Politiques, journalistes "spécialisés", commentateurs et politologues infaillibles TOUJOURS LA MEME ERREUR DE METHODE !
On ne peut RIEN conclure sur les déplacements de votes, si on ne considère pas les % d'abstentions, surtout lorsqu'ils sont importants.
Les analyses courantes considèrent les électeurs comme attachés à telle ou telle formation.
Or en période de confusion politique, et c'est le cas actuellement où les formations se succèdent au gouvernement pour faire la même politique, les électeurs essayent les divers votes, pour voir si c'est moins pire.
Même des électeurs qui furent attachés à un parti, passent par l'abstention, par le vote protestataire, etc. sans que cela signifie adhésion à leurs idées. Y compris le vote d'extrême-droite est "essayé", dont les faussaires des médias s'échinent à faire croire qu'elle n'aurait plus rien à voir avec ses parents fascistes !
Politologues, vous devez travailler sur les pourcentages calculés par rapport aux inscrits, comparer sur plusieurs années, et tenir compte de l'évolution du nombre d'inscrits, évaluer l'évolution des non-inscrits. considérer les variations de volume, comparer différents bureaux de vote, ville/lotissements/campagne, tenir compte des interview de terrain, des personnalités locales....
Faute de quoi, vos "analyses" sur l'audience des partis ne reflètent que vos opinions !
 
                 
             
            