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Billet de blog 15 août 2024

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Double hommage...

... et S comme soupçon.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Hier, un contributeur et nonobstant ami m'a fait découvrir une ressource insoupçonnée parmi d'autres de Mediapart, que je pratique pourtant depuis douze ans environ! Le soir même, un autre ami (à son insu, mais abonné très volontaire), a évoqué incidemment ma compagne et néanmoins épouse. Que je pratique depuis au moins trois fois plus, sinon trois et demi. A mon âge, on ne conte plus que fleurette.
 
Non qu'il ait eu à m'en communiquer une ressource insoupçonnée... dans le cas contraire, nous serions à l'heure qu'il est, soit 9h30 à la louche, sur le pré Catelan avec nos témoins respectifs. Mais plus simplement parce que, tel un lieutenant Columbo René de ses cendres télévisuelles, une chose me frappe toujours juste avant la déconnexion : à qui ai-je consacré le plus de temps aujourd'hui?

Hé oui, vous aussi... ça vous scie à la base, hein?! Un peu d'attention, je vous prie, si vous ne voulez pas avoir à vous infliger une deuxième lecture. Voici le joint, faites tourner...

Soupçonner Mediapart de ressources encore ignorées est dommageable à votre couple. Si vous n'en avez qu'un, bien entendu. Car vous perdez alors la faculté vitale de soupçonner votre conjoint.e de folâtrer concomitamment dans la luzerne (quelle idée! le trèfle est bien plus doux) ou sur la pierre surchauffée du canal, avec des individus sans foi ni loi.

La mienne a récemment cessé de me dire "bon, c'est quand que tu quittes ton putain de Mediapart?"... je sais, c'est pas beau mais je m'en fous, elle est belle. Il faudrait cependant être vraiment candide pour ne pas y voir un indice boursier, en même temps qu'une menace sous-jacente. La difficulté subséquente est de ne pas verser dans la violence domestique qui conduit au tribunal, après que deux innocents greffiers aient payé les pots préalablement cassés  On ne mesure pas à quel point l'époque est #mytho...
  
J'ai réalisé (hier, donc) ce que l'une et l'autre m'ont apporté. Et mon inconséquence à résilier tous les trimestres des contrats souscrits dans une ferveur amoureuse sans cesse renouvelée. Il faut savoir s'amender, reconnaître ses manques n'a jamais tué personne.

Il n'empêche que lorsque je serai centenaire, elle aura 93 ans. Si elle me quitte alors pour un autre homme, je le tue.

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