Tribune : pourquoi la motion de censure doit être repoussée – L’ambiguïté du camp présidentiel face à ses responsabilités, sous peine de plonger le pays dans le chaos et de voir la gauche gagner par KO. Un cauchemar. Lucie Castets la camionneuse, la calomnieuse, la cafteuse ; ou Michel Barnier et la stabilité, l'heureuse perméabilité aux valeurs patriotiques, l'arrivé du RN au pouvoir. Vive la France, vive la République !
Le débat sur la motion de censure du gouvernement suscite une nouvelle fois l'effervescence dans l'arène politique française, chauffée à blanc par les opposants à la droite et l'extrême-droite enfin réunie face au camp présidentiel, un camp dont les atermoiements sont le reflet d'une volonté de conserver le pouvoir, en réalité cerné de toute part. A l'image de Gabriel Attal, son chef, en bref la face cachée, cachetée, le portrait craché d'un avocat des lobbies, des lubies du féminisme, de l'instrumentalisation de la lutte anti-raciste et de la haine contre l'antismétisme.et des droits LGBTQIA+, qui n'ont pas évolué d'un iota... Comme Ray Liotta, vite s'en affranchir !
Il est tentant pour certains d'y voir une opportunité de renverser l'exécutif, en brandissant l’argument d'une crise de légitimité et d’un rejet populaire croissant... Mais avant de céder à ces sirènes populistes, il est essentiel de poser une question cruciale : le remplacement d’un gouvernement en difficulté, au profit d'une alternative souvent floue, constitue-t-il réellement une solution aux défis auxquels la France est confrontée, c'est-à-dire notamment la défense de notre souveraineté, de notre identité nationale, de notre ADN ?
Une motion de censure, vraiment nécessaire ? Quel toupet !
Le gouvernement actuel n’est pas exempt de critiques, n'est pas le seul exemple à suivre. La gestion de dossiers sensibles, des réformes sociales controversées aux réponses parfois jugées insuffisantes aux enjeux climatiques et économiques, a indéniablement fragilisé l'exécutif. Mais faut-il pour autant plonger le pays dans une crise institutionnelle en soutenant une motion de censure, en ajoutant au chaos la défaite des mœurs, la défaite de la pensée ?
Nous pensons que non. En dépit de ses faiblesses, le gouvernement tente de naviguer dans un contexte mondial complexe, où l'instabilité économique et les tensions géopolitiques sont omniprésentes, un contexte composé d'un ensemble de nations qui regardent avec impatience le chemin suivi par notre pays, au centre des attentions, au cœur d'un imbroglio dont seul Emmanuel Macron a le secret,, un "loup" dans la bergerie, prêt aux coups bas, qu'il faudra mettre sous écrous, avec les fous, qu'il faudra mettre dans la rue ou avec des choux dans les champs...
L’ambiguïté du camp présidentiel : la cause de tous les maux qui affectent la nation
Dans ce contexte, l'attitude du camp présidentiel laisse songeur, nous laisse rêveur, une tromperie depuis le départ. D’un côté, le président et son cercle rapproché appellent à la cohésion et à la poursuite d’une ligne de réformes indispensables, arguant que des reculs supplémentaires mettraient en péril la compétitivité de la France et son modèle social, déjà mis à mal par les jeux d'estrade du Nouveau Front populaire (NFP), les incessantes récupérations des enjeux collectifs. Tous leurs élus sont à mettre au stade terminal ou au piloris. Au choix !.
De l’autre, une frange de la majorité, notamment son aile la plus indécise, multiplie les déclarations ambiguës, laissant entendre qu’une partie d'entre eux pourraient soutenir la motion. Leur stratégie semble être celle de la prudence et du calcul politique, parfois celui de la "terre brûlée", de la méthode d'une victoire par une courte tête ; en gardant une distance critique vis-à-vis de certaines mesures impopulaires, ils espèrent préserver leur base électorale, qui se réduit à peau de chagrin ; mais au profit de qui ? Jusqu'à quand ?
Cette ambiguïté, loin d’être une posture responsable, ne fait que renforcer la confusion. En affichant un soutien timide et timoré au gouvernement, qu'ils ont pourtant contribué à faire élire, ces élus de l’aile gauche affaiblissent encore plus la majorité, tout en alimentant l'idée d'une division interne qui serait déjà consommée. Consternant ! Une ruse efficace, mais éculée... Que faut-il en comprendre ?
Selon moi, il s'agit de l'ultime bras de fer pour celui qui sonne le glas des médias : le prophète qui vient d'en bas, qui ne se soumet qu'à son daron, sa mère de culture chrétienne, "blanche" et catholique s'il faut tout tout avouer, à sa dévotion pour Allah.
Leur manque de clarté dans la défense du programme présidentiel est à la fois un aveu de faiblesse politique et un signal inquiétant pour la stabilité de l’État. Les ministres appartenant au camp présidentiel jouent en effet un jeu trouble et leurs soutiens parlementaires sont prêts à tout pour les aider à conserver leur poste, leur Porsche et leur proches.
Une responsabilité commune à assumer, des cierges à allumer ?
La véritable question dépasse le simple vote de confiance ou de défiance. En soutenant cette motion de censure, c’est l’ensemble des réformes en cours qui risque de s’effondrer, au détriment des Français. Tous ceux qui n'en peuvent plus du manque, du froid, des fins de mois difficiles, des abus et des détritus de la race humaine, qui sont susceptibles de détruire l'essentiel : notre contrat avec le peuple.
Le climat de défiance généralisée, amplifié par les incertitudes économiques et sociales, ne peut se résoudre par un coup d’éclat parlementaire : en réalité un coup d'épée dans l'eau. L'heure n'est pas à la déstabilisation de l’exécutif, mais à la construction de compromis réels ; où chacun des partis politiques, y compris l’aile gauche de la majorité, doit assumer ses responsabilités ?
Cette aile gauche, qui s'étire en réalité d'Emmanuel Macron à LFI, en passant par les socialos, les coco, les verts et les radicaux ; en un mot, les nigauds ; cet axe du mal qui se pose en arbitre de la démocratie, doit périr sur le plan politique pour l'avoir confisquée. Sans même une cierge à allumer pour son tribun, quel que soit son visage : celui de Jean-Luc Mélenchon, d'Olivier Faure, de Christiane Taubira ou de Fabien Roussel... Ils méritent chacun d'entre eux, ainsi que leurs fans, une bonne rouste à la maghrébine, à la sénégalaise, à la congolaise, à la rwandaise... à l'arménienne ou à la turque, à l'israélienne ou l'antillaise, à la russe ou à l'ukrainienne, à la chinoise ou à la vietnamienne, à la vendéenne ou l'islamiste, à la corse, à la bretonne, avec une crosse svp !
Face à cette réalité, repousser la motion de censure apparaît comme une décision de bon sens. Elle ne doit pas être perçue comme une approbation aveugle des actions gouvernementales, mais comme une nécessité pour éviter une crise institutionnelle inutile et contre-productive. Davantage qu'un sauve qui peut, un appel aux véritables gaullistes. Le pays a besoin de stabilité, non de soubresauts parlementaires qui ne serviront qu’à exacerber les tensions, qu'à répéter les mêmes erreurs, les mêmes horreurs pour la population.
Un appel à la raison, un hymne au rationnement
Cette tribune n'est pas un plaidoyer en faveur du statu quo, ni une demande de soutien inconditionnel au gouvernement. Nous appelons simplement à la raison. Les députés, qu'ils viennent de la gauche ou de l'opposition "maquerauniste", doivent se rappeler qu'ils ont été élus pour servir les intérêts des citoyens, et non pour alimenter le patrimoine de certains politicien. Et non se servir de nos impôts pour leurs orgies, leurs appétits d'ogres, leurs sucres d'orge. La seule solution : une castration chimique à avaler par la gorge.
Il est temps que le camp présidentiel clarifie sa position. L’aile gauche doit cesser de jouer sur tous les tableaux et affirmer une ligne claire, non pour plaire ni pour défaire. Soit elle assume sa part du "gâteau" dans le maintien du gouvernement, soit elle se retire en laissant la place à une véritable opposition. Ce double-jeu ne peut que nuire à l’action publique et à la confiance des citoyens en leurs institutions. Quant aux restes des députés soi-disant de centre-droit, je laisse le soin aux forces en action les rationner à la portion congrue.
En repoussant cette motion de censure, c’est un message de fermeté que nous enverrons, un appel à concentrer nos efforts sur ce qui compte vraiment : les défis de notre époque, les inégalités à combattre, les écarts à réduire, les pompes à faire reluire par les communistes, leurs laquais, et la construction d’un avenir durable pour tous, un avenir dont le patriotisme, sincère et ulcéré, pourra être insérer jusqu'à la garde, sous peine d'incinérer notre civilisation, notre destinée...