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Billet de blog 26 juin 2017

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J-L M : La médiacratie a la rancune tenace, il faut croire qu'il lui aura fait peur

Jean-Luc Mélenchon continue de subir l'acharnement de la médiacratie*. Peut-être prête-t-il le flanc par des déclarations tonitruantes, mal comprises ou déformées. Cependant, en 9 années de combats et de pédagogie politiques, il a semé l'idée et la notion du « Rien est irrémédiable ».

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C'est ce que les larbins de la finance lui reprochent le plus, ça et la peur qu'ils ont eue qu'il gagne son combat de la présidentielle. « Unis sur un programme innovant, nous pouvons agir sur l'avenir que les pythies prédisent sombre, inéluctable, incontrôlable. »
Il a frôlé le succès. Qu'il en soit remercié et honoré. Maintenant lui incombe la tâche de chercher son successeur et de l'épauler. Désolé de le dire mais c'est un constat : Dans l'esprit des jeunes, si le programme « L'Avenir en commun » est plébiscité, sa personne et son parcours représentent encore l'homme de l'ancien système, ce système qu'ils ont subi depuis leur naissance. Le succès de Macron, un « bébé Hollande », ne s'explique pas autrement. Inconnu il y a peu, il est jeune, parle anglais, utilise des expressions branchées avec, comme viatique, une couverture médiatique sans précédent alliée à un financement inépuisable. Sans programme à un mois de l'élection, il était déjà élu pour tous les soi-disant experts.

Qu'est-ce qui a fait que le succès a fui ?

Pour une grande part, la peur de l'inconnu ! Malgré un chiffrage ayant reçu l'aval d'une centaine d'experts économiques, la publication de cahiers reprenant et développant chacun des thèmes du programme « L'Avenir en commun », dans l'inconscient collectif subsiste la peur de la brutalité et de l'ampleur du changement. Ce programme s'attaque à des secteurs économiques multiples et demande beaucoup à l'innovation. Serions-nous devenu un peuple pusillanime, peureux, égoïste ? Force est de constater que nous n'en sommes pas encore au dernier stade de ce que nous pouvons absorber comme maltraitance de la part de l'oligarchie. Après les cinq années Macron, peut-être que « les gens » décideront enfin que « trop, c'est trop » et c'est alors qu'un homme nouveau muni du programme actualisé pourra porter l'espoir d'un changement à la hauteur des défis de ce temps. Mais peut-être alors, sera-t-il trop tard !

*http://www.acrimed.org/De-l-art-de-saboter-une-interview-politique#top

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COMME DIT ATTALI, CE N'EST QU'UNE ANECDOTE, MAIS...
Le type gifle un môme qui fouille dans sa poche, peut-être que l'on peut admettre et même approuver. Puis en fait tout un numéro destiné aux médias... après tout c'est de bonne guerre... mais que dites-vous de ce même type, ministre de la justice en France faisant les poches de l'Europe pour rétribuer des assistants parlementaires de son parti ?
La vitesse avec laquelle les ministres du Modem du 1er gouvernement Macron ont « dégagé », comme s'ils avaient la FI à leurs trousses, indique qu'ils ne sont pas aussi innocents qu'ils veulent bien le clamer. Sacré Bayrou, le voilà dépossédé de son auréole de rectitude morale.
Faites le compte des partis qui sont impliqués ou soupçonnés de pratiquer ces magouilles... Tous de droite, le PS étant de droite depuis longtemps... Etonish ? Nein !

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