Elle est d'autant plus à l'aise pour s'afficher dans un poujadisme rénové, un "nationalisme" vidé de souveraineté nationale par la finance, qu'il ne s'agit pas d'un programme de gouvernement.
Mais de drague dans les ressassements "saucisson-gros rouge".
Elle racle les fonds marins bien sûr en vue des municipales, mais surtout, déjà en campagne pour 2017 !
Mais, avant les électeurs en 2017, c’est la finance qui choisira qui elle financera et propulsera dans la presse qu'elle finance, soit UMP, soit PS, soit FN. Qui aura la meilleure compétitivité(=le meilleur rendement pour engraisser la finance)
On se souvient de Sarkozy, qui commençait sur des slogans de gauche et débauchait à gauche. Puis finissait son quinquennat sur une politique anti jeunes xénophobe.
On a vu ce qu'il advint des engagements électoraux.
De toute façon la politique, économique, privatisation, enseignement, recherche et policière reste inchangée.
UMP, PS, FN, Trois populismes interchangeables.
La différence réelle du PS se joue sur le ministère de la Justice :
- gouvernement UMP, c’était frénésie à incarcérer un max dans les banlieues et frénésie à asservir les juges,
- gouvernement PS, cc'est le pacte républicain réinsertion et indépendance des juges, grâce à Madame Taubira.
La différence tangible du FN peut se voir dans les autres pays européens notamment en Grèce. Elle consiste en des groupes "incontrôlés" qui ajoutent leur violence impunie à celle de la police, en connivence contre le peuple qui lutte pour se dégager de l’étreinte financière mortelle.