Appel au renversement du gouvernement Macron-Barnier : pour un renouveau de la France sous Marine Le Pen, à laquelle revient la tâche de composer avec ses alliés et les équipes de son parti emmené par Jordan Bardella, sur un air de Charles Aznavour "emmenez-moi" ou de Jean-Jacques Goldman, "sache que", en faisant taire mes ennemis, en faisant miens les frères et sœur, des amis au grand cœur, en mettant à terre les vaines stratégies et les anciens stratagèmes, avec l'aide des nations amies : l'Algérie, évidemment, et l'Arménie, peut-être, bientôt, les Etats-Unis, les pays musulmans, les pays d'Afrique noire, du moins qui sont attendris par les problèmes dont souffrent les nations occidentales amoindries, l'Italie ou la Russie... mais aussi les peuples, qui ont subi le joug des dérives de la social-démocratie, mises à jour, au jour le jour, jusqu'à la tombée de la nuit, jusqu'au bruit des klaxons, ou avec l'aide du son des cloches des églises, et de la sonnerie du réveil, jusqu'à briser le glacis, étourdi, et touchant en priorité les taudis, les étaux, aussitôt fait, aussitôt dit...
Pour Marie, Eugénie, Ambre, Myriam Encaoua, Soraya, Flore, ma voisine du 3e, Anastasia, Eva, Karima, Fatou, Emma..., Adam, Paul, Isaac, Stefan, et Ouarda, Hamid, Nail, Hanaë, Youssra, Reda, Clara, Ben-Hur, Eric, Nathan, Cyril, Manuela, Elsa, Bala, Ali, Amina, Aminata, Ashraf, Abou, Carlos, Djibril, Matthieu, Charlie, Rachid, Tarik, Mounira, Thomas, Randjini, Sarah, Lionel, Asif, Alice, Noémie, Slimane ou Othello de Bozzi, François, oncle Sam, Malik, Seb, Zazon, Zazie, Zizou, Karim, Aziz, Nasri, Laure Boulleau, Sophie de V., Pénélope, Marion, Marc et Gaëlle, Marco, Manuel, Yasmina, Cécile, Patrick, Pat Cash, Charlotte, Dora, Emilie, Philomène..., Paloma et Mélody, Zaki, Rok, Loreleï, Nausicaa, Brendalyne, Julie Andreani, Julie Ancian, Habib, Devora, Delphine, Florence, Benjamin, Benjamine, Audrey, Leslie, Jean-Paul, Jean-Pascal, Djamel, Hichem, Mélanie, Adèle, Sophie Marceau, Pierre Niney, Baya, Moira et Malcolm, Fox et Jero, Jo, Gisèle, Scarlett, Mia, Papa, Maman, Odile et Pierre-Olivier, Andrée, les frères Dadoun, Julie Manzano, Tim et Antoine, Alice Augustin, Adélaïde Colin, Eliott, Amine, toutes les mines, toutes les zonzon, tous les tags, les tonton flingueurs, les cités, les jeunes issus des quartiers... qu'elles soient voilées ou non, qu'ils soient dealers ou dérangés...,, à Max ; et Donald, Elon, Ivana, Laurent, Hermann, tous les supporters et les ultras du PSG, Bradley, Ousmane, Victor, Léon, les frères Lebrun, Kylian Mbappé, Booba, dit le "duc de Boulogne", Joey Starr, Kool Shen, Solo, Madjid, Rachida, Nicolas et Carla, Booba, La Fouine, 1995 : Nekfeu, Alpha Wann... CNews, la BNP, Bouygues, Sofinco... Le RN, son président et tous ses dirigeants, la famille Le Pen dans son intégralité et Marine à jamais la première, Eric Ciotti, Bruno Retailleau, Philippe de Villiers, tous les vilains et toutes les vilaines de la droite forte et patriote, encore au boulot, parfois au bout du rouleau, au top départ !
Par Mehdi, par la méditation et la médiation, prophétique et poétique, entre les différends, différents selon les activités, en fonction de la gravité des effractions, des griefs reprochés aux factions, aux fractions, imposées pour mieux diviser, tout simplement pour cueillir les dividendes du fractionnement...
Face aux failles béantes, abaissantes et blessantes, déroutantes, du gouvernement actuel, dirigé par Michel Barnier, dont le véritable architecte, l'authentique instigateur, demeure Emmanuel Macron, il devient impératif de mettre un terme à une ère de désillusions, de faire le deuil de responsables coupables de lâcheté et de corruption, sans même leur donner le crédit de la bonne volonté ou de la bonne foi...
La politique de Macron a plongé le pays dans une crise sociale et identitaire, dont les précédents remontent à la révolution française, creusant les inégalités, exacerbant les divisions et sacrifiant la souveraineté de la France au nom d’intérêts qui ne servent ni le peuple, ni la nation, entraînés dans une vaste entreprise d'extorsion de fonds, sans qu'il ne soit mis fin à cette farce, tragi-comique...
Aujourd'hui, la France mérite une direction forte et résolue, capable de défendre son identité, ses valeurs, ses citoyens, ses citoyennes, tous nos compatriotes, ainsi que celles de ses résidents d'origine étrangère, issus des minorités ethniques, culturelles ou confessionnelles, qu'ils soient naturalisés ou arc-boutés sur la préservation de leurs responsabilités, à la fois fragiles et érigées en forteresse inféodées...
Marine Le Pen incarne cette alternative, offrant un projet clair et audacieux, qui redonnera, rendra aux Français la fierté de leur pays. Avec Jordan Bardella à ses côtés, en tant que potentiel Premier ministre, notre gouvernement serait en mesure de concrétiser un véritable tournant historique, fracassant, foudroyant et foisonnant d'initiatives populaires, à la désinvolture prohibée ou malmenée, pour acclamer le foutoir, le défouloir, qui nous conduira au bonheur et aux franches envolées, aux francs menus de mesures efficaces et épicées, dont le suivi est un impératif !
L’heure est venue de rétablir l’autorité de l’État, de restaurer les services publics défaillants, et de garantir la sécurité des Français, aujourd’hui menacée sous l’incompétence d’un gouvernement qui a perdu la confiance et qui est susceptible d'être censuré en vertu de certaines dispositions constitutionnelles mal agencées, en quête d'harmonie, d'une armée bien garnie et d'une police à l'oeuvre sur tout le territoire, qu'il soit éparpillé ou rassembleur...
Notre équipe saura redonner son indépendance énergétique, sa maîtrise économique, et sa voix sur la scène internationale, à une France martyrisée, peut-être blasée, sans son blase, mais surtout très remontée. Nous engagerons des réformes profondes, et profondément raisonnables, pour assurer l’accès à l’éducation, rétablir une justice ferme et protéger nos frontières des ingérences non justifiées par la nécessité, non bienveillantes, sauf celles qui visent à nous porter secours, sous peine de sombrer en silence...
Notre projet s’appuiera également sur des figures de confiance et des proches dévoués aux valeurs de notre nation. À chaque poste clé, des femmes et des hommes attachés à l’honneur de la France et à l’intérêt général seront mobilisés pour garantir un changement viable, durable et bénéfique pour tous et toutes, mais en priorité pour les plus faibles, depuis les familles à la portée prolifique jusqu'aux familles monoparentales, plus jamais homoparentales, jusqu'aux gamins et gamines isolés, en désespoir de cause...
C’est un appel à la mobilisation générale : pour une France libre, forte et unie sous un gouvernement qui reflète les aspirations du peuple français. Ensemble, renversons le gouvernement Macron-Barnier pour restaurer notre nation, avec l'écorce de la force, des "atroces", des "laids", des "abrutis" non diplômés ou se reposant sur leurs acquis, leurs compétences ou leur spécialité...
Le moment est venu de donner à la France une nouvelle espérance, sans rancœur, mais avec une rancune tenace, une forme de menace à l'endroit des installés, de manière illégitime, dont l'indécence est sans précédent, provoquée par des incidents ou des accidents en pagaille, mais qui n'est plus tolérable, une indécence qui frise l'intimidation, appelant à la mue, à la mutation, à la métamorphose mutante, émouvante, de notre tolérance traditionnelle, en un mouvement visant à décimer les écarts, de richesse et de revenus, mais également respectueuse vis-à-vis des principes de probité, d'honnêteté, de sincérité, de fraternité...
Sans désormais, et plus jamais, donner un blanc-seing aux méthodes imposées par la pédagogie, la démagogie ou la magie d'un "magot" public inépuisable, ou impuissant à modifier les mentalités, sans mistigris, sans mystifier, ni se fier ou se confier à regret ; en bref, afin de siffler la fin de la partie des partis gauchisant, de la récréation, le passage au stade de l'action, à un phrasé non déphasé, qui ne contourne plus, qui côtoie le sommet, mais qui se fraye un chemin vers la réalisme, et donc en direction de la réalité du quotidien, à l'international comme en interne, ou les deux à la fois...
C'est-à-dire l'ordinaire, l'ordonnancement d'un fossé, endossé, enrobé par des divergences entre les gouvernants actuels, et contesté par une certaine opposition à la fois avancée, avertie, non ahurie, non assommée, dont l'heure a enfin sonné, sans brimer les communautés consacrées et loyales au devoir de mémoire, cette opposition dont la pendule a été réglée, régulée, sans engluer, grâce à des grues, grâce à des crues, grâce aux fruits récoltés via la gratuité... ou la garantie, d'un énième écho, d'un écosystème galvanisé par la vague non avenante, venant adroite et arithmétique, celui d'un sonnet murmuré, fredonné, en chanson, dans les champs ou dans les petites, les moyennes communes vilipendées, au sein d'un millefeuille administratif enfariné, entartré, à enterrer, par manque de subsides ou tout simplement par souci de simplicité et de félicité, un éparpillement complexe, compliqué, jusqu'aux bancs, commerces, bazars, ou autres détenteurs de l'espace public, réservés aux privilégiés ou jusqu'aux "blancs", "noirs", "beurs", "hispano" ou "asiate"... de toutes les couleurs et de toutes les apparences, victimes des fâcheries, rue des archives ou rue de la Bûcherie, dans le Marais, rue de la clé ou rue de Coulmiers, à Paris, dans les grandes métropoles et leurs pourtours, malgré leurs contournements, bon gré mal gré, et donc fauchés, gonflés ou grugés, à glorifier comme les blés... !