Mehdi ALLAL (avatar)

Mehdi ALLAL

Attaché principal des administrations parisiennes / Chargé de mission "Promesse républicaine" (DDCT) / Chargé de TD en droit constitutionnel à Paris Nanterre / Fondateur & Responsable du pôle "vivre ensemble" du think tank "Le Jour d'Après" (JDA) / Président de l'association La Casa Nostra / Membre du club du XXIème siècle / Secrétaire-adjoint de l'association des rapporteurs.trices de la CNDA (Arc-en-ciel) / Fondateur du média "De facto" / Député de l'Etat de la diaspora africaine (SOAD)

Abonné·e de Mediapart

261 Billets

1 Éditions

Billet de blog 8 novembre 2024

Mehdi ALLAL (avatar)

Mehdi ALLAL

Attaché principal des administrations parisiennes / Chargé de mission "Promesse républicaine" (DDCT) / Chargé de TD en droit constitutionnel à Paris Nanterre / Fondateur & Responsable du pôle "vivre ensemble" du think tank "Le Jour d'Après" (JDA) / Président de l'association La Casa Nostra / Membre du club du XXIème siècle / Secrétaire-adjoint de l'association des rapporteurs.trices de la CNDA (Arc-en-ciel) / Fondateur du média "De facto" / Député de l'Etat de la diaspora africaine (SOAD)

Abonné·e de Mediapart

France, brutalités, abrutissement, à bas bruit, et responsabilité évidée

A Marie T., Myriam Encaoua, Eugénie Bastié, Anastasia Pryakhina, Evelina Trubetska, Fatou Tall, Ambre Delcroix, Clémence Cordier, Soraya, Olivia, Loreleï, Alexandra... A Donald Trump, Vladimir Poutine, le président Tebboune, Georgia Meloni, Jordan Bardella, Marion Maréchal, Jean-Marie, Marine Le Pen, Benjamin Netanyahou, Ismail Haniyeh ... Par Mehdi Allal, aux petits soins avec le RN...

Mehdi ALLAL (avatar)

Mehdi ALLAL

Attaché principal des administrations parisiennes / Chargé de mission "Promesse républicaine" (DDCT) / Chargé de TD en droit constitutionnel à Paris Nanterre / Fondateur & Responsable du pôle "vivre ensemble" du think tank "Le Jour d'Après" (JDA) / Président de l'association La Casa Nostra / Membre du club du XXIème siècle / Secrétaire-adjoint de l'association des rapporteurs.trices de la CNDA (Arc-en-ciel) / Fondateur du média "De facto" / Député de l'Etat de la diaspora africaine (SOAD)

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

France, brutalités, abrutissement, à bas bruit, et responsabilité normée, nommée, à la renommée sans faille, dans les moindres détails : les leçons d'hier pour construire demain, avec deux paumes des mains levées au ciel, de multiples psaumes, qui ne miment point, qui déminent le salut nazi, et qui s'échinent à marquer l'Histoire, le droit ou la sociologie des relations internationales, l'administration publique, territoriale, autonome, hétéronormée, vers un leadership de notre nation, aux côtés des Etats-Unis, du Maghreb emmené par l'Algérie, l'Italie en pointe de l'Europe, et de manière générale, tous les pays qui souhaitent la défaite, le zéro pointé de la gauche "baladeuse" et criarde, "bâtarde", avec l'appui, l'accompagnement asymétrique, antinomique, atomique, outre-Atlantique, voire tout simplement allégorique et quasi-automatique, de la Russie, d'Israel au sein du monde arabo- musulman, toutes obédiences confondues, de la Chine, de l'Inde, de l'Australie et du Vatican... qui désirent l'ire populaire, et lire dans les manuels scolaires, distribués par les organisations humanitaires ou non-gouvernementales, la présence dans l'allée des géants, dans la rangée ou la traversée intemporelle vers "la superbe" (Benjamin Biolay), chic et mythique...
A mon grand-père, Gérard Bardet, et à Jean Pascal Zady, pour son chef d'oeuvre "tout simplement noir", diffusé notamment par le groupe de Vincent Bolloré, Canal +...
Par Mehdi Allal, poète et conseiller en géostratégie au Rassemblement national (RN)...
Le rôle de la France durant la Seconde Guerre mondiale est un sujet complexe, qui oscille entre l’ombre de la collaboration et la lumière de la Résistance, comme des superlatifs inversés tels qu'"ombres et brouillard" (Woody Allen), "nuit et brouillard" (Alain Resnais), comme des œufs brouillés, avec du gruyère râpé, qui se réconcilient, dans l'allégresse, malgré les torts et les détours commis, sous peine de s'entretuer, de se "cannibaliser", de rationner l'essentiel et de stationner, plus tardivement, au stade de la repentance incurable.
La rafle du Vel d'Hiv en juillet 1942 demeure l'un des événements les plus douloureux de cette période, rappelant la complicité de certaines autorités françaises dans la politique nazie d'extermination des Juifs d'Europe, leur disparition à marche forcée, désarçonnant même les obstinés, mêmes les plus téméraires, avec un numéraire savamment étudié, éludé, puis de façon totalement délirante et délurée. Rendez les corps ! "Pendez-les haut et court" (avec Client Eastwood dans le rôle principal) !
Des milliers de familles furent déportées vers les camps de la mort, avec le soutien d’un régime collaborationniste français, un héritage qui alourdit encore notre conscience collective, qui pèse tel un poids mort au sein même de l'Etat, dans l'angle mort d'un rétroviseur, telle une chanson rappée à l'Eurovision, le mouroir de nos illusions, sujet à des allusions et des trahisons de toute part, pour échapper légitimement à l'issue certaine et finale, fatalement douloureuse, et non doucereuse, comme le danger de ma pêche et de nos péchés. "Abracadabra" (Booba) !
Pourtant, cette période sombre ne doit pas occulter le courage des résistants français et en particulier des groupes communistes, ainsi que des "Justes", qui se sont levés contre cette invasion brutale et la persécution des minorités, dont l'épopée légendaire a été lézardée, a été bazardée, rencardée, et dardée par une bande de "pédés", par un "Gang-bang" lyrique et mystique, "caguée" sur du bon son de Dr Dre et The Lady of Rage, dans les latrines de faux "mousquetaires", avec des moustiques, aux moustaches non taillées, au contraire de ce qu'il est coutume de faire, "à l'ancienne" (Clément Baude, soutenu par la promo 2000 de Sciences Po), à l'algérienne, comme un rital de Sicile "et qui le reste" (Claude Barzotti), celles des bains moussants en Thaïlande, en présence de purée Muslin et de muses aux dents refaites, qu'elles soient en or ou remplacées par des couronnes.
À l'appel du général de Gaulle, ces femmes et hommes de tous horizons, de toutes tendances, ont combattu pour que notre pays recouvre son indépendance et sa dignité, par delà le concert des nations et le cancer du nazisme et du fascisme associés, puis d'un communisme dont le discrédit est à la mesure de son dévoiement, de sa flatteuse réputation, qui a enchanté et berné plusieurs générations.
Le sacrifice et le courage, le destin tragique de ces résistants, de ces résistantes, comme lors de la 100e bougie de Madeleine Riffaud ou lors de l'assassinat par des soldats allemands, à la solde du 3ème Reich, riche et prospérant sur les décombres et les zones d'ombre d'origine française, du martyr Valentin Abeille, restent des exemples de dévouement à l’humanité et à la justice ; des permissions pour sortir et "partir" la conscience tranquille, l'âme constante, l'esprit contenté ; des omissions pour ne pas pâlir, faillir ou "pâtir" des séquelles, des cicatrices sur le dos fouetté d'un Jésus, sur le torse étoilé en jaune d'un Mahomet, dont l'amour de la judéité est mal compris, mais toléré : un prophète rajeuni, certes parfois ajourné, mais respectant le jeûne, strictement, impérativement, en Turquie ou en Arménie, en Israël ou en Palestine, en Ukraine ou en Russie, à Londres ou aux Etats-Unis, sur les terres françaises, sans francisque sur le paletot, avec une franchise et une "arrogance" déconcertante, mais modeste dans le fond et sans la forme, au sens propre comme au sens figuré, défigurant à l'endroit des causes perdues d'avance et chaleureux avec ses frères d'arme, ses sœurs et ces dames au phrasé affûté...
Après la guerre, cependant, la France a poursuivi des pratiques impérialistes en Afrique et en Asie, souvent avec la complicité des autorités dites "républicaines", quasiment les mêmes, les semblables de la période de l'Occupation.
Cette contradiction entre les idéaux affichés et les pratiques réelles demeure la blessure centrale dans la conscience nationale, qui nous pousse à toujours remettre en question nos actions et à corriger nos erreurs, à parfaire notre diplomatie à la fois pragmatique et visant de nouveaux horizons, depuis les tronçons d'une autoroute française se dirigeant vers la campagne, jusqu'aux contours contournant les "capitales", de Beyrouth ou Gaza, de Jerusalem, de Dakar ou de Brazza, de Pretoria, de Brasilia ou de Rio, de Pékin ou celle du Vietnam, de Bombay ou de New Dehli, de Kiev ou de Moscou, contournant "le Capital" de Karl Marx, de Berlin à Hambourg, de Rome à Florence, en passant par une Venise trop prisée, de Lyon jusqu'à Marseille, de Boulogne-Billancourt, de Créteil, du 93 à Paris...
Aujourd’hui, le contexte est différent, mais les défis ne manquent pas, cruels, et à relever. La France doit avancer aux côtés d'alliés stratégiques qui partagent sa vision du progrès, qui tient compte de la tradition, quelle que soit sa tardiveté, et du respect entre les nations démocratiques, entre leurs dirigeants, leurs dirigeantes, leur esprit ouvert ou directif, leur manichéisme ou leur machine étatique, hypersensible ou endurci au son des canons, au roulement des tambours ; à la survenue des camions, à la survie du narcotrafic, d'une délinquance effrénée ; à la survenance d'un frère cadet avec une différence de cinq ans ; à la survivance d'une Vème République, malgré ses incohérences, ses fossoyeurs qui se regardent désormais en "chiens de faïence", tels des fayots qu'on distribue, qu'on s'arrache entre les cellules d'une prison, à Fleury ou à Fresnes. "Du ferme" (La Fouine) ! .
Les États-Unis, le Maghreb – avec l’Algérie en fer de lance – et l’Italie, notre proche partenaire européen, dont la majorité politique correspond à notre tendance nationale, notre tendresse, notre enfance, fondamentalement, pendant près de 40 ans, déréglée, composent ce trio essentiel pour bâtir un avenir commun de justice et de développement, bénéfique notamment à toute une Afrique noire endeuillée, dont les membres de la diaspora arrivent de temps à autre à "saigner le succès", à percer le secret, une diaspora "qui baise et ne suce personne" (Nysay)...
L’Italie, en raison de sa position géographique et de ses liens historiques et culturels avec la Méditerranée, joue un rôle clé dans le dialogue entre l’Europe, le continent africain et le monde arabe, notamment les pays du Golfe et du Moyen-Orient, entre les pays asiatiques, entre les pays d'Amérique du Sud ; entre des factions rivales ou amicales ; entre des triades et des mafias en situation de "guerre froide" ou affichée, en expansion ou en récession ; entre le monde humain et l'espèce animale.
Un échange soi prude et pudique soi rude ! Le fait d'un duc, ou complètement ensuqué ! Embusqué ou "embourbé, comme dans un "bourbier" (Marine Le Pen) ou lors d'une bourrée auvergnate ou bretonne, d'un zouk antillais et créole, autour d'un bon jambon corse, lors d'une rebellion kanak, lors d'émeutes à la suite d'une bavure...Et ors d'un clic-clac, une prise en tenailles, mentale et aphrodisiaque, psychiatrique, dans un paradis fiscal ou dans la cale d'un bateau d'esclaves, promis à une mort lente, ou promus, promouvant les descendants d'immigrés et les leurs à leur tour, en évitant drastiquement les leurres et les heures supplémentaires trop nombreuses, une solidarité dont l'exposition et les exploits sont soigneusement, sciemment, à bon escient, claquemurés dans un "cloaque" ou un cloître...
À travers ces alliances en silence, la France peut œuvrer à un développement véritablement égalitaire, où chaque citoyen et chaque citoyenne, chaque membres, chaque fille ou femme issue de chaque minorité, chaque "chienne", chaque "chatte" ou chaque reine est traitée non pas comme un outil politique, mais comme un être humain égal, respecté et inclus, non comme pour planter des clous sur la croix en bois, que la foi soit catholique, que la loi soit protestation, que le foie soit tartiné avec des tripes, des rognons ou du magret de canard. Pas de sous pour les salopards et les connards ! Qu'il soit douze, comme dans le blockbuster du même nom, ou qu'ils empochent des milliards par dizaines, par centaines, ou des milliers ! Qu'ils soient traités en prince, qu'ils soient en costards ou qu'ils soient des taulards ! Qu'ils soient des "gueulards", des "vantards" ! Des lardus et des tordus ! Des trouducs, des ploucs au look qui n'a plus aucun effet sur les masses, sur chacun d'entre nous, chacune d'ente nous...
Nos politiques doivent privilégier l’inclusion et le respect des droits, y compris pour les populations LGBT, à condition de ne pas toucher le moindre cheveu d'un mineur ou d'un minot, d'un minoritaire, à condition qu'elles n'atteignent et ne disposent de la moindre once de pouvoir, via la mise en place de contrôles drastiquement serrés, sevrant et sériant les difficultés une par une, non pour désamorcer la contestation, mais pour punir, rectifier, corriger, décrocher les trophées accumulés depuis des dizaines d'années, grâce à un bla-bla déblatéré avec toute la morgue d'un Jean-Luc Mélenchon, d'une Rima Hassan ou d'une Lamia El Aaraje, dont le discours, notoirement antisémite n'est que de la poudre aux yeux jeté en pâture, à la face des musulmans et des musulmanes !
Que la ciel se mette à pleuvoir, ou sous la grêle qui s'abat, qu'il soit ensoleillé, qu'il se lève ou se couche dans la rosée ou vire à l'oranger, non pas pour des raisons de division idéologique, mais dans l’esprit de solidarité et de justice, d'un rétablissement de l'ordre républicain, sain et accueillant seulement les "saints", au sein des cercles ou des clubs, tolérant avec les "seins" refaits et les escortes, même lorsque cela se corse et déboîte avec l'arrivée d'un arc-en-ciel, dont le drapeau n'est plus qu'un symbole éculé, honteux...
En tirant les leçons de notre passé, en reconnaissant les erreurs commises, notre pays a la possibilité de bâtir un avenir plus juste, en honorant l'héritage des résistants, des Justes, et de tous ceux, de toutes celles qui ont défendu la liberté et la dignité, avec "doigté" et poings dressés, des tresses ou une chevelure lisse, frisée, coiffée ou rasée, telle une tondue, dont le viol est collectif, sans débriefing, sans briquet allumant le feu dans les banlieues, et sans briquer le sol, sans verser le sang, sans versets d'un Coran tout neuf, dont la lecture est réservée aux seuls, exclusivement sain et sauf !
Dont la tontine n'est qu'un service rendu, si l'on s'abstient des sévices et d'une série de merci et de dédicaces ? Dont les écritures sont une source d'inspiration et de raisonnement non alambiqué, dont le récital et l'écoute sont entrecoupés, chaloupés, ne sont pas découpés en tranches, à l'image des différences entre un déhanché et un branché ! Entre une cabale ou une cabane ! Entre une salle de cinéma et un appartement de la rue Broca, dans le 5ème arrondissement, parisien de naissance, à la reconnaissance facile et infinie, seulement pour sex vrais amis, ses copines véritables, vérifiables, et fiables, anciennes ou nouvelles !
Les distinctions entre une bande de pourris, de vendus et une armée de palefreniers, une marée d'anonymes et de visages d'un jour, assistée par une équipe restreinte de fidèles soutiens, une mariée soit haute, soit basse, avec des "Traces de toi" (Alain Chamfort), avec un sablier sacré, dont l'écoulement, le défilé des grains ou des graines minuscules, des traces et des places, comme celle de Palikao, sont hautement scarifiées...
Dont le remue-ménage et le hautbois, la tristesse, ou l'assurance, ne sont plus les gains d'un sacrifice, celui par exemple de sa lignée, composée d'un fils, sa chaire, et d'un prophète afrodescendant, européen, asiatique ou latino, européen, converti ou non, mais pour l'instant Français de souche, unique au pistolet des mots issus d'un dico, comme celui de Solo, et d'une discographie fabuleusement érudite ; piéton par choix, le plus souvent possible dans la rue, et dont le braquet est dirigé vers la ruche des nantis ; le résultat d'un "marron" et d'une "blanche", éduquée selon les préceptes du catéchisme, un brave désormais devenu franco-algérien, le signe d'une future et profonde réconciliation, qui piétine, qui trépigne d'impatience ; au triton dans le bocal ; au piston dans le barillet...

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.