Mehdi ALLAL

Attaché principal des administrations parisiennes / Chargé de mission "Promesse républicaine" (DDCT) / Chargé de TD en droit constitutionnel à Paris Nanterre / Fondateur & Responsable du pôle "vivre ensemble" du think tank "Le Jour d'Après" (JDA) / Président de l'association La Casa Nostra / Membre du club du XXIème siècle / Secrétaire-adjoint de l'association des rapporteurs.trices de la CNDA (Arc-en-ciel) / Fondateur du média "De facto" / Député de l'Etat de la diaspora africaine (SOAD)

Paris - France

Sa biographie
Après avoir complété mes études en histoire contemporaine et en droit public à l'université Paris 1, j'ai élargi mes horizons en obtenant mon diplôme de Sciences Po, avec une spécialisation en section "service public" en 2000. Ma carrière a débuté dans l'administration française aux côtés de Lionel1… Stoléru, conseiller économique du Maire de Paris à l'époque. Souhaitant approfondir mes connaissances et élargir mes opportunités professionnelles, j'ai choisi de repasser les concours administratifs. Avec succès, j'ai obtenu le titre d'attaché territorial, me permettant d'être affecté en tant que responsable de l'Observatoire de la population à la Mairie de Boulogne-Billancourt. Par la suite, j'ai excellé en étant classé major au concours de l'Office français de protection des réfugiés et des apatrides (OFPRA), ce qui m'a conduit à servir à la Cour nationale du droit d'asile (CNDA) pendant deux ans. Toujours désireux de perfectionner mes compétences et d'occuper des postes à responsabilités, j'ai suivi le cycle préparatoire de l'École nationale d'administration (ENA) à l'Institut de gestion publique et de développement économique (IGPDE), où j'ai obtenu le certificat de fin d'études. Mon retour à la Ville de Paris en tant que titulaire m'a permis d'occuper divers postes, notamment à la direction du Patrimoine et de l'Architecture (DPA), et j'ai également eu l'opportunité de travailler temporairement à l'ENA comme conseiller "diversité". Par la suite, j'ai élargi mon champ d'expérience en occupant le poste de Chef de cabinet de l'Adjointe au Maire chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes. Après un changement politique, j'ai été détaché à la DIRECCTE Île-de-France, puis au ministère de la Justice en tant que Chef de section des parcours d'insertion au sein de la Direction de l'administration pénitentiaire (DAP). De retour à la Ville de Paris en 2017, j'ai pris le poste de Responsable du pôle ressources de la Section territoriale de voirie Paris Centre (STVC), où j'ai supervisé une équipe de sept personnes. Par la suite, j'ai été rattaché aux services centraux de la voirie, plus précisément à l'Agence de la mobilité. Actuellement, je mène à bien le rôle de chef de projet de la mission "promesse républicaine", une initiative confiée par Anne Hidalgo à deux de ses adjoint-e-s, où je m'efforce de contribuer activement à la réalisation des objectifs de la municipalité en matière d'égalité et de justice sociale, en rédigeant notamment un Plan pluriannuel parisien de lutte contre le racisme (PPLCRA), l'antisémitisme et toute forme de discrimination en découlant...
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  • Pour une liberté corporelle, droit fondamental du XXIᵉ siècle...

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    La notion de “libre disposition de son corps” a longtemps servi de pilier symbolique à l’autonomie individuelle. Mais elle reste piégée par une vision patrimoniale et marchande du corps. Pour Mehdi Allal, il est temps de lui substituer une véritable “liberté corporelle” : un droit fondamental articulant intégrité, dignité et égalité réelle dans l’accès au pouvoir de décider de soi.

  • Vers une éthique du charnel libre : à la fois charnière et nuisible ?

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    Nous croyons avoir libéré nos corps, mais nous les avons livrés à d’autres maîtres : l’image, la vitesse, la performance. Le désir, jadis murmure de la nature, s’est changé en spectacle du marché. Ce texte explore, à la lumière de Schopenhauer, Nietzsche et Baudrillard, la possibilité d’une réconciliation entre la chair et la conscience...

  • La discrimination positive est un euphémisme de l'humanité...

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    Choisir ou choir, éclore ou collier, freiner ou un enchaînement, Fresnes ou la prison de la Santé, la prière et le pêché de la chaire, de la chaise, le couloir, le tunnel ou le coupeur ; de la cooptation et la captation... Alimentaire ou élémentaire mon cher Watson !

  • Fonctionnaires : subir ou choisir de sortir la tête haute de l'engin à broyer...

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    Sous couvert de « moderniser » et de réduire rapidement la masse salariale de l’État, le député Philippe Juvin avance une idée radicale : payer 70 % du salaire pendant dix ans aux fonctionnaires qui accepteraient de démissionner. Derrière l’apparente rationalité budgétaire, ce projet révèle une vision inquiétante du rôle du service public et une méconnaissance profonde des besoins collectifs.

  • Un nouvel acte de décentralisation à l’épreuve de la Ville de Paris...

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    La réforme portée par Sébastien Lecornu ambitionne de donner « plus de liberté et de clarté » aux territoires. Elle devra, pour réussir, s’appliquer avec lucidité aux cas particuliers. Paris, par son statut hybride et son poids démographique, illustre mieux que toute autre collectivité les impasses du modèle actuel.

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