme-animal-suicidaire_1766966_3246.html#xtor=EPR-32280229-[NL_Titresdujour]-20120930-[titres]