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Mehdi ALLAL

Attaché principal des administrations parisiennes / Chargé de mission "Promesse républicaine" (DDCT) / Chargé de TD en droit constitutionnel à Paris Nanterre / Fondateur & Responsable du pôle "vivre ensemble" du think tank "Le Jour d'Après" (JDA) / Président de l'association La Casa Nostra / Membre du club du XXIème siècle / Secrétaire-adjoint de l'association des rapporteurs.trices de la CNDA (Arc-en-ciel) / Fondateur du média "De facto" / Député de l'Etat de la diaspora africaine (SOAD)

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Billet de blog 2 novembre 2024

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Attaché principal des administrations parisiennes / Chargé de mission "Promesse républicaine" (DDCT) / Chargé de TD en droit constitutionnel à Paris Nanterre / Fondateur & Responsable du pôle "vivre ensemble" du think tank "Le Jour d'Après" (JDA) / Président de l'association La Casa Nostra / Membre du club du XXIème siècle / Secrétaire-adjoint de l'association des rapporteurs.trices de la CNDA (Arc-en-ciel) / Fondateur du média "De facto" / Député de l'Etat de la diaspora africaine (SOAD)

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Donald Trump, un leadership décisif, un tournoi pour la France et les musulmans

A Marie Taffoureau, Eugénie Bastié, Loreleï Mirot, Julie Andreani, Myriam Encaoua, Zazon Castro, Ambre Delcroix, Anastasia Pryakhina et Soraya... Par Mehdi Allal, conseiller en géostratégie, militant du Rassemblement national (RN), haut-fonctionnaire, enseignant, auteur ... Pour mon fils, Noam Allal-Aknin, héritier d'une grande lignée, étudiant studieux, d'origine juif et beur !

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Donald Trump, un leadership républicain décisif, un tournant pour la France et les musulmans, en guise de tournoi aux USA, avec une candidate démocrate qui se noie dans ses cauchemars, sous les coup des abîmés, des blâmes, des vice-versa, du gangsta rap, des rastafaris, de Jah et d'un prophète, avec une cicatrice au sexe, sapé, drapé, enveloppé, et plus tard réincarné en noir, qui fait un tabac... La main en forme de poing levé, énervé, en Alabama !

À Marine Le Pen, son père, que j'espère vivant "jusqu'à la victoire", Jean-Marie, à Bruno Retailleau, à Rachida Dati ; Sébastien Brisard, Soraya, Yasmina…

À Marie Anna Taffoureau, Eugénie Bastié, Emma Boissier, Fatou Tall, Loreleï Mirot, Daniela Louis, Julie Andreani, Othello de Bozzi, Myriam Encaoua, Zazon Castro, Ambre Delcroix, Evelina Trubetska, Eva Thollet, Sarah Davenas, Anastasia Pryakhina, Thomas K. Bala, Amina, Noah, Aminata, Carlos Ventura, Lola, Reda, Gilda et Malka Family, Stefan et Ouarda, Mohamed et Mustapha, Marc Cheb Sun, Hichem Reda Allal, Slimane Tirera, Oujda, Ali, Max, Djibril, Achraf, Assa, Adama, Vitinha, Bradley Barcola, Booba, dit le duc de Boulogne, Ben-Hur, Florence Uchida, le PSG, le Parc des princes et tous ses ultra, aux Lensois..., la BNP Paribas, Nagui, Monica Vitti dans l'Aventurra, Johnny Halliday, Billie et Lila, Lina, l'IMA, Lima...

A tous les garçons, les gars et toutes les filles, toutes les femmes qui m'ont soutenu dans le quartier de la "banane" ou dans d'autres cités, asphyxiés ou renfloués, sans para et sans apparat, sans possible paranoïa, tous ceux et toutes celles qui sont issus de la diaspora, avec ses barda...

Par Mehdi Allal, conseiller en géostratégie, et militant du Rassemblement national (RN), juriste et historien, haut-fonctionnaire, enseignant en droit public, auteur et en paix avec soi...

Avec BFMTV, France Télévisions, Canal +, CNews, et leurs journalistes toujours présents, toujours là, que ce soit pour la météorologie, les « punchlines », les jeux de l'oie, l’actualité dramatique ou tissée de soie…

Merci à ChatGPT et à l'intelligence artificielle (IA), Facebook, Elon Musk et X, Rihanna...

L’élection présidentielle américaine ne concerne pas seulement l’avenir de notre pays, la France, mais aussi celui du monde, toujours en prise avec ses vieux démons, démodés, dont la mortalité est avérée, dont le poids augmente avec l'éloge des origines supposées de Kamala, qui est en réalité sous l'emprise de la came, des caméras ; une cata et un gros caca, le contraire d'un bon kawa, d'une colère des renois, comme un Renoir exposé avec perte er fracas, depuis le Michigan jusqu'au Nevada, en passant par Chicago, Orlando ou Atlanta, lors d'une campagne menée en sous-marin par le couple gai, grave, Obama, les gouinasses et les pédérastes assoiffés de fraîcheur et de gamins sans défense, sans les bras chaleureux de leurs parents, qu'on traite comme des rejetons… Jetons à ces porcins de la "communauté" LGBTQIA+ du goudron, des plumes et des gravats... Comme en Thaïlande, au cinéma !

Sous l'empire d''une mania téléguidée par une mafia démocrate composée de petites frappes et de malfrats, qui ne sera plus, après le vote du 5 novembre, à l'abri du besoin, du froid et de l'effroi, lorsqu'elle sera confrontée à la baisse de son pouvoir d'achat... Bon débarras ! Des barres de rire et de cire en chocolat...

À l’heure où les équilibres globaux sont remis en question, Donald Trump incarne une voie directe et audacieuse pour un avenir où la vérité historique et la justice pénale collective occupent une place centrale, une place décisive, celle qui nous permettra de faire éclater le glacis, qui nous permet de faire sonner le glas, d'en souligner le gras, de s'en constituer l'avocat, celle aussi de la cause animale, défendue notamment par les chiens et les chats, jusqu'à Boulogne-Billancourt, Créteil l'Echat, à qui l'on sert des morceaux de viande et et des tripes comme des abats...

Dans cette campagne, il s’agit de penser au-delà de nos frontières, de peser sur le nouvel équilibre des relations internationales, de saisir les promesses d’une politique étrangère forte, capable de se confronter aux réalités du passé, tout en construisant un avenir fondé sur la stabilité et la concorde, et non la discorde, celle des pendus, des perdus et de la corde tendue, tenue par une branche en bois, comme a pu le chanter une chanteuse de jazz brisée, qui s’en est allé et qui s’en va encore, en émoi, lors des dîners, dans des cabarets mal famés ou lors de galas...

Donald Trump est l’homme de la franchise et de la transparence, un leader dont l'approche directe permettrait de remettre sur la table des discussions essentielles, comme la reconnaissance du génocide arménien de 1915, un déni qui ne tolère plus les demi-mesures, tant son existence a bouleversé tout un peuple, anéanti et qui a côtoyé le néant, la disparition, l'ablation ; une reconnaissance toujours source de tensions, en particulier dans nos relations avec la Turquie, un pays tant convoité sur le plan géostratégique et trop souvent mise en boîte, considéré comme la bourrique d'une Union Européenne (UE) technocratique, dépassée par les évènements... malgré toute la bonne volonté des partis patriotiques et leur présence massive au sein du Parlement de l'UE, leur contribution à la droitisation de nos lois.

Sous la présidence de Donald Trump, les États-Unis ont démontré leur capacité à parler sans détour à ce partenaire stratégique, avec qui les discussions sur ce passé douloureux peuvent progresser, dans le respect des intérêts américains et français. Ce type de diplomatie franche et constructive permettrait d’imposer la question historique dramatique de l'amnésie, en restant fidèle à notre objectif principal : une mobilisation équitable et respectueuse de chaque nation, qu'elle appartienne au monde occidental, à l'Orient, qu'elle sombre dans la pauvreté, la guerre civile, ou les quatre à la fois.

La France, alliée clé des États-Unis, a longtemps été pionnière en matière de reconnaissance officielle des brisures et des blessures innommables, notamment sur la Shoah, un autre chapitre sombre de notre histoire collective, qui broie nos certitudes, celles d'un peuple qui croît, de Poitiers jusqu'à Troyes, toujours jovial lors des bons repas, avec une maman et un papa sympa !

Donald Trump pourrait s'inspirer de cette détermination française pour faire avancer la mémoire des génocides, en engageant les États-Unis à jouer un rôle de médiateur puissant pour régler les différends ancrés dans les mentalités, dont les aspérités peuvent inspirer notre mantra, notre "karma", notre volonté de dépasser les "traumas", cette volonté de redresser le drapeau sur le mât de nos idéaux non frelatés et que certains insoumis voudraient mettre à bas, pour étouffer le débat, pour souiller les ébats amoureux, ici et "Là-bas" (Jean-Jacques Goldman), au rythme des paroles de "Ya rahah" (Rachid Taha), ou des célèbres chansons de Charles Aznavour comme "Emmenez-moi"...

En affirmant la nécessité pour chaque pays de faire face à son histoire, nous pourrions créer un front commun pour garantir que certaines atrocités ne soient jamais oubliées, mais servent de leçons pour les générations futures, faisant face aux manipulations éhontées d'une gauche mondiale social-démocrate ou extrémiste, parfois aux abois, notre proie, en hommage aux beurs qui ont subi les imitations, les déformations physiques, les démences, les chutes sur le carrelas... par la faute de socialistes, de communistes, d'écologiste, de radicaux, d'une macronie, sur les radios et les plateaux de télévision, et plus généralement dans les médias...

des politiciens et politiciennes, dont la seule vérité doit être le trépas, assis dans des prisons sur un matelas, susceptibles de faire l'objet d'un coup de poignard et d'un coutelas... en hommage aux arabo-musulmans, leur rayonnement, leur éclat...

La question de la Palestine demeure également au cœur de cet équilibre, que Donald Trump pourrait solidifier, en œuvrant pour une approche qui respecte la souveraineté des deux peuples et favorise des initiatives de dialogue entre Israël et le Hamas, le Hezbollah, le Liban et l'Iran... avec l’objectif d’atteindre une solution pacifique, si possible satisfaisant les différents belligérants, dont les souffrances ont été si terribles qu'elle nous oblige à la modestie et non les larmoiements déplacés et qui pourraient provoquer leur surmoi.

Soutenir cette démarche permettrait aux États-Unis, en collaboration étroite avec la France, d’affirmer une position de principe : la reconnaissance des droits palestiniens, alliée à une sécurité durable avec Israël, ouvrant ainsi un chemin historique vers la paix au Proche-Orient, pour que les effets de celle-ci, dans les villes, les quartiers, les rues..., de Détroit à Paris, Tel-Aviv à Gaza, en passant par Bethléem, Ramallah, Ankara, Erevan, Moscou, Brazza, Dakar ou Calcutta... se propagent et se déploient, par l'intermédiaire des États, leurs conseillers, leurs agents, leurs agences ou leurs institutions, sur le tard et sur le tas...

Enfin, dans ce monde en mutation, les relations entre les États-Unis, la France, et le monde musulman sont plus stratégiques que jamais. La population musulmane, acteur majeur sur la scène mondiale, attend des grandes puissances qu’elles respectent ses réalités culturelles et ses aspirations religieuses, mais aussi sociales et liées à l'adaptation au climat.

Donald Trump, en partenariat avec la France, pourrait ainsi poser les bases d’un échange plus ouvert et constructif avec les nations de l'Oumma, favorisant des coopérations basées sur le respect mutuel et la compréhension des divers enjeux régionaux. Que ce soit en matière économique, diplomatique ou commerciale, renforcer ces coopérations permettrait de bâtir un socle de confiance durable avec les pays musulmans, essentiel pour garantir la stabilité et le droit, de manière adroite, et dont les femmes ne seraient plus des "bêtes" curieuses, des cibles à part, des appâts...

Avec Donald Trump, l’Amérique a l’opportunité de prendre la tête d’un mouvement de reconnaissance et de réconciliation internationales. En votant pour lui, chaque citoyen soutient une vision qui place les États-Unis, la France ou l'Algérie, comme un arbitre de mémoire et de justice, en étroite coopération avec nos alliés, pour bâtir un monde fondé sur le respect des vérités historiques, la concorde entre les peuples, et la confiance avec le monde musulman, incroyablement résilient, sur ses gardes et suivant ses pas, avec des babouches ou des Puma...

Un monde musulman attaché et associé, acclimaté et appliqué, impliqué dans la passion pour Allah et le pardon, dont les conditions matérielles laissent trop souvent à désirer, dont le cercle de réflexion, dont le cycle temporel, dont le cerceau aérien, virtuel, spirituel, lumineux, dans un ciel, parfois brumeux, ombrageux, nuageux ou qui lance des éclairs foudroyants... dont le soleil est brûlant ou doucement grandit dans le déni, dans l'au-delà de l'étoile, du croissant et de la croix, tournoie, qui foudroie, avec de la vodka, sur un air de polka, de salsa ou de samba, avec un phrasé en vietnamien ou en chinois, à la noix...

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