Dix entreprises exploitaient la main d'oeuvre irreguliere

Le dix decembre le carabinieri de Foggia, sus ordre du parquet de la meme ville, ont placè en gard a vu deux personne e trois outre en detention forcèè a la maison, onze denoncè avec l'obligation de signature.
L'organization de malfateures utilise' la maine d'oeuvre des immigres africaines pour cultiver des terraines agricoles privèe, en profitand de leurs condition de chantage entant que irreguliere, et les obligè a demeurreure dans des baraques au alentours de Borgo Mezzanone, dans le banlieue de Foggia.
Les immigrees irregulieres ont aussi etè contrainte a payer part de leur salaire pour le trasport e pur l'intermediation. 
Parmi les personnes soupconnè d'exploitation de main d'oeuvre irreguliere et d'intermediation illegal, la femme du prefet Michele di Bari, chef du Departement pour le Libertè Civil e l'Immigration au Ministere de l'Interior.
Le prefet s'e demissionè toute de suite, apres avoir connu l'implication de ca femme.
Au cur de l'investigation, menè entre juillet et octobre 2020, il a etè decouvert e demantelè un systeme de recrutement illegale mise en place entre intermediaires e chefs d'entreprise.
Deux immigreè africaine, 32 et 33 ans agè, ont etè le trait d'union entre les dix entreprises agricoles e les immigrèes sans papier.
La main d'ouvre a etè recrutèe dans la bidonville pres de Borgo Mezzanone. Les salaires comptabilisès c'etait manifestement faux, etant donnè que les salaires rèellement payès ètaient très infèrieurs aux niveaux minimaux fixès par les contrats collectives sectorielles nationaux. Meme le temps de travail etait faussè, avec des heures de travail comptabilisèes notamment inferieures à celles rèellement travaillèes. Les congès, les repos et les visites medicales n'etaient èvidemment pas pris en compte. Le chiffre d'affaires des ces dix entreprises agricoles ètait d'environ 5 millions d'euro par annèe.(cm)