Nous en avions un exemple récent, avec la désignation d'un préfet de police prénommé Didier au poste de secrétaire général de la mer. Laquelle en avait bien besoin, cette salope sans foi ni loi.
Depuis ce matin, un autre rempart du catholicisme libéral est tombé à l'eau. Un "menhir" prénommé Noël démissionne à Paris, et c'est un coup de tonnerre dans le Landerneau-Landivisiau du sport. Un peu comme le battement d'ailes du papillon tokyoïte, mais à l'envers (si on veut... c'est juste une image).
Toutefois ledit mégalithe érotomane, accessoirement ex-président de la FFF française de foot fédéré, a déjà son job d'été à quelques encablures du lieu de ses crimes passés de quelques heures. A savoir, un luxueux placard dans l'ancien Hôtel de la Marine, qui lui-même imite éhontément le Crillon. Il va y prendre la tête (ça, on n'en doute pas) du bureau parisien de la FIFA internationale de foot associé.
Vous suivez? Bon on s'en fout... ce billet n'est que prétexte à faire du tourisme place de la Concorde, pas à démêler les insondables arcanes de la crise de l'emploi des seniors.
Parmi les fâcheux antécédents de l'industriel costarmoricain (pas de raison qu'ils soient tous finistériens), l'un a beaucoup fait jaser car il visait une icône nationale. Or, si Noël le gratte Zizou lui met un coup d'boule, ça lui s'coue à peine l'autre et l'affaire est réglée.
Manifestement, des frasques plus dommageables de l'octogénaire guingampais (pas de raison qu'ils soient tous septuagénaires) ne lui ont pas causé trop de tort. Pour le moment?