retraité de l'ingénierie informatique et aéronautique et de l'enseignement dit supérieur (anglais de spécialité), écrivain et esprit curieux
Abonné·e de Mediapart
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Un certain monsieur Bismuth, écrivant sous un pseudonyme plus connu, se plaint amèrement dans le Figaro de ce matin des écoutes téléphoniques qu'il a subies. On conçoit bien que s'être retrouvé longuement espionné par un micro caché au fond d'un buisson ait porté sur les nerfs du susdit (qui sont notoirement fragiles) surtout qu'en matière politique le ridicule blesse aisément, même s'il ne tue plus depuis longtemps.
Qu'il assimile la justice de son pays à la police politique de l'ex-RDA est une outrance d'avocaillon qui ne convaincra que les plus demeurés de ses thuriféraires.
Rappelons que les vapeurs de bismuth (symbole Bi) sont fortement toxiques et qu'à l'état solide c'est un métal difficile à séparer du plomb.
Tenons-nous donc à l'écart de ces vapeurs et disons-nous qu'avec tout le plomb qu'il a désormais dans l'aile le sieur Bismuth devrait continuer à s'enfoncer inexorablement. On peut au reste compter sur ses très chers amis pour y contribuer discrètement: la bouée de sauvetage est une denrée rare à l'UMP...
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.