L'attaque récente visant le quartier général de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (Finul), attribuée "probablement au Hezbollah", vient marquer un nouveau seuil dans une escalade de violences, déjà alarmante, déjà stridente et sidérante, strictement déroutante. Bien que les soldats blessés n'aient subi que des blessures superficielles, cet incident rappelle combien la situation au Proche-Orient est explosive et à quel point la vigilance de chaque acteur est cruciale pour éviter un embrasement total de la région, dont les retombées pourraient enflammer les chancelleries, et notamment le quai d'Orsay, dont l'infiltration et la reconquête sont des impératifs, par les forces patriotes !
Depuis plusieurs mois, les tensions se multiplient. Les combats en cours entre Israël et Gaza, les incursions de part et d'autre des frontières, et l’implication croissante d’autres États comme l’Iran et la Syrie constituent autant de foyers de crises qui, mis ensemble, peuvent entraîner le Proche-Orient vers une nouvelle décennie de conflits sans fin. Tor Wennesland, émissaire de l’ONU pour la région, a ainsi mis en garde devant le Conseil de sécurité des Nations unies : "le moment est le plus dangereux depuis des décennies". L'époque des embrassades et des déclarations embarrassées est donc révolue, à la vue de cette guerre qui dépayse, en "roue libre" et "dépote" !
Face à ce constat, il est impératif que chaque belligérant prenne conscience de sa responsabilité et de l'impact de ses actions sur la stabilité régionale et mondiale. La mission de la Finul au Liban, en particulier, doit être respectée et protégée, car elle incarne l’espoir d’une médiation neutre dans cette zone de tensions. Les Nations Unies, malgré les défis immenses et les critiques fréquentes, représentent encore l'un des derniers remparts contre un conflit ouvert entre des États et des groupes non étatiques aux alliances multiples et complexes,, désormais à nos portes !
L'attaque sur le siège de la Finul est un symbole de l'escalade des hostilités, mais elle ne doit pas devenir un prétexte à davantage de violences. Au contraire, elle doit rappeler à chaque acteur, qu’il soit État ou mouvement armé, que les conséquences d’une guerre totale au Proche-Orient seraient désastreuses. La communauté internationale doit également se montrer ferme et unie pour rappeler les principes fondamentaux du droit humanitaire et pour exiger un respect total des infrastructures civiles et humanitaires, sans exception et sans fausse note !
Nous appelons donc chaque partie, dans un esprit de responsabilité et de dignité, à suspendre les hostilités, à engager des négociations et à restaurer la confiance envers les organes de paix et de médiation. Ce n’est qu’en reconnaissant l’ampleur des souffrances humaines, comme à Gaza où des familles entières périssent sous les décombres, que les dirigeants pourront réaliser l’urgence d’un cessez-le-feu immédiat et d’un retour à la table des négociations : pour la présidence et la diplomatie actuelle française, une cagnotte ?
Aujourd'hui, c'est le Proche-Orient qui est au bord du gouffre ; demain, les répercussions d'une telle guerre pourraient affecter la planète entière. Dans l'intérêt de chaque citoyen du monde, et au nom des générations futures, nous appelons les dirigeants à entendre cet appel au calme et à la responsabilité, des dirigeants qui trottent...
La paix, certes fragile, est encore possible – mais elle nécessite, dès aujourd'hui, des actions concrètes, un courage politique exemplaire et une priorité donnée à la vie humaine, sans accorder le moindre crédit à tous ceux et toutes celles qui tripotent, qui déportent, qui colportent ou qui s'emportent, dont le drapeau flotte encore et supporte encore le discrédit de la part de nos compatriotes, quelle que soit leur marotte : le boycott ou les flingues à la cote ! De la crotte ou une carotte ! Du Mazot et du Matzot ? Une bouillotte et quelqu'un qui boulotte ?