Pour David Martin, le SRAS était une arme biologique...
Brevetée par le NIAID (ou plutôt le CDC) , avant même qu’il n’y ait une prétendue épidémie en Asie. Ce qu’il suggère donc, est qu’il ait été libéré.
Jusqu’à présent, aucun scientifique « sérieux » n’a osé invoquer une intention – une fuite accidentelle, oui - au déclenchement d'une pandémie. En ce qui concerne SARS-CoV-2, déjà pour la simple raison qu’aucune population ne pouvait être protégée du virus puisque l’antidote n’était pas connu.
En ce qui concerne l’origine du SARS-CoV-1, l’arbre phylogénétique de ce coronavirus a montré qu’il était lié aux civettes palmées, hôte intermédiaire du réservoir à coronavirus par excellence et bien réel : les chauves-souris. Son géniteur ne serait donc pas un laboratoire.
D’autre part, Martin nous dit que « son SRAS ingénieux » présentait déjà des éléments du Covid- 19. Pourtant tous les séquençages génétiques de Sars-CoV-2 ont démontré qu’il était très éloigné du SARS-1. Plus loin, il nous dit même que certains brevets qu’il a découvert ensuite, présentait le site de clivage polybasique.
Cet argument peut nous induire en erreur. Car plusieurs coronavirus possèdent un site de clivage polybasique S1. Mais Sars-Cov-2 contient également un second site de protéase, le site de clivage S2 de type furine - que ne possède pas SARS-CoV. Celui-ci améliore la réplication virale dans les poumons et expliquerait sa plus grande infectiosité. C’est l'insertion de quatre acides aminés dans sa glycoprotéine de pointe qui a abouti à un site de clivage de la furine sous-optimal. Et c’est la présence du quatrième acide aminé qui aurait fait dire à Luc Montagnier que le virus était fabriqué.
Cette particularité en fait un coronavirus pour lequel à ce jour, le cousin le plus proche à 97 %, a été trouvé au Laos. Mais il ne possède pas de CS 2. Pourtant David Martin nous dit que la séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence chevauchant le SARS-CoV-2.
Comment peut-il être le seul à révéler cette information ? Si c’était exact, nous aurions effectivement la preuve d’une ingénierie pour Sars-CoV-2.
Une ingénierie pour quelle finalité ? Pour concevoir ou un vaccin... une arme biologique ?
On n’a jamais réussi à fabriquer un vaccin contre le VIH, même avec la technologie ARN qui a bien été expérimentée depuis des années. Pendant dix ans, Anthony Fauci a tenté de proposer un vaccin « universel » contre la grippe. Mais selon Martin, l’Office des brevets aurait signifié que ce qu’il proposait comme vaccin ne répondait pas à la norme de brevetabilité.
De la même manière, de 1990 à 2018, toutes les publications concluent que le coronavirus échappe à la stimulation vaccinale, parce qu’il se modifie et mute trop rapidement pour que les vaccins soient efficaces.
Pourquoi a-t-on été convaincu alors, de pouvoir trouver un vaccin protégeant du Covid en neuf mois ? Le terme « vaccin » induit un composé qui prévient l’infection. Les déclarations du représentant de Pfizer devant la Commission européenne ont démontré cependant que le vaccin « anti- covid » n’avait pas été conçu pour cela.
Et pourtant il a été imposé, d’une manière ou d’une autre, à la population mondiale.
Dans quel but ? Enrichir l’industrie pharmaceutique ? Le secteur du vaccin est l’activité du futur la plus rentable pour les labos. Encore faut-il, pour qu’elle se développe qu’il y ait un besoin clairement présent. Martin nous rapporte des propos tenus par certains acteurs :
« Vous devez créer l’illusion de la demande, et il n’y a rien de mieux actuellement que l’urgence d’un événement que vous avez fabriqué pour créer l’illusion de la demande afin de vendre une contre-mesure médicale.
Cette industrie est-elle assez puissante pour avoir fabriqué cette illusion dans le cas du Covid ? Ne faut-il pas se poser la question du rôle du politique dans tout cela ?
Et Martin de nous rapporter encore : « le but réel de la pandémie serait d’amener un “vaccin universel” tout en permettant aux industriels de se retrouver intéressés à l’affaire d’une société qui évoluerait en ce sens ; les investisseurs suivraient là où ils verraient du profit.
Au prix d’une “guerre contre l’humanité comme il l’avance ? Terrifiant et inconcevable. Pour quelle finalité ?
Le 5 juin dernier, le directeur général de l’OMS a dévoilé le projet d’instauration d’un pass sanitaire mondiale ; le premier élément du Réseau mondial de certification sanitaire numérique de l’OMS. « Dans le futur, "nous étendrons cette infrastructure en y intégrant d'autres utilisations, telles qu'un certificat international de vaccination numérisé, des cartes de vaccination systématique et des résumés de patients internationaux" a-t-il déclaré.
Y a-t-il là, une partie de la réponse à la question de la finalité posée plus haut ? Ne faut-il pas voir dans ce réseau, un nouveau dispositif de nature à favoriser les vaccins auprès des populations, avec le risque de l'exploitation des données qui seront recueillies. Et la création d’une porte d’entrée à :
- une identité numérique mondiale à priorité sur les pays en "voie de développement" (plus de sans-papiers et d'immigration illégale)
- une monnaie numérique mondiale (la BCE se lance déjà, la Chine vient juste de la précéder)
- l’instauration d’un ordre mondial non choisi par les peuples sous dominance numérique et financière ?
David Martin est-il un lanceur d’alerte ou un complotiste ? Au citoyen de se faire son idée.