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Mehdi ALLAL

Attaché principal des administrations parisiennes / Chargé de mission "Promesse républicaine" (DDCT) / Chargé de TD en droit constitutionnel à Paris Nanterre / Fondateur & Responsable du pôle "vivre ensemble" du think tank "Le Jour d'Après" (JDA) / Président de l'association La Casa Nostra / Membre du club du XXIème siècle / Secrétaire-adjoint de l'association des rapporteurs.trices de la CNDA (Arc-en-ciel) / Fondateur du média "De facto" / Député de l'Etat de la diaspora africaine (SOAD)

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Billet de blog 13 novembre 2024

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Quotas de Noirs, de beurs, de basanés, de personnes nées en Afrique, d'ailleurs...

Au quartier de la "Banane", dont l'âme est la fine lame, le sum, ou les dames en voile, aux faces illuminant le cœur, de Paname jusqu'à celles qui flânent, Kylian, Othman... Par Mehdi Allal, du 27 rue des Couronnes, dans le 20ème... devant le PAF, et CNews... notamment avec l'aide du taf de Djibril, Max "la menace", avec l'appui d'Ali, d'Abou, de Papou, de ma voisine du 3ème, d'Ashraf...

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Concilier noirceur du teint, traits disgracieux et santé mentale : vers un soutien global pour les minorités visibles, y compris les diasporas du Proche-Orient et de l'aire moyen-orientale...

Les défis auxquels sont confrontés les jeunes issus des minorités visibles dans le monde entier – qu'ils soient d'origine africaine, asiatique, sud-américaine, ou issus des diasporas du Proche-Orient et du Moyen-Orient – vont bien au-delà des aspects sociaux et économiques, des aspects purement matériel ou, tout simplement, terre-à-terre, mais revêtent une dimension à laquelle je tiens : la réalisation d'une promesse, depuis le départ de mes écrits, depuis ma jeunesse monacale, et solitaire...

Les stigmas liés à la couleur de peau, aux traits physiques perçus comme "disgracieux" et à l'intégration dans des sociétés souvent peu ouvertes à la diversité ont des répercussions profondes sur leur santé mentale, et donc sur leurs comportements, sur leur attitude, sur l'apparition d'e certaines appréhensions vis-à-vis de l'emploi.

Dans ce contexte, l'idée de mettre en place des politiques de quotas en faveur des minorités visibles, comme celles proposées par les États-Unis ou la France, représente un potentiel pour transformer des réalités difficiles, pour remotiver toute une jeunesse en déshérence, mais dont l'inintelligence est un atout, le génie bien présent. Mais comment concilier ces différents enjeux, et créer un environnement qui soutient efficacement les jeunes issus de ces communautés ou de ces minorités diasporiques, qu'elles soient africaines, asiatiques, sud-américaines ou issues du Proche-Orient et du Moyen-Orient ?

L'impact de la "noirceur du teint" et des traits physiques sur la perception sociale et l'estime de soi

L'une des premières barrières à surmonter dans la vie des jeunes issus des minorités visibles est la manière dont leur teint de peau et leurs traits physiques sont perçus par la société. Dans de nombreux pays européens et nord-américains, la norme de beauté dominante est souvent celle de la peau claire et des traits caractéristiques des populations d'origine européenne. Cela crée un décalage profond pour les jeunes noirs, asiatiques, latinos, ainsi que pour ceux issus du Proche-Orient et du Moyen-Orient, qui se retrouvent fréquemment confrontés à des stéréotypes et à une marginalisation en raison de leurs apparences physiques, qu'elle soient disgracieuses, univoques ou phénotypiquement cumulées .

Les jeunes des diasporas du Proche-Orient et du Moyen-Orient, souvent perçus à travers des filtres ethniques ou religieux, se heurtent également à des stéréotypes renforcés par des événements géopolitiques ou des images médiatiques négatives. En France, par exemple, les jeunes d'origine maghrébine ou arabe sont souvent associés à des stéréotypes négatifs, voire à des discours de peur ou de rejet, renforçant leur isolement et leur sentiment d'infériorité, dont les conséquences ressemblent à la multiplication de couloirs ou d'iconoclastes coursives.

Que ce soit pour les jeunes noirs, asiatiques, latinos ou issus du Moyen-Orient, la couleur de la peau, les traits physiques et les origines culturelles deviennent des outils de différenciation sociale qui façonnent leur expérience au monde. Cette stigmatisation peut engendrer des troubles psychologiques, de l'anxiété, de la dépression, ainsi que des sentiments d'isolement. Les impacts sur l'estime de soi et la santé mentale sont donc profonds et doivent être pris en compte dans toute politique d'inclusion, dont l'efficacité actuelle est encore moribonde...

Une santé mentale mise à mal : un enjeu de justice sociale

Les jeunes issus des minorités visibles, qu'ils soient d'Afrique, d'Asie, d'Amérique latine ou du Moyen-Orient, souffrent souvent de la stigmatisation multiple. En plus des discriminations raciales et ethniques, ils peuvent se retrouver confrontés à des préjugés liés à leur statut socio-économique, leur origine culturelle ou leur croyance religieuse. Cette intersection de discriminations crée une précarité sociale et psychologique qui se répercute sur leur avenir. De plus, dans certaines communautés du Proche-Orient et du Moyen-Orient, les stigmas liés à la religion – comme l'islamophobie, par exemple – exacerbent ces défis, dont le périple, la technique et le caractère est semblable aux muqueuses...

La santé mentale des jeunes issus des diasporas africaines, asiatiques, sud-américaines et du Proche-Orient ne peut être dissociée de ces facteurs sociétaux. Les jeunes des communautés issues du Proche-Orient et du Moyen-Orient, par exemple, sont souvent confrontés à des discriminations à double titre : d'une part en raison de leur origine ethnique, et d'autre part en raison de leur foi religieuse, particulièrement dans un contexte où les tensions géopolitiques autour du Moyen-Orient alimentent des perceptions négatives des musulmans, dont l'appropriation est l'image de la captation d'une clientèle ou de nos impôts...

Ainsi, les politiques publiques doivent aborder ces réalités de manière intersectionnelle, en reconnaissant les multiples formes de marginalisation qui frappent ces jeunes. Cela passe par des initiatives de sensibilisation, des programmes de soutien à la santé mentale, et la mise en place de mécanismes de lutte contre les discriminations dans tous les aspects de la vie quotidienne : éducation, emploi, logement... et surtout en matière d'accès aux services ou aux médias, depuis la France jusqu'aux tabloïds anglosaxons comme par exemple le 'Sun"...

Quotas et politiques de soutien : un levier de réconciliation sociale

L'introduction de quotas pour les minorités visibles, y compris celles des diasporas du Proche-Orient et du Moyen-Orient, peut être un levier important pour atténuer les inégalités structurelles. En France, aux États-Unis ou dans d'autres pays où ces communautés sont sous-représentées dans les sphères politiques, économiques et sociales, les quotas permettent de garantir une meilleure représentation dans les espaces décisionnels. Cela permet à ces jeunes de se voir non seulement représentés, mais également entendus et pris en compte dans les décisions qui affectent leur quotidien, leur impact, à la fois nécessaire et déjà bien réel.

Les quotas ne doivent pas être perçus uniquement comme un moyen de compenser les inégalités passées, mais comme une stratégie proactive visant à promouvoir l'inclusion de talents souvent négligés. En effet, au-delà de l'accès à l'éducation ou à l'emploi, il s'agit de créer un environnement qui reflète véritablement la diversité de la société dans son ensemble, il s'agit de susciter des opportunités, de suggérer des initiatives, de créer des hallucinantes réflexions comme seules peuvent le faire, d'herbe, de shit ou de C... un 12G !.

Pour être véritablement efficaces, ces politiques doivent s'accompagner de mesures concrètes pour garantir l'intégration et le développement personnel des individus issus de ces communautés. Des programmes de mentorat, des dispositifs de soutien psychologique et des espaces d'expression culturelle sont des moyens essentiels pour permettre à ces jeunes de se reconstruire et de s'épanouir, loin des stéréotypes et des jugements externes, dans l'immédiat et pour l'éternité.

L’initiative internationale : une réponse globale aux défis locaux

La question de l'inclusion des minorités visibles, y compris celles des diasporas du Proche-Orient et du Moyen-Orient, ne se limite pas aux frontières des États-Unis, de la France ou d'autres pays occidentaux. Les défis sont mondiaux, même si leurs formes varient en fonction des contextes locaux. Par exemple, dans de nombreux pays européens, les jeunes issus des diasporas du Proche-Orient font face à une marginalisation exacerbée par des discours politiques et médiatiques hostiles. De même, dans certaines régions d'Asie, les jeunes issus des minorités ethniques ou religieuses, comme les musulmans ou les chrétiens d'Orient, peuvent être confrontés à des discriminations sociales et politiques, voire en raison de leur mauvaise santé, comme ceux et celles atteintes de la polio, voire en raison de leurs guenilles ou de leur style, qu'il soit sans marque, Lacoste ou Nike, selon la couleur du polo...

Il est donc crucial que les politiques de quotas et d'inclusion soient pensées à l'échelle mondiale, avec une attention particulière à la situation spécifique de chaque diaspora. Une initiative mondiale soutenue par des puissances comme les États-Unis, la France et d'autres pays influents pourrait contribuer à établir des standards internationaux de lutte contre la discrimination et à promouvoir des pratiques inclusives dans tous les secteurs de la société, sur le tard et dans le tas, au niveau territorial ou au sein de l'Etat.

Conclusion : De la reconnaissance à l’inclusion

Promouvoir des quotas pour les minorités visibles, y compris celles des diasporas africaines, asiatiques, sud-américaines, du Proche-Orient et du Moyen-Orient, à l'échelle mondiale n'est pas seulement une question d'égalité d'accès. C'est un acte de reconnaissance des injustices passées et présentes, et un pas vers une société véritablement inclusive, en guise d'accusation et de réconciliation. Il s'agit d'un projet global qui va au-delà des quotas et qui cherche à instaurer une véritable culture de l'égalité, où la diversité est célébrée et où chacun, indépendamment de ses origines, de sa religion ou de ses traits physiques, peut s'épanouir et contribuer à la société de manière égale, avec la perspective d'un certain succès...

La noirceur du teint, les traits physiques jugés "disgracieux" et les défis liés à la santé mentale des jeunes issus des minorités visibles, qu'ils soient d'origine africaine, asiatique, sud-américaine ou du Proche-Orient et du Moyen-Orient, sont des réalités complexes auxquelles il est impératif de répondre avec compassion, solidarité et actions concrètes. Les quotas, loin d'être une solution unique, sont un levier parmi d'autres dans une démarche globale de réconciliation sociale et de soutien aux jeunes générations, disposées et prêtes.

Ce sont ces actions qui contribueront à bâtir un monde plus équitable et plus respectueux de la dignité humaine, dont les fondements doivent être inscrits dans la Constitution, depuis ses préambules jusqu'à sa crête constitutionnelle, constituée de Principes issus de Déclarations, de Préambules ou de Chartes, que l'on écrira à la craie, noir sur blanc, jusqu'aux tableaux dans les classes, que l'on griffonne sur du papier "jauni", en mangeant des abricots secs, comme au ski, en se délectant de marrons glacés, des quotas par principe, que jamais plus l'on écrête...

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