Commençons par la punchline qui fait le buzz et le biz...
https://www.lesnouvellesnews.fr/greta-thunberg-cloue-le-bec-a-linfluenceur-delinquant/
Certaines études sociologiques l'ont démontré : la souffrance des jeunes hommes dotés simplement d'un pénis standard est énorme. Mais ont-ils déjà compati au triste sort de leurs congénères macrocéphallus?
Car l'époque est cruelle avec les hypertrophiés du cinquième ventricule. Non seulement c'est dans leur tête, mais encore la valeur chiffrée de la bite conne n'est plus désormais qu'une vieille lune.
Malgré tout, quelques foyers de résistance s'opposent encore et toujours à l'envahisseuse. C'est heureux, car ils nous permettent de bien nous dilater la rate et contracter les zygomatiques.
Très honnêtement, l'homme normal* (au hasard, moi) ne pensait pas qu'existassent des gens aussi euphémistiquement... benêts (?) qu'Andrew Tate. Et encore moins, qu'il eussent le pouvoir d'influencer qui que ce fût. Contrairement à Greta Thunberg, jeune femme impressionnante par la force de ses engagements, au regard de son vécu...
Au point d'en paraître désincarnée à ses admirateurs, et téléguidée pour ses détracteurs. Sa réjouissante répartie fait pièce à bien plus que sa cible joliment massacrée.
Ne reste plus qu'à souhaiter que le terrible uppercut infligé à ce promoteur du luxe automobilier lui ait luxé plus que la mâchoire inférieure. Et que l'on reprenne une actualité normale.
Bises à la buse du moment, présentement occupé dans sa cellule à cadrer un selfie correct de son appendice central honteusement brocardé.
*celui qui ne se risque que parcimonieusement à l'imparfait du subjonctif