origine du virus et de la folie liberticide

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Billet de blog 12 juin 2023

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SARS-CoV-2 est une arme biologique nous dit David E.Martin

« Nous avons affaire au final à une arme biologique (un poison binaire) - sélectionnant le vivant - où le virus synthétique n’est rien comparativement à la délivrance du "vaccin" », a déclaré récemment David E.Martin au Covid Summit III au Parlement Européen "Il n’y a pas eu de fuite de laboratoire à Wuhan mais une bio-militarisation intentionnelle d’un virus"

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SARS-CoV-2 est une arme biologique nous dit David E.Martin

« Nous avons affaire au final à une arme biologique (un poison binaire) - sélectionnant le vivant - où le virus synthétique n’est rien comparativement à la délivrance du "vaccin" », a déclaré récemment David E.Martin au Covid Summit III  au Parlement Européen

La 3e édition de l'International Covid Summit (ICS 2023) s'est déroulée au Parlement européen à Bruxelles, du 2 au 4 mai dernier. L’ICS est un espace créé pour que les médecins et professionnels du monde entier puissent échanger sur la gestion (ou l'origine en l'occurrence) de la crise sanitaire, dans un temps et un espace politique. Ici européen. Mais l’ICS n’est ni organisé ni financé par l’assemblée européenne. Il est à l’initiative de certains députés européens, co-animé principalement par 2 députés de la droite et extrême droite, et par trois députés non-inscrits, engagés dans la lutte contre la corruption. Plusieurs dizaines de scientifiques y ont été invités, dont du côté français, Christian Perronne et Louis Fouché, et côté américain, entre autres les docteurs Robert Malone et David E.Martin , diplômé en maîtrise en Sciences.

Martin y a été invité en tant que fondateur et président-directeur général de M.CAM, une société internationale qui a pour activité le “capital immatériel”. Soit tout ce qui englobe les éléments non monétaire et non physique qui développe de la valeur : par exemple, les brevets intellectuels. David Martin s’est spécialisé dans les dépôts de brevet de l’industrie pharmaceutique. Il a été engagé, par exemple, par le gouvernement US pour rechercher l’origine des souches d’anthrax des attaques du début de années 2000.

Tout au long de l’automne 2001, M-CAM a commencé à surveiller un nombre énorme d’agents pathogènes bactériens et viraux qui étaient brevetés par le NIH, le NIAID, l’USAMRIID et d’autres agences internationales. Concernant le coronavirus, leur préoccupation était qu’il était considéré non seulement comme un agent manipulable potentiel pour être utilisé comme vecteur de vaccin, mais aussi comme un candidat à l’arme biologique.

Au Sumitt III, David Martin nous a délivré sa version de l’histoire de Sars-Cov – 2 et de son vaccin.

Le coronavirus en tant que modèle d’agent pathogène, nous dit-il, a été isolé en 1965. Il était associé au simple rhume. Il a été immédiatement identifié comme un agent pathogène pouvant être utilisé et modifié pour toute une série d’objectifs. Et en 1967, il a été procédé aux premiers essais humains sur l'inoculation de personnes. Ensuite, 1975, 1976 et 1977, on a commencé à chercher comment modifier le coronavirus en l’introduisant dans différents animaux, les porcs et les chiens.  C’est sur cette base que Pfizer a déposé le brevet du premier vaccin à base de protéines de pointe en 1990.

Dix ans plus tard, le 28 janvier 2000, Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones dépose, toujours pour Pfizer, le brevet d'un vaccin à protéine de pointe contre le coronavirus canin. Il est publié sous le nom de brevet américain 6372224. Ce vaccin comprenait spécifiquement la protéine de pointe « S ».

En 2003, c’est le CDC (Central of Desease Control and Prévention) qui dépose un brevet pour “isoler” le SARS-CoV-1 et protéger la totalité de la séquence génomique ainsi que les méthodes de détection du Sars Cov. La séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence chevauchant le SARS-CoV-2.

Martin nous affirme que 73 brevets délivrés par la suite exposeront aussi clairement dans leur séquençage génétique, le domaine de liaison ACE-2, la protéine de pointe spike S1 et d’autres éléments de Covid-19 dont  le site de clivage polybasique. Avant 2003, un brevet américain en particulier -  le 7279327 – a marqué cependant un tournant dans l’histoire des brevets liés aux coronavirus.

Ce brevet est déposé en avril 2002 par l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill sous la dénomination : « The mRNA Vaccine "model" is patented as "an infectious, replication defective clone" aux noms de  Krisopher M. Curtis et Boyd Yount. La source du financement qui a permis la recherche : le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) dirigé par Anthony Fauci ((ce brevet 7279327 a été transféré de l’UNC Chapel Hill aux NIH en 2018).

Du fait de cette dénomination de l’étude– en français- « Le "modèle" du vaccin à ARNm est breveté comme "un clone infectieux à réplication défectueuse », Martin nous dit que l’UNC a réussi à fabriquer un virus capable de cibler un individu – en l’occurrence l’épithélium pulmonaire humain - mais sans causer de dommages collatéraux à d'autres individus, et qu’il s’agit donc d’une arme biologique. D’après Martin, ce pathogène particulier a été spécifiquement étiqueté comme une technologie de plate-forme de bioterrorisme et d'armes biologiques en 2005.

L’étude -in vivo - sur la protéine de pointe du virus, s’est poursuivi ensuite à l'Université de Caroline du Nord à partir de coronavirus échantillonnés par l'Institut de virologie de Wuhan  entre 2011 et 2013 – malgré le moratoire sur le gain de fonction décidé en 2014 – et a abouti à deux articles - : un, en 2015 et un, en 2016, indiquant tous deux que la chimère conçue par le laboratoire ciblait le tissu endothélial, le tissu pulmonaire, le tissu rénal, « et qu’elle était «  prête pour l'émergence humaine ».

En 2015, Moderna - le concurrent principal de Pfizer dans la course au vaccin anti- Covid -  fait un pas décisif pour le développement d'un vaccin à ARNm. Elle achète à AlCana ​​Therapeutics, la licence pour la technologie des nanoparticules lipidiques. Et en avril 2019,  Moderna est amenée à modifier 4 demandes de brevet rejetées pour inclure le terme libération accidentelle ou intentionnelle d'un agent pathogène respiratoire comme justification de la fabrication d'un vaccin. 

Huit mois plus tard, en novembre 2019 -  bien avant que soit déclarée la pandémie - après avoir conclu un accord de coopération avec  l’UNC Chapel Hill et le NIAID -  Moderna  commence le séquençage d’un vaccin à base de protéine de pointe contre le Covid-19.

C’est en particulier, cette date de séquençage, et cette historique de dépôt de brevets liés au coronavirus, qui fait dire à David Martin  qu’il n’y a pas eu de fuite de laboratoire à Wuhan mais une bio-militarisation intentionnelle d’un virus.

A SUIVRE  RÉPONSE A DAVID MARTIN

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