La une de juillet-août de Mouais est d'une alacrité intolérable pour tous les vieux birbes tel que Mouah. "Et si tout n'était pas foutu?", nous questionne-t-elle à rebrousse-poil de notre complaisante chonchonnerie septuagénitale. Faut vraiment être des jeunes anars pour croire en un avenir possible, tiens!
Le pire, c'est qu'ils n'ont pas tort, ces Alpins-Maritimes paradoxaux! Regardons autour de nous... après avoir refermé et soigneusement placé ce numéro sur le haut de la pile, dans la salle d'attente de notre cabinet de consulting niçois. N'y a-t-il pas, là-bas au-delà de l'élégant vestibule, quelques lueurs d'espoir?
Mais pas de développement superfétatoire et redondant (qui a fait aaaah?). Lisez Mouais, le mensuel dubitatif quoique. Et si vous n'aimez pas être dans le doute quoique, lisez un ou plusieurs autres organes de la presse pas pareille.
Ils ne sont pas tous socialistes, kr kr krrrr...
p.krrrr. : outre un néologisme composé, deux mots récemment appris figurent dans ce texte. Sauras-tu les reconnaître, amie lectrice?