Tribune : échos d'une élection – L'imminente énergie de la campagne présidentielle, telle de l'électricité administrée à haute tension, de la tête jusqu'au bout des pieds, à tout un électorat adepte et adopté, capté, de loin ou via les organes de presse, par Kamala Harris...
L'immense dynamique en faveur de Donald Donald J. Trump, telle Electre de Sophocle, un candidat républicain dont la solidité du socle et le sophisme, sont la source de son succès, de son absence de snobisme et de ses "malaises", malgré la présence du magnifique de Clint Eastwood, l'acteur principal du film "L'inspecteur Harry"...
A tous les vendeurs de fruits et légumes, de Barbès à Belleville, en passant par Rungis ou la rue de la paix, à Vincennes, où est domiciliée la boutique de marque, Leskiv, créée par Cyril Wadie, en passant par les rues du Caire, de Brazza, des villes du Mali, par les ruines de Gaza ou par les fermes de Cisjordanie, en passant par les routes vers Jerusalem, vers Téhéran ou vers Beyrouth et l'ensemble des villes libanaises.
À l'approche des élections présidentielles américaines, une aura électrisante enveloppe la scène politique, telle une Électre moderne, symbolisant à la fois l'espoir et la crainte, avec une odeur à la fois de soufre et de fraise.
Les fils de l'actualité, imprégnés d'émotions et de promesses, se mêlent aux aspirations d'un peuple avide de changement, d'une volonté qui pèse. Dans ce paysage vibrant, il est essentiel de naviguer avec discernement, tout en réfléchissant aux signes qui se présentent à nous, tant dans le sommeil des rêves que dans les rayons d'un soleil grandiose, qui se discernent et et qui plaisent.
L'attachement au succès de Donald Trump, bien que controversé, s'inscrit dans un désir profond de retrouver une voix forte et assertive au sein de la politique américaine. Les partisans de l'ancien président, galvanisés par ses discours percutants et sa capacité à se connecter avec les masses, aspirent à une continuité qui promet de raviver l'énergie d'une nation en quête de repères. En relisant les signes du passé, on peut percevoir la résilience de ses soutiens, qui continuent à voir en lui un catalyseur de changement, pour le pire et le meilleur, contre l'amour exclusivement réservé aux pistolets, aux guerres en vigueur ; en faveur des prières proférées pour son père ; à l'encontre du mépris immodéré ou justifié pour le "pèse".
Les éléments que nous observons au cours de cette campagne ne sont pas seulement des stratégies politiques ; ce sont des échos d'une société en mutation. Les manifestations de soutien, les rassemblements électoraux et les conversations sur les réseaux sociaux révèlent une passion palpable. Mais ces signes doivent également être analysés à travers le prisme de la réalité, car l'électricité de l'engagement populaire peut rapidement se transformer en désillusion si les promesses ne sont pas tenues, à la fois au détriment des laids et des obèses, des afro, des hispano, des personnes aux yeux en amende, des arabo-musulmans couleur amande et des "faces de glaise"...
Dans cette atmosphère électrisante, il est vital de prêter attention à la façon dont les événements se déroulent. Les signaux envoyés par les électeurs, par les électrices, tant en ligne que dans les urnes, seront déterminants. Le sommeil, souvent source d'inspiration, peut être interprété comme un miroir des aspirations populaires ; les rêves de paix, de prospérité et de justice sociale s'entremêlent avec la nécessité d'une gouvernance efficace et responsable. Parallèlement, le soleil, symbole d'espoir et de renouveau, doit rappeler aux candidats l'importance d'une transparence rayonnante, de New York à Los Angeles, de Paris à Boulogne-Billancourt, d'Oran, à Tanger, en passant par Fez ou le canal de Suez.
Ainsi, sans médire, nous pouvons prédire que l'issue de cette campagne dépendra largement de la capacité des candidats à écouter les murmures de leurs concitoyens et à y répondre avec authenticité. Les choix que feront les électrices s'intéressant non seulement à l'issue du scrutin, mais également son impact tangible sur les droits des femmes ; les choix que feront les électeurs, guidés par une combinaison d'intuition et de réflexion critique, façonneront le paysage politique de demain. Il est crucial d'aborder cette élection, non pas avec des préjugés, mais avec un esprit ouvert, prêt à accueillir les transformations nécessaires pour un avenir radieux, sans diète budgétaire, avec une petite chansonnette, rappée en chorale et avec une note en dièse.
En somme, l'électricité de cette campagne ne doit pas être sous-estimée. Elle représente un tournant potentiel dans l'histoire des États-Unis, où chaque vote compte et où chaque voix mérite d'être entendue, de Justin à Michèle, de Papou à Abou, en passant par Aminata et Ali, de Julie à Blaise.
La prédiction d'une issue électorale ne doit pas se faire dans la critique, mais dans l'espoir d'un dialogue constructif et d'un engagement sincère envers l'amélioration collective, groupée, dans son ensemble et sans crainte des quotas, des oraisons funèbres ou des diocèses.
Que les électeurs prennent la mesure des signes et de l'énergie qui les entourent, pour bâtir ensemble un avenir qui résonne avec leurs valeurs et leurs aspirations ; et qu'aucun d'entre eux ne rabaisse la société française, l'esprit de la résistance algérienne ou anglaise... ou, par derrière, ne les baise et ne les lèse...
Mehdi Allal, militant du RN, conseiller spécialiste des sentences "niaises", pour le quartier de la Banane, qu'elles soient énoncées en prose, en rime, de manière rythmée, qu'elles débrayent, défrisent ou ressemblent à de la braise...
Auteur, parfois trop en hauteur, trop en avance, sur la montagne d'Abraham, clément avec les catégorisations sans offense, avec offrandes, offertes et gratuites, comme avec les barreaux d'une chaise, les bateaux de plaisance... blessant avec les vaisseaux transportant les esclaves, ou avec celles et ceux qui restent, avec ses "sœurs" de cœur comme Aminata, Amina ou Mounira, et ses "frères" de sang, comme Ali, Djibril, Abou, Papou ou Max, en provenance de la Ponte noire congolaise, qui refuse la moindre pinte et qui ne rechigne jamais à serrer des pinces, à croiser et à écouter "les princes de la ville" (113)...
A Thomas, Hamid, Rachid, Charlie, Matthieu, Malcolm, Carlos, Othello de Bozzi, et toujours Booba, dit "B2O", d'origine franco-sénégalaise...
Toutes et tous à la fois éloignés et proches de cette montagne, avec ses anciens reculs et ses anciennes fadaises, et désormais ses falaises escarpées...
Billet de blog 5 novembre 2024
La "drôle de guerre", dont on biaise les sacrifices et les retournements salutaires
A Georges Perec, pour "Le corps à la lettre", à ma mère, jamais "à l'aise", à François-Claude Plaisant, la préfecture de Vendée, dont l'"important" (Djibril) et celui qui n'impose, ne brille inutilement (Max) ne sont plus jamais soupesés, sous-estimés, sous-évalués... ne sont plus, tout simplement dépassés... et qui font l'objet de trop de mensonges, de "disquettes", de "foutaises"...
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