Acteur culturel, auteur, Nicolas Roméas fait aujourd'hui partie de l'équipe de bénévoles du site L'Insatiable (www.linsatiable.org) en tant que rédacteur en chef. Il participe également à la nouvelle revue L'Insatiable papier.
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Une nouvelle revue sur l'action artistique dans les villes
Participez à la fabrication du premier numéro de L’Insatiable papier, nouvelle revue consacrée aux actions artistiques (et culturelles au sens large du mot) dans les villes. L’Insatiable #1 part à l'exploration des aventures et des mystères d'une ville spécialement propice à la rencontre des cultures et des langues : Aubervilliers.
Acteur culturel, auteur, Nicolas Roméas fait aujourd'hui partie de l'équipe de bénévoles du site L'Insatiable (www.linsatiable.org) en tant que rédacteur en chef. Il participe également à la nouvelle revue L'Insatiable papier.
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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
L’Insatiable #1. Aubervilliers, ville-monde dont les enfants du monde entier furent chantés par Jacques Prévert, où plus de 110 nationalités et plus de langues encore se rencontrent et dialoguent, siège de l’Institut du Tout-Monde d’Édouard Glissant, bouillonne d’inventions culturelles et artistique. Une sorte de laboratoire en actes d’un monde en phase de créolisation. Des Souffleurs à la Villa Mais d’Ici en passant par les Labos d’Aubervilliers, L’Insatiable a rencontré ses artistes, ses lieux de croisement entre l’art et la société, ses passeurs et ses habitants. Ce numéro 1 de L’Insatiable papier inaugure une collection d’ouvrages centrés chacun sur une ville, autour des activités artistiques en lien étroit avec la société et les habitants de cette ville.
Ce premier numéro sera disponible à partir du 20 janvier 2019. Aidez-nous dès maintenant à le fabriquer en l’achetant par avance à prix réduit. 10€ frais de port inclus (au lieu de 12 € + frais de port) avant le 20 janvier.
Emmanuel Macron avait promis, pendant l’entre-deux-tours, un grand tournant écologique. Si une première ministre a été nommée pour mettre en œuvre une « planification écologique et énergétique », le nouvel organigramme fait apparaître de gros trous et quelques pedigrees étonnants.
par
Mickaël Correia,
Jade Lindgaard
et Amélie Poinssot
Premier conseil des ministres du deuxième quinquennat Macron ce matin, marqué par l’affaire Damien Abad. Émission consacrée donc à notre nouveau gouvernement et à la campagne législative de ceux qui n’en font plus partie, comme Jean-Michel Blanquer, parachuté dans le Loiret.
Parachuté dans la 4e circonscription du Loiret et libéré de ses fonctions ministérielles, Jean-Michel Blanquer fait face, pour la première fois, à la réalité d’une campagne de terrain. Lui qui souhaitait faire peau neuve en terre inconnue doit faire face à son bilan.
Parachuté dans les Hauts-de-France, le jeune Insoumis use de sa notoriété médiatique pour tenter de ravir son siège à la députée macroniste sortante. Il fait valoir que, de la banlieue parisienne où il réside à l’ancienne cité textile, la misère n’a pas de frontière.
« Si nous nous positionnons aux côtés des Lentillères et de la ZEC, c’est pour ce qu’elles augurent de vraies bifurcations, loin des récits biaisés d’une transformation urbaine encore incapable de s’émanciper des logiques délétères de croissance, d’extractivisme et de marchandisation. » Des architectes, urbanistes, batisseurs, batisseuses publient une tribune de soutien aux habitants et habitantes du Quartier libre des Lentillères à Dijon.
Comme le souligne Thierry Paquot dès l’introduction de son ouvrage, « l’espace public est un singulier dont le pluriel – les espaces publics – ne lui correspond pas. » Alors que le premier désigne grossièrement la scène du débat politique, les seconds renvoient à une multiplicité de lieux (rues, places, jardins, etc.) accessibles à tous et la plupart du temps relevant d’une propriété collective.
Parti s’installer dans la Drôme en 2016, où il a fondé la coopérative foncière « Villages Vivants », Raphaël Boutin Kuhlmann est devenu une figure des nouvelles manières de faire territoire. Dans cet entretien, il revient sur la nécessité de penser autrement l’intérêt général et sur les espoirs qu’il place, face aux crises contemporaines, dans l’innovation et le lien dans les villages.
Le monde du BTP doit se réinventer d’urgence. Les récents événements internationaux ont révélé une nouvelle fois son inadaptation face aux crises de l’énergie et des matières premières. Construire avec des matériaux locaux et peu énergivores devient une évidence de plus en plus difficile à ignorer pour ce secteur si peu enclin au changement.