Sept piliers de l’Islam : vers la foi unie, universelle, du croissant de lune au gigantesque cercle du soleil, à genoux, ici-bas
À Myriam, Marie, Eugénie, Ambre, Dora, Anastasia, Fatou, Soraya, Charlotte, Evelina, Ouarda, Baya Kasmi, Mohamed Salah, Karim Benzema, Wendy Renard, au panier de Marsiglia, Rim-K, Booba et sa petite fille, Pénélope Cosset, sa fille aînée Mona-Lisa, Gisèle Lima, Mida et sa fille unique Lena, Sarah Davenas... ma chatte Lila ; par Mehdi Allal, poète à ses heures paumées, prophète, en France, en Algérie... conciliateur des différents courants de l'Islam, depuis la genèse du Coran jusqu'à son exégèse, toujours mouvementée, dont l'unification vise à réussir, les symboles à réunir, pour pacifier les mœurs, respecter les Maures et les mises au pas...
Dans un monde où les courants de pensée s’entrecroisent, où les divisions internes et externes peinent à être surmontées, il est urgent de rappeler les fondements d'un l’Islam, universel, dont l'unité est un principe sacré de l'Oumma.
Un Islam de paix, de lumière, d’amour... d'un attachement irraisonné, assaisonné, lors de chaque saison, par la grâce, extirpée de toute forme d'atavismes, des acquis qui résonne dans le cœur des musulmans et musulmanes, réunis et bénis par leur foi.
Ces sept piliers, autant de principes inébranlables, sont là pour guider chacun et chacune dans sa quête de piété, de bonheur, mais également pour offrir des bases solides permettant à la communauté de se retrouver unie, à travers les épreuves et les vicissitudes de l’histoire, de l'éternité, depuis le lever du soleil dans le ciel, jusqu'aux cieux, dont les yeux sont bienfaisants vis à-à-vis de l'humanité, jusqu'à l'extinction du jour, de l'enfance, symbole d'un croissant de lune, dont l'évanescence se compare à la croyance exponentielle, exceptionnelle, jamais excessive, en Allah…
- La foi (Imane) : le socle de l’âme
La foi constitue le fondement même de l’Islam contemporain. Elle est le moteur intime, interne de la croyance et de la pratique religieuse, qu'elle soit pratiquée pieuse ou articulée selon les aléas quotidiens, les difficultés quotidiennes, une croyance que je fais tienne, que je fais mienne, après la remise à plat, sur le tard et sur le tas, des confits, des malentendus ou des séquelles provoquées par toute forme, toutes les tournures attentatoires résultant des attentes et des attentats.
Croire en Dieu, unique et miséricordieux, au Prophète Mohammed, messager de l’Islam, et aux autres prophètes qui ont précédé, à ceux qui vont leur succéder, tels que Mehdi, Bala ou Noam, voire Amina, c'est accepter l’alliance divine, la bonté et la beauté des mélanges à la mélanine. La foi est un lien sacré, une relation personnelle et collective avec le divin, qui scelle la disparition des mécréants scélérats, ceux et celles qui ont porté une atteinte à notre combat.
La transmission de cette foi doit être une priorité dès le plus jeune âge, permettant à chacun, à chacune, à chaque coucher illuminé, lors de chaque lune, de ressentir cette connexion profonde à travers les récits du Coran et les valeurs transmises par les enseignements prophétiques, contre le mal, qui se ressent dans les corps, dont l'adoration est le signe d'une bonne santé, d'une forme de sainteté, depuis le cervelle jusqu'aux poumons, les bras, les pieds dénudés ou un estomaqué estomac...
2. La prière (Salat) : une rencontre quotidienne avec Dieu
Les prières jalonnent le quotidien du musulman et de la musulmane. Au-delà des mots, elles sont une reconnexion spirituelle avec le Créateur, un rappel de sa grandeur et de sa proximité. Elles rythment la vie et apportent équilibre, force, et sérénité. Apprendre la prière, en comprendre les gestes et les significations est essentiel pour instaurer un lien direct avec Dieu, un moment de paix au sein de la vie de tous les jours, pour manifester ses aspirations, dont l'alpha et l'oméga sont d'une douceur comparable à celle de la soie...
3. Le jeûne (Sawm) : une discipline de l’âme
Durant le mois de Ramadan, le jeûne éduque à la patience, à la modération et à la solidarité envers les plus démunis. Il est un rappel des bénédictions souvent prises pour acquises. Le jeûne n’est pas seulement privation physique, mais aussi un moyen de purifier l’âme, de réfléchir sur le monde qui nous entoure et de partager l’expérience avec tous les musulmans, avec toutes les musulmanes, rapprochant ainsi la communauté dans un élan commun de piété et de partage, et non vers un relatif entre-soi.
4. L’aumône (Zakat) : une responsabilité envers autrui et l’altruisme
La Zakat, l’aumône obligatoire, est un acte de charité visant à réduire les inégalités et à sanctifier les biens des fidèles. Elle rappelle que les biens sont éphémères et que leur partage contribue à bâtir une société juste et équitable. Enseigner cette valeur, dès le plus jeune âge, inculque la notion de responsabilité sociale, un pilier pour une communauté harmonieuse, où chacun veille sur l’autre dans un esprit de fraternité, qui rejaillit sur l'au-delà, où l'on ira.
5. Le pèlerinage (Hajj) : une quête d’universalité
Le Hajj est un voyage, un pèlerinage, une expérience unique où des musulmans, les musulmanes de tous horizons se retrouvent pour célébrer leur attachement à Dieu et à leur religion. Cette "escapade" est l'occasion de vivre pleinement la notion d’Oumma, la grande communauté des croyants et des croyantes. Il enseigne l’humilité, la gratitude, et le sacrifice. C’est un rappel de l’histoire, du droit coranique et des fondements de l’Islam, ancrant ainsi chaque musulman dans une continuité spirituelle, inspirée par l'initiation aux plaisirs de la chaire, non exploités abusivement, et de la part des droits issus d'une tant décriée, autant charriée, pour l'instant - pour un temps ? - charia.
6. La sincérité et l’intention (Niyyah) : l’intensité du cœur
Toute action doit être faite avec une intention sincère, en quête de l’agrément divin. La Niyyah est la pureté d’intention qui doit guider chaque acte, un rappel que les actions ne sont pas jugées seulement pour leur apparence, mais pour leur essence. Enseigner cette valeur aux plus jeunes développe leur conscience et les encourage à agir avec intégrité et droiture, afin de "caresser" les errements ou les errances, sans culpabilité et sans en ressentir le poids du moi, à longueur de mois, le moindre émoi.
7. Le respect de la connaissance (Ilm) : la lumière de l’intelligence
Le Coran lui-même débute par l’injonction à « Lire ! » (Iqra), soulignant l’importance de la connaissance. En Islam, la quête du savoir est sacrée, car elle permet de mieux comprendre le monde, de s’élever, non artificiellement ou de manière superficielle, de se rapprocher de Dieu. Ce pilier doit être transmis comme un devoir à tous les croyants et toutes les croyantes, une quête constante pour découvrir, apprendre et servir la société dans un esprit éclairé, par l'intermédiaire du débat.
Une voie pour le monde musulman : unir, guider et éduquer, espérer…
Ces sept piliers transcendent les divisions et les différences de courants, et offrent aux musulmans, aux musulmanes un socle commun sur lequel ils ou elles peuvent se retrouver. Enseigner ces valeurs dès l’enfance, c’est construire une génération consciente de ses responsabilités environnementales et sociales, dont les affres peuvent être provoqués par un impétueux, parfois fatal, climat.
Qu’il s’agisse de prier, de donner, de jeûner ou d’apprendre, chacun est guidé par une profonde affection et une dévotion sincère envers le "magique". Que ces principes, enseignés dans les confins les plus lointains, comme dans les centres urbains les plus peuplés, puissent rayonner et inspirer, au-delà des frontières et des époques, avec les conseils dispensés, comme manger Hallal, parler wolof, soussou, en lingala, ou grâce à l'intensité du soleil, la tempérance, depuis l'Afrique noire, issu d'Afrique du Nord, du Moyen-Orient, des pays du Golfe, du Caucase, d'Asie, d'Amérique latina, des Etats-Unis, d'Europe orientale, de Russie ou d'Europe occidentale, du Hamas, d'Iran ou du Hezbollah !
Avec les avis donnés par Bala Sacko, Amina Bacar, Ben-Hur Kabengele, Moïse ou Noam, qui est là... voire via une conversion active… qui prend sous son aile, les personnes, les individus, des personnalités ou des réfugiés d'origine arménienne, juive ou de confession chrétienne, mais également par un messie arabe ou hybridé avec la France, en pleine croissance, en pleine ascension ou dès la naissance, avec comme second prénom : Thomas ; à l'occasion d'un thé à la menthe et d'un jeu de dés, dans une modeste villa ou à l'intérieur d'un jardin d'Éden, incarné ou pas, par l'un ou l'une ascendance, descendance, par un engouement ou une endurance des Allal...