Un jour, une mère proposa à son enfant de "faire un voeu". L'enfant émit le son VE (rires). Véridique.
Reçu, depuis hier, treize des neuf cent trente millions de textos échangés en France pour le nouvel an. On m'y souhaite pour les douze premiers (dont quatre non adressés à moi en particulier) une année "bonne, belle, joyeuse, riche, bienheureuse, mutine, réussie, généreuse, vivante, étonnante, synonyme de "bonheur, d'envie, d'épanouissement", une "bonne santé" et la "paix". Le treizième (le fatal) ne me dit pas autre chose mais son auteur (un ami) précise qu'il se trouve sur "une plage à Belle-Île face aux vagues". Ce n'est toujours pas Byzance mais au vu de - et grâce à ce qui l'a précédé, je peux au moins en faire quelque chose. Je suggère en retour (aussi mou que le service) que tant qu'à émettre des voeux, autant essayer de "faire un effort". Il me répond aussitôt, "Un effort ?".