... d’autant que leurs vainqueurs du jour sont eux-mêmes assez terrifiants en mode réaliste. Explication simplissime, pour ne pas dire simplettissime : dans le sport en général.issime, la victoire devrait toujours aller à ceux qui jouent.
Certes, ce n’est qu’un vœu pieux de lendemain de cui... de Toussaint, mais ce résultat dont tout le monde se fout sur Mediapart à part Melchior G.L. Arobase a une portée symbolique. Comme nous l’allons démontrer tous deux en peu de mots, si vous le voulez bien.
L’universalité des valeurs citées à regret en tête de chapô nous fait quasiment tous franchement chier. Pourtant, en dépit de l’émergence de courants vecteurs potentiels de changement, elles constituent le référentiel prôné par de fringants quadragénaires dont le seul combat novateur est novlinguistique.
Le jeu des rugbymen anglais, aujourd’hui comme de toute éternité, s’en inspirait à l’excès. Incapables de réciter autre chose que leurs gammes stéréotypées, et ayant de surcroît perdu dès les dix premières minutes leur arrogance légendaire. Puisqu’ils se retrouvaient ratatinés d’emblée par une équipe ayant mieux assimilé leurs propres schémas tactiques!
Etonnamment, les Springboks se sentaient pour une fois les cannes de leur gazelle emblématique, la première partie du boulot expédiée. A savoir, laisser leur rival léonin la morve au nez et la morgue dans le gazon. Plan parfait, plan tout de même, pour seulement un quart d’heure de plaisir de spectateur.
Les meilleurs joueurs au monde sans conteste possible avaient terminé troisièmes hier. En battant des adversaires pas plus rigoureux, ni pragmatiques, ni fondamentalement disciplinés (allez donc dire cela à un Gallois !). Foncièrement bordéliques, à vrai dire. Et c'est pour cela qu'on s'est régalé. Il y a là quelques leçons à tirer.
N.B. ah pardon! j'ai oublié un truc, tellement je suis content très beaucoup : https://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2019/live-angleterre-afrique-du-sud_mtc1086986/live.shtml