De la musique, du chant, des pensées (de celles qui rejoignent les miennes), et de ce qui fait au fond ma sensibilité.
Puisse-t-elle rejoindre la vôtre.
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Le Beatles de ma jeunesse...
Ce génial Raymond Devos, mon fou favori...
François Morel et "le CORPS"..., le meilleur de ce comédien, poète, le meilleur de France Inter...
Enfants aux voix d'or et à l'humour pince-sans-rire...
Le plus grand de nos humoristes...
Mais Les Deschiens...
Catherine Ringer, une folle-dingue assez géniale...
Misogynie à part...
"Pourquoi philosopher alors qu'on peut chanter ?" (Brassens)
Madame Fatou Diome, que l'on aimerait tant qu'elle fût entendue...
De la grande chanson française, en dehors du show bizz
Guitare, vibrations, l'Espagne...
Je dois être Andalouse quelque part...
Ravi Shankar ou le Mozart de l'Inde.
Chants d'enfants, voix vivantes, voix pures
La plus grande...
Et cette autre immense voix : Oum Kalthoum : "la voix incomparable"
El Hadj N'Diaye, ou le corps est dans la voix...
Maurane nous enchante avec Bach
C'est la grande question...
Walter's Carabine : un cri de notre jeunesse sur le monde (mon fils Foucauld de Kergorlay, à la guitare (à gauche) )
Hallelujah !
Jubilation !
"Mémoire de la mer, la musique est mémoire de la mer." (Miguel Angel Asturias)
"Le temps qu'on nous inflige n'est pas celui que je dis"
Jeux interdits - simple et si joli comme Fossey
Truffaut
Souvenirs d'Asie...
Un peu de douceur...
Sublime Martha Argerich...
Quand reviendra le soleil... et l'heure exquise...
L'immense Placido Domingo - "Je crois entendre encore"...
Schubert / Fischer Dieskau (le plus grand baryton)
So what ? Miles Davis, celui qui nous fait entendre ses notes tournant autour du silence ou "le son qui n'existe pas".
Rachmaninov - mélancolie poignante...
Glenn Gould / Beethoven - Tout le génie du piano au bout des doigts...
Rostropovitch/Britten... Arpeggione Sonata, une étincelle divine...
Quand on arrive au silence...
"Ces trop rares moments où le monde que nous pensions désenchanté nous laisse entendre le chant des anges"
Mozart !
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Baudelaire...
ENIVREZ-VOUS
Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous.
Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : « Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. »
Baudelaire, Le Spleen de Paris, XXXIII
Le temps qui reste...
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Pentti Sammallahti
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