Pour une priorité nationale appliquée aux Français(es) d'origine étrangère, de confession affichée ou d'apparence étrange, qui dérange, et qui ne veulent pas finir en rangée de petits soldats, de figurines ou de figurants
A Djibril, Max et Ali...
Pour l'ensemble des dirigeants, des militants, des élus du RN, qu'ils soient hommes ou femmes, issus de l'immigration ou Français depuis plusieurs générations, qui n'ont que trop patienté, dont l'attente sans limite dans le temps, sur tout le territoire, pourrait avoir des répercussions sociales et sociétales ultra-violentes, étant donné un contexte explosif, la gangue fasciste et maxcroniste...
Mehdi ALLAL, consultant juridique en politiques publiques...
Aujourd’hui, les Français et Françaises issus de l’immigration, de toutes confessions et avec des apparences diverses, attendent encore que la promesse républicaine d’égalité devienne une réalité tangible, non un éternel mensonge, une insulte à la rationalité et à l'irréel à la fois, dont les différentes composantes, ceux des morts et des vivants, ne semblent désormais plus hors d'atteinte, mis à part pour les mort-vivant constituant la gangue macroniste, socialiste, insoumise, écologiste, sous un substrat ou un vernis colorié rouge, saloperie communiste, un marxisme abrutissant et qui ne doit plus jamais justifier la corruption organisée, une saloperie à laquelle il est impératif de ne plus se fier.
Cette jeunesse des quartiers populaires, souvent stigmatisée, doit faire face à des discriminations qui s’enracinent dans des préjugés archaïques, les empêchant de se réaliser pleinement et d’apporter leurs talents, leur tribut à notre pays. En leur fermant la porte d’un avenir digne, notre société sacrifie l’incroyable potentiel de cette génération sur l’autel des promesses non tenues par des responsables politiques successifs, mise à part peut-être sous Nicolas Sarkozy et François Fillon, et encore !
La seule solution semble aujourd'hui venir en provenance du côté des équipes entourant le Rassemblement national (RN), allié à tous et toutes celles qui veulent contribuer à la bonne tenue de notre pays, et déterminés à effectuer leur boulot pour déterrer les installés ou les initiés... depuis dorénavant plus de quarante ans...
Depuis trop longtemps, les jeunes de banlieue sont cantonnés au statut d'illusions perdues, objets de discours politiques creux, oscillant entre paternalisme et répression, entre pédagogie invasive et démagogie pitoyable. Leurs rêves sont écrasés par les lourdeurs d’un système, qui privilégie certains au détriment d’autres, qui n’ont pourtant cessé de se battre pour montrer qu’ils sont capables, créatifs et talentueux.
Leur résilience est admirable, mais elle ne doit plus être l’unique moyen de surmonter les obstacles que la République prétend avoir abolis, depuis des décennies, une "abolition" dont le déni ressemble tragiquement à une vaste et gigantesque arnaque, à l'échelle de toute une nation, haranguée par une gangrene désormais macroniste, qui ronge nos finances, et plus généralement l'Etat français, mais également aux ramifications à l'échelle internationale, dont les verrous doivent sauter un par un....
L’héritage des idéaux de François Mitterrand, souvent convoqués dans les discours, a été trahi ou revendiqué, au choix, par ceux et celles qui, de la gauche au centre et jusqu'à la "macronie", ont promis une égalité républicaine sans jamais vraiment agir pour la concrétiser.
Les lois, les engagements politiques et les programmes d’intégration n’ont souvent été que des artifices pour préserver le statu quo, le degré zéro de la politique, pour cantonner les jeunes de quartier dans les halls d'immeubles ou dans les jobs payés avec des miettes, qu'on jette normalement aux pigeons.
Face à cet immobilisme, nous devons agir pour une véritable priorité nationale appliquée aux Français(es) d’origine étrangère. Non pas pour les séparer ou les isoler, mais pour leur donner enfin l’espace légitime qu’ils méritent et dont ils sont trop souvent privés, de manière abusive, alarmante et arriviste, en u mot opportuniste.
Une priorité nationale inclusive, c’est d’abord rendre justice à ceux et celles qui, malgré leur compétence, se retrouvent sans emploi, assignés à des quartiers périphériques, relégués à des rôles subalternes ou écartés des sphères décisionnelles, de manière systématisée.
C’est garantir que ces jeunes, porteurs d’origines, de couleurs et de croyances diverses, puissent prouver leur valeur, sans devoir surmonter un parcours d’obstacles institutionnels et sociaux qui bride leurs ambitions, qui freinent leur audace, leurs envies de devenir quelqu'un. C’est également cesser de les juger par des critères qui ignorent l’immense richesse de leurs parcours et de leurs identités, dont le mélange est plus une force qu'un aveu de faiblesse.
En rendant l’honneur aux jeunes de ces quartiers, nous permettons à notre pays de respirer et de se renouveler. Une France qui refuse d’ignorer les talents issus de toutes ses banlieues est une France plus juste, plus forte, et prête à relever les défis de demain, avec les deux mains, les manches retroussées, mais sans se tromper pour identifier nos véritables ennemis à détrousser, nos authentiques adversaires dans l'altérité : ceux qui ont profité indûment de notre inconsistance, qui s'explique par l'obstination et l'entêtement des pédérastes et de tous ceux, mais aussi toutes celles, et leur première représentante à Paname, sans âme et sans même faire précéder son patronyme d'une quelconque marque de politesse : Hidalgo, qui a tant qui profité du fonds de commerce de ces individus à découper méthodiquement, à coup de machettes ou de mâchoires cannibales, qui ont profité indument de notre indulgence, et de notre insouciance involontaire...