Il y en déjà eu 200.000... aucune raison d'occulter le nombre de blessé.e.s. A fortiori ceux et celles à jamais estropié.e.s par la haine qu'on leur a insufflé dans le coeur. Certain.e.s seront qualifié.e.s sans vergogne ni réflexion quelconque de terroristes, quand elle rongera l'ado ou l'adulte ayant vécu dès son plus jeune âge une telle atrocité.
Le foot, la plupart s'en cognent, au club de Mediapart. Pour des raisons parfaitement entendables, qui tiennent au bizness circus qu'il a engendré... et qui l'amèneront tôt ou tard à l'implosion. Sous l'égide de tristes personnages comme Gianni Infantino l'arriviste, qui fut engagé (un peu) avant de multiplier les casseroles, et les silences encore plus assourdissants.
Mais le foot loisir, universel, les jeunes Palestinien.ne.s continuent d'en faire l'un des moteurs d'une existence saccagée. Dans sa plus simple expression, pieds nus et le ventre vide avec pour décor des logements éventrés.
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Si ce n'est eux et elles, c'est donc leurs fratries aînées ou leurs parents, qui pleurent aujourd'hui Suleiman al-Obeid, lui-même père de cinq enfants...
(nb. L'écriture inclusive m'a paru nécessaire en la circonstance)