Face aux récentes escalades de violence au Proche-Orient, marquées par des frappes israéliennes massives sur le Liban et des tirs de roquettes incessants entre Israël et le Hezbollah, la France doit clarifier sa position et comprendre la dynamique complexe de ce conflit, vis-à-vis de ces deux ennemis, dont les bras armés semblent ambidextres...
Le Rassemblement National (RN), en tant que parti préoccupé par la sécurité nationale et le respect des souverainetés, réitère l’importance de la paix dans cette région stratégique pour l’Europe, et présente sa lecture des événements et ses propositions pour une approche française pragmatique et pratico-pratique, dont voici mon analyse critique, attentive, mais toujours bienveillante et compréhensive...
1. Soutenir une résolution diplomatique et le respect de la souveraineté libanaise
Pour le RN, la France ne peut qu’appuyer les efforts des États-Unis dans leurs tentatives de médiation en faveur d’un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, tout en respectant la souveraineté du Liban. Dans la situation actuelle, le retrait du Hezbollah du sud du Liban, envisagé par le plan de Washington, pourrait en effet contribuer à stabiliser la région. Cependant, à mon sens, une telle mesure ne doit pas être imposée de manière unilatérale. Le Liban, pays déjà fragilisé par des années de conflits internes et une crise économique aiguë, ne peut supporter une nouvelle violation de sa souveraineté, que signifierait cette obligation, sans concessions vis-à-vis des combattants sous obédience chiite, appartenant à la même oumma musulmane, réclamant une trêve de la part des plus extrêmes.
2. Assurer la protection des populations civiles et des infrastructures critiques
Le RN souligne la nécessité de limiter les dégâts collatéraux et les souffrances civiles, au Liban comme en Israël, pour éviter une exacerbation des tensions. Les bombardements israéliens touchant des quartiers à forte densité résidentielle, et les tirs de roquettes provoquant des morts parmi les civils israéliens et les travailleurs agricoles étrangers, soulèvent des questions humanitaires critiques. Pour le RN, l’usage de la force doit impérativement s’inscrire dans les limites du droit international et viser exclusivement les infrastructures militaires, tout en évitant toute escalade. Pourtant, le constant du décès d'innocents et d'innocentes est une réalité, alimentant le chaos et le désordre, perpétuellement et rognant sur toute toute tentative de règlement du conflit : des confettis pour certains, de véritables drames pour d'autres. Voici le dilemme !
3. Préserver l’équilibre de l’influence régionale
Le RN rappelle que l’Iran, soutenant le Hezbollah, joue un rôle stratégique en exploitant l’instabilité régionale pour étendre son influence. Un renforcement de la présence iranienne au Liban pourrait constituer une menace directe pour Israël et pour la stabilité de toute la région. Le RN prône donc une vigilance accrue envers les acteurs étatiques et non étatiques qui alimentent la violence par des alliances sectaires ou idéologiques. La France, en tant que puissance historique ayant des liens étroits avec le Liban, pourrait faciliter une coalition internationale garantissant que l’assistance fournie au Liban ne serve pas les intérêts d’un acteur tiers, mais bien ceux de la paix, à imposer via un cessez-le-feu immédiatement respecté et respectueux des différents thèmes composant le plan dont on se rejette l'anathème, qui pourtant s'entrelacent et sèment des graines.
4. La France, médiateur pour un cessez-le-feu durable
Si le RN considère que la France doit s’associer aux efforts de paix des États-Unis, il estime que notre pays peut jouer un rôle plus neutre et plus rassembleur, en sollicitant également des alliances avec des pays arabes modérés comme l’Égypte et la Jordanie. La position de médiateur de la France doit viser un apaisement durable, incluant des engagements tangibles de désarmement et de sécurité mutuelle entre Israël et le Hezbollah, sans froisser les susceptibilités de chacun des belligérants, dont l'effroi est à la hauteur du déshonneur causé par la mort des leurs, des pleurs qu'ils accentuent, des peurs suscitées jusque chez les plus modérés, émotionnellement à cran, et crânement exposés aux pires dangers, aux pires atrocités : par les tirs nourris de la .part des soldats à la solde de la crème des chefs de guerre, impitoyables mais recherchant les meilleurs positionnements et le moins de manquements possibles : la gangrene ou de simples stratagèmes ?
Conclusion : vers l'interdiction des interventions armées, au fil des années, en vers et sans revers
Enfin, le RN appelle à une réflexion stratégique sur l’impact de ce conflit sur la tranquillité nationale. La France doit évaluer le risque d’importation du conflit au sein de ses frontières, en particulier au sein de ses communautés, et surveiller les flux migratoires potentiels provenant de zones déstabilisées. La France doit donc anticiper les effets de ce conflit sur son territoire et ses intérêts, en favorisant une diplomatie de neutralité active, qui soit à la fois ferme sur ses principes et équilibrée dans ses actions, pour désamorcer une vague d'islamophobie ou d'antisémitisme, en germe.
En somme, la position du Rassemblement National vis-à-vis du conflit au Proche-Orient repose sur la conviction que la France doit se tenir aux côtés de ceux qui œuvrent pour la paix, tout en préservant sa propre sécurité. Le RN appelle à une action diplomatique résolue et proactive, en phase avec les valeurs de souveraineté nationale et de respect des droits humains, dans le but de contribuer à la stabilisation d’une région aux impacts géostratégiques majeurs, aux croyances instrumentalisées, mais sincères, avec comme ultime gemme : une fécondité sans limite, pour chacun des pays, sans fatalité, et suprême, par exemple à l'occasion du Ramadan, pendant les fêtes de Pessah ou lors du Carême, et généralement, du jeûne... En termes laïcs, lorsque l'étoile s'étiole ou la "gêne" est présente ?