Comptant sur une relation « unique, de proximité et de franchise » souvenir de la « bromance » de leur premier mandat, notre grand stratège militaire lui a dit : « Hey Baby, c’est pas ton intérêt. Comment ensuite être crédible face à la Chine si t’es faible face à Poutine ? ».
En disant qu’il voulait récupérer son argent (quelques centaines de milliards) et sceller la paix au plus vite en Ukraine, « Donald Ghandi » en a profité pour malaxer les phalanges de son amusant p’tit F rançais qui fait de belles phrases et reconstruit les « Notre Dame ».
En conf de presse devant le parterre des journalistes accrédités par Trump, Manu a dit « qu’il y avait un chemin », son antienne. Sans lui donner la moindre garantie sur quoi que ce soit, Trump l’a regardé avec son plus beau sourire ! Clic clac !
The little sketch is dans la boîte !
Tout va très vite au pays du business ! Les Etats-Unis et l’Ukraine sont déjà tombés d’accord sur les termes d’un « pacte à 50/50 sur l’exploitation commune des ressources minières ukrainiennes ». Petite précision : la plupart de ces gisements se trouvent sur des territoires actuellement occupés par les forces russes.
Merci à l’industrie de l’armement, le CAC 40 (+ 10,5 % en 2 mois) se porte comme un charme en dépit de la pétaudière ambiante !
Allez Manant ! Prépare-toi à l’inévitable effort de guerre qui se dresse devant toi. Tu ne veux pas tout de même pas que les chars de Poutine défilent victorieusement sur les Champs-Élysées lors du prochain défilé du 14 juillet ? Tu seras donc d’accord pour financer avec ta petite épargne l’augmentation des dépenses militaires (5 % du PIB au lieu de 2%, déduites du déficit publiques).
Le « contrat » est prêt, tu n’as plus qu’à parapher et signer !
Ok aussi pour envoyer ta fille au front pour garantir ta sécurité ? Elle aura peut-être la chance d’y croiser BHL, ce « journaliste d’investigation sur le terrain » que le monde entier nous envie et qui repart en Ukraine pour « raconter » (ah, ah) !