On est en droit d'en douter. Notons au passage que celle de la femme intriguait déjà Patrick Juvet en 1977. Two sevens clash, pour Marcus Garvey et Culture.
Mais ce n'est pas le sujet. Ni celui-là.
Enfin si... je veux dire en vrai, Femme et Rastafari sont toujours le sujet. D'une certaine façon. Mais en tant que parisien nordiste privilégié à l'été prochain, je souhaite ici et avant toute chose égale par ailleurs, protester vigoureusement contre la disparition du tir aux pigeons aux Jeux Olympiques.
J'entends par là les pigeons vivants, bien sûr. Rien à voir avec la version d'argile pour gentlemen couchés, ou à trois positions, ou à air comprimé à 10 mètres... j'en passe, qui donneront lieu à la remise d'environ 150 médailles aux tireurs émérites de 2024.
Bien plus ludique pour les cons courants les concurrents, et amusante pour l'assistance, était la discipline consistant à laisser sa chance au volatil volatile. Hé bien figurez-vous qu'elle a été abolie en 1976 ! Je suis quasiment certain que Gabrielle Teissier K y est pour quelque chose.
Tout est là, je ne m'étends pas plus. En regrettant tout de même qu'ait également disparu la nage sous l'eau. On y voyait des rangées de pigeons sur la berge, battant des ailes chaque fois qu'un participant se noyait. L'essentiel étant de participer.
Vous voulez des noms? Wikipédia en a. Et personnellement, juste une question : qu'est-ce que vient foutre un roturier belge prénommé René sur un podium représentatif de la haute noblesse française de la croisée de deux de nos siècles ap. JC ?