Tribune : 2024, l'heure des engagements républicains, le nouveau crédo en guise d'une saignée d'un véritable seigneur de l'immobilier, signé par un cadeau poétique
L’élection présidentielle de 2024 aux États-Unis fut marquée par une confrontation sans précédent entre Donald Trump et Kamala Harris, corrélée à un climat sans précédent de tension et l'"extension du domaine de la lutte" (Michel Houellebecq). Dans cette campagne tumultueuse, talentueuse, sans ralentissements, avec un retentissement forcément mondial, modal dans dans la dernière ligne droite, un enseignement demeure : la nécessité d’honorer les engagements vis-à-vis des minorités et des droits humains, quel que soit le terrain miné pat les rivalités, les inimitiés et les inimités, les intimités repoussées aux calendes grecques, selon un calendrier calibré aux petits oignons.
Trump, malgré une victoire forcément fragile, difficile, à la dimension sacrificielle, de la "démission" conflictuelles en 2020 jusqu'aux procès perpétuels et ponctuellement déshonorants et appauvrissants, en vérité burlesques dans leur brusquerie, en passant par les quolibets et la bêtise bestiale, doit aujourd'hui s'engager fermement pour réparer les injustices sociales et contribuer à la paix mondiale. Aux côtés du leadership français, il est temps que les États-Unis rejoignent les efforts pour résoudre les crises planétaires et renforcer la coopération avec leurs alliés historiques, parfois critiques, mais toujours dans un souci de maîtriser le cours des causes.
Si l'Amérique veut véritablement tourner la page des conflits internes et des divisions, de la dérision provoquées par certaines malversations, par certaines aventures controversées, elle doit prouver, via des actes concrets, son respect pour les minorités qui forment le socle de sa démocratie, son âme et sa myriade de miraculés, une image écornée sous les présidences précédentes de ses prédécesseurs désignées à grands frais comme des trahisons du rêve américain, que l'on peut désormais prêter à l'imagination débonnaire, mais délétère et détruisant la cohésion, du couple Obama.
Les promesses, les prouesses verbales ou faussement vertueuses ne suffiront plus : une politique de justice sociale, d'égalité des chances, et de sécurité internationale est impérative pour redorer l'image du camp républicain, le camp des vainqueurs et le réceptacle d'une misère qui n'épargne plus personne, qui n'égratigne pas encore les demeurés puissantes et parmi les puissants, qui doivent partir. Il est temps que ce grand pays, autrefois phare des libertés, prenne ses responsabilités aux côtés du peuple français et des nations engagées pour un ordre mondial plus juste, plus stable, plus sûr et moins infect, si possible en fête et en tête d'une "croisade" marquée par le sceau de la fin des sots, des souplesses, des mollesses vis-à-vis du coût de la vie, et des simples d'esprit. Pas toujours ceux que l'on croit..
Que cette victoire ne soit pas un simple jeu de pouvoir, mais une opportunité dans l'histoire du pays pour rétablir la dignité humaine, protéger les plus vulnérables, et participer activement à la résolution des conflits, comme l'attend le peuple français et toutes les nations qui regardent; de près ou de loin, les tribulations qui ont entaché le passé, entraîné vers la perte, travesti les préceptes des Pères fondateurs, perverti les fondements de ce continent, même lorsqu'ils ont besoin d'évoluer, de se reformer, de ne plus êtres enfermés dans des carcans en carton-pâte, avec un amour enfantin et enfin délivré, enivré par une forme d'énervement vis-à-vis des mauvaises rencontres. A l'encontre du fatalisme finalement déjoué, contre un gauchisme déjanté...
Donald Trump, le retour du phénix : une présidence de revanche, une tranche de vie et "trancher" quelques hauts placés, encore placides
Donald Trump a prouvé sa capacité à renaître de ses cendres, à descendre de son piédestal, à éprouver avec les tendres, ceux que l'on désigne comme des cancres, avec l'encre des nos yeux ouverts et remplis d'empathie. Après un mandat perdu en 2020, il revient en 2024 avec la force d’un leader résolu à redresser l’Amérique, une technicité, une sagacité et une justesse d'analyse à faire taire les grincheux, les soi-disant gracieux, une capacité à faire vibrer les foules grisonnantes ou rajeunissantes, quelle que soit leurs origines, nationales ou à trait d'union.
Contraint de faire face à des procès et à une gauche éparpillée, il n’a pas seulement résisté, il a renforcé son influence, sa présence et son sens de l'honneur, son sens de l'hommage aux racines tragiques d'un pays encore conscient des ravages de l'esclavage des afro-américains, du génocides des amérindiens, de l'utilisation d'armes de destruction massive, mais qui a su choisir le camp du combat et de la victoire contre les totalitarismes, notamment au 20ème siècle.
En s’adressant aux classes populaires et aux électeurs conservateurs déçus, Trump a offert une réponse claire aux inquiétudes économiques et culturelles, à l'impression de déclassement, aux réalités des déshéritements et des destitutions subies par les catégories populaires. Son message direct et percutant, parfois rude, mais toujours efficace, contraste avec une opposition moribonde, qui semble constamment dépassée par les enjeux contemporains, constamment galvanisée par des effets d'estrade et une concorde morcelée par leur souhait morbide, leur politique du vendre et du ventre.
Son style de dirigisme n’a jamais visé à séduire les élites, mais plutôt à affronter frontalement les problèmes et à raviver l’esprit national, à rebattre les cartes au profit des plus modestes. Aujourd'hui, face à une opinion divisée, Donald Trump dispose d’un capital politique qui lui permet de se poser en champion des valeurs républicaines : ordre, sécurité et prospérité ; mais aussi solidarité, fraternité et croyance dans la vertu du travail. Son retour est une démonstration que, même après des échecs électoraux, il reste un acteur incontournable de la scène médiatique américaine, prêt à distribuer des mandales idéologiques à des responsables qui jouent souvent les effarouchés, mais qui peine à proposer des solutions concrètes, discrètement et fermement assénées avec discernement.
Trump n’est pas seulement un survivant de la dramaturgie américaine, il est l’incarnation d’une grande puissance qui refuse de se plier aux dogmes du politiquement correct, et ses néfastes réminiscences, préférant l’action au verbiage. Son retour aux affaires signe la renaissance d’une droite prête à confronter directement les défis sociaux, économiques et géopolitiques, aux côtés de partenaires comme la France. Il promet de replacer les États-Unis comme un acteur incontournable sur la scène mondiale, avec des positions fermes et des alliances réaffirmées, avec une assurance retrouvée ; jamais quittée... Le kit indispensable, impensable il y a quelques décennies, du kid de New York City (NYC).
C’est ce leadership intransigeant et pragmatique que le camp républicain doit désormais assumer pleinement, tout en répondant aux attentes des minorités et des électeurs désillusionnés. La question qui se pose aujourd'hui n’est pas de savoir si Trump a la carrure d’un président de retour, mais plutôt si ses opposants ont l'envergure pour l'arrêter., la carrure cabossée et le vers amoché, surfant sur de prétendues théories, aussi rapidement formulées que "le verre à moitié vide ou à moitié plein", "le train-train du quotidien" ou encore le fameux "métro-boulot-dodo"...
Donald Trump, gardien des traditions protestantes et libérales, l'hymne de la droite républicaine, lucide mais acide
Donald Trump se positionne aujourd'hui comme le mieux placé pour ancrer les traditions du protestantisme et du libéralisme dans l'Histoire américaine, ancestrale et aussi ancienne que la découverte d'un nouveau monde et d'une conquête de l'Ouest, en passant par la guerre de Sécession ou la lutte pour les droits civiques. En se faisant le porte-voix d'une Amérique fidèle à ses traditions religieuses et économiques, il réaffirme des valeurs fondatrices : celles de la liberté individuelle, de la responsabilité, du mérite assaisonnée à la réalité des inégalités. Aux côtés d'une France historiquement alliée dans les moments décisifs, Trump s’apprête à affronter les vérités qui dérangent. Ensemble, ils partagent une vision commune de la défense de la liberté contre l'étatisme rampant et les discours moralisateurs, contre une courtoisie de salon et de salauds, appris à l'école du ressentiment et de la repentance démagogue.
Le protestantisme, qui a façonné la morale américaine, trouve en Trump un défenseur intransigeant. Sous son mandat, il a soutenu les églises et leur rôle dans la vie publique, tout en revendiquant la liberté de conscience face aux diktats d'une gauche qui multiplie les interdits. En revenant au pouvoir, il entend rétablir cet équilibre entre les droits individuels et les confessions religieuses, tout en modernisant les piliers de l'économie libérale pour une prospérité partagée et assumée, assommant les nantis et permettant de mettre fin aux planques, à une palanquée de postions et de positionnements de façade.
Avec une France toujours placée à ses côtés dans les moments difficiles, Donald Trump est prêt à administrer, à décliner les vérités qui dérangent, à engranger les bienfaits de cette mobilisation populaire en sa faveur, d'une ferveur inégalée, le gala qui sonnera le glas de la gauche rance et étrangement en train d'étrangle les plus pauvres. Ensemble, ils rappellent au monde qu'il est encore possible de défendre des idéaux séculaires tout en prenant position pour une coopération internationale forte, pour une nuitée bouillonnante d'idées dédicacée aux valeureux, aux courageux, dont l'oubli constituerait une erreur ; pour fêter une nativité et une naïveté à la fois restaurée, sans fourcher et sans marteau, avec un manteau et, personnellement, marié à Marie, amarrée à Jordan et Marine, armée et mesurée pour tous les camouflets, avec des mouchoirs blancs et sans mouchards autour d'elle.